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10 décembre 2021 5 10 /12 /décembre /2021 11:23
BIENVENU MASSAMBA MP FUSTIGE LA DUPLICITE AINSI QUE L'HYPOCRISIE DES ETATS MEMBRES DE L'UNION AFRICAINE FACE A LA MENACE DE LA GUERRE CIVILE EN ETHIOPIE

BIENVENU MASSAMBA MP critique sévèrement l'inaction ainsi que l'immobilisation de tous les membres de l'union africaine face à leur inertie concernant la menace de l'avancée des troupes rebelles dans le tigré. En effet laisser tomber le peuple éthiopien sombré dans une énième guerre civile risquerait de plonger Addis Abeba capitale et siège des institutions de l'union des africains dans une instabilité sans précèdent.

Deuxième pays le plus peuplé d’Afrique derrière le Nigeria, l’Éthiopie compte plus de 116 millions d’habitants. Son tissu social est une mosaïque complexe, multi-ethnique et multi-religieuse, de communautés délicatement entremêlées depuis presque trois millénaires. Les mariages et les lignées inter-ethniques sont monnaie courante et peuvent être retracés sur plusieurs générations. Les Éthiopiens ont la particularité de chérir profondément leur patrimoine culturel commun tout en restant ouverts et accueillants envers l’étranger, même pendant les périodes les plus sombre de leur histoire.

Tribalisation du système politique

L’émancipation politique et économique de ce grand pays a inspiré tous les peuples d’Afrique. L’Éthiopie a vaincu le colonialisme fasciste italien en préservant sa souveraineté tout en aidant d’autres États sur le continent à accéder à la leur. La paix intérieure qui jusqu’ici y régnait et la contribution d’Addis-Abeba à celle de ses voisins constitue un apport essentiel à la stabilité de la sous-région. Enfin, l’Éthiopie accueille l’Union africaine et a connu ces dernières années une importante relance économique, symbolisée par le Grand Barrage de la Renaissance éthiopienne (GERD) entièrement financé par les Éthiopiens et qui devrait produire 6450 MW, ce qui en fait le plus grand projet hydroélectrique d’Afrique. La privatisation transparente et sans heurts majeurs des télécommunications, ainsi que celle d’autres secteurs économiques, témoigne des étapes franchies dans le cadre des réformes structurelles entamées depuis 2018.

« Le fédéralisme ethnique » a contraint les Éthiopiens à s’identifier par leur tribu sur leur carte d’identité nationale, à leur grand dam.

Le système de gouvernance éthiopien, connu sous le nom de « fédéralisme ethnique », est sans équivalent dans le monde. Institué par l’ancien Premier ministre Meles Zenawi, du Front populaire de libération du Tigré (FPLT), le système est inscrit dans la Constitution éthiopienne de 1995 et n’a fait l’objet d’aucune réforme depuis cette date. Théoriquement fondé sur le principe internationalement reconnu de l’autodétermination, il a été remanié afin de permettre un morcèlement des régions du pays sur une base ethnique, cela à des fins politiques profitables au FPLT. «Le fédéralisme ethnique » a contraint les Éthiopiens, pour la première fois, à s’identifier par leur tribu sur leur carte d’identité nationale, au grand dam de la plupart d’entre eux. Leur liberté de résidence et de circulation a été restreinte afin d’éviter qu’ils ne soient pris pour cibles dans des régions où ils ne font pas partie du groupe ethnique majoritaire.

Les Éthiopiens revendiquent la mise en place d’institutions nationales non-ethniques, ouvertes à tous. Cette demande, légitime, mérite d’être pleinement soutenue par la communauté internationale

De nombreux Éthiopiens sont profondément convaincus que la tribalisation de leur système politique est la cause profonde du conflit. Ils revendiquent la mise en place d’institutions nationales non-ethniques, ouvertes à tous. Cette demande, légitime, mérite d’être respectée et pleinement soutenue par la communauté internationale. Le gouvernement fédéral et le FPLT  déclarent tirer leur légitimité  des élections. S’il est vrai que des scrutins ont eu lieu dans les deux cas, il n’est pas raisonnablement honnête d’établir une équivalence constitutionnelle entre l’administration d’une région et celle d’un gouvernement fédéral. Si tel était le cas, rien n’empêcherait d’autre régions du pays, en cas de désaccord constitutionnel, de prendre les armes contre le gouvernement fédéral. L’acceptation d’un tel modus operandi rendrait sans doute tout pays ingouvernable, qu’il s’agisse des États-Unis d’Amérique, de la Suisse, de l’Espagne, du Nigeria ou de l’Éthiopie. La politique du deux poids deux mesures ne saurait devenir la panacée pour préserver l’unité et la souveraineté des États fédéraux.

Bienvenu Massamba MP

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24 novembre 2021 3 24 /11 /novembre /2021 14:25
LE VILLAGE MODERNE DE PAUL KAGAME AUX SINISTRES DE NYIRANGONGO? LE PEUPLE CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE  N'EN VEUT  PAS DU TOUT !
LE VILLAGE MODERNE DE PAUL KAGAME AUX SINISTRES DE NYIRANGONGO? LE PEUPLE CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE  N'EN VEUT  PAS DU TOUT !
LE VILLAGE MODERNE DE PAUL KAGAME AUX SINISTRES DE NYIRANGONGO? LE PEUPLE CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE  N'EN VEUT  PAS DU TOUT !

 

BOKOTOKO !  BOKOTOKO ! BOKOTOKO ! L'HEURE EST GRAVISSIME : 

Urgent ! Urgent ! Urgent !

AFFAIRE VILLAGE MODERNE DE PAUL KAGAME VERS NYRAGWONGO : LES CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE SONT SOUVERAINS ET N'EN VEULENT PAS D'UN GENOCIDAIRE AVERE !

 
Très chers amis et connaissances vous savez quand vous n'êtes pas au contrôle de votre pays à l'instar de ce qui se passe chez nous au Congo Kinshasa, eh bien vous ne saurez rien faire et rien aménager en vue de trouver des solutions aux revendications de votre population. Dans les cas express de l'historicité de notre nation et face aux enjeux de l'heure, il n' y a que la résistance des peuples  très chers lecteurs ou lectrices qui peut nous sauver à s'opposer aux projets ainsi qu'aux desseins et volontés machiavéliques du président nommé Felix tshisekedi et son groupe de l'union sacrée de la nation bien entendu avec Paul Kagame président actuel du Rwanda de nous imposer et nous soumettre à la pauvreté et au statu-quo car ce n'est pas pour autre chose que Kabila a été placé premièrement au Congo-Kinshasa et au sommet de notre état à savoir exterminer, éliminer, génocider le peuple congolais dans son ensemble ainsi que dans sa plénitude car ce que nous vivons actuellement dans l'environnement ou le clivage politique congolais, c'est l'émanation du  scénario vécus au Rwanda lors de l'avènement au pouvoir de Paul Kagame qui fut général de l'armée rwandaise à l'époque où le pasteur bizimungu présidé le Rwanda.  À la suite de sa victoire militaire, le FPR établit un gouvernement d'unité nationale, sur la base des accords d'Arusha, mais excluant les partis qui soutenaient les forces génocidaires : la CDR et le MRND. Pasteur Bizimungu devient président de la République le 19 juillet 1994, Faustin Twagiramungu devient Premier ministre et Paul Kagame, souvent appelé l'« homme fort du Rwanda », devient vice-président. Ce trinôme est perçu comme symbole de la réconciliation entre Hutu et Tutsi. Deuxièmement, le placement au sommet de l'état congolais zaïrois d'origine de Kabila joseph alias kanambe était donc la favorisation de l'exploitation illicite, illégale ainsi que le pillage à grande échelle des ressources naturelles du Congo-Kinshasa afin de créer des nouveaux riches d'origine rwandaise pour corrompre toute la classe politique congolaise zaïroise d'origine au point de la chosifier, de la clochardiser et troisièmement, c'est d'assurer en tout cas l'affaiblissement total ou partiel de toutes les institutions du pays en y implantant des étrangers d'origine rwandaise, ougandaise, tanzanienne en vue de bien assoir un régime totalitaire à dominance rwandophone ou swahiliphone, d'où la nomination et la publication  du gouvernement des warriors de Sama lukonde composé des banyamulenges pour la plupart afin de pérenniser l'occupation étrangère, car au sein des postes clés vous verrez par exemple au ministère des infrastructures , il y a un certain Gisaro Alexis, ministère de justice un certain Mirindi Amango, etc...etc... Donc ces occupants  voient loin à travers leur politique d'expansionnisme hégémonique rwando-ougando-burundaise pendant que nous les vrais patriotes congolais -zaïrois d'origine sont entrain de rêver, de se quereller, de demeurer distraits, eux ils pillent et saignent l'état congolais au point de l'emporter vers une faillite indescriptible et innommable aux sus et aux vus de toute la communauté internationale complice de la tragédie congolaise zaïroise d'origine.
Pourquoi Paul kagame tient-il à construire un village moderne aux sinistrés de Nyiragongo ?
C'est d'abord 1. Pour combler leur politique d'accaparements de terres, L'accaparement des terres recouvre l'achat, la location ou l'occupation de terres agricoles par des multinationales, des banques, des États (via les fonds d'investissements ) ou par des acteurs locaux.
Les communautés paysannes sont ainsi privées de plusieurs millions d'hectares dans de nombreux pays du Sud.
Ces transferts massifs de terres entraînent la destruction en profondeur de la vie des populations concernées et sont une des causes de la faim dans le monde. 2. Pérenniser les maladies nuisibles devenues chroniques jusqu'à ces jours à savoir : la monopolisation, la confiscation, l'usurpation, l'imposture, la dictature, l'autocratisme ainsi que la pérennisation du pouvoir entre les mains d'un individu ou groupe d'individus  placé de fait  ou nommé de fait ainsi que la vérité des urnes après l'organisation des élections présidentielles lorsque l'on déclare un candidat tricheur, fraudeur vainqueur à l'issue du scrutin. C'est ce qui explique les traits caractéristiques de la politique congolaise  zaïroise d'origine c'est-à-dire de la parodie électorale présidentielle au renversement de la soi disant majorité parlementaire de la honte. C'est lamentable ce qui se passe au Congo-Kinshasa, on attribue au mensonge la vérité et vice versa. Hors dans un pays libre et démocratique, on ne vit pas dans le mensonge car cela tue tout avènement de l'état de droit à venir. 
Les Raisons du maintien des conflits armés là bas, c'est que Paul Kagame et Yoweri Museveni cherchent à déclencher une nouvelle guerre tout autour ou à l'enceinte du parc de Virunga pour exploiter massivement le pétrole tout en déclassifiant ou en démantelant ce parc et site touristique de renommée internationale par après balkanisation du Kivu en plusieurs morceaux comme c'est fut au Soudan balkaniser en 2 Soudan du sud et Soudan du nord, donc ensemble avec leurs vallées occidentales à savoir les USA, le royaume uni et Israël à travers leurs multinationales anglaise soco et française total Elf, le projet de construction du village moderne pour sinistrés de Nyiragongo par Paul Kagame n'est qu'un camouflé ayant subi un raté lors de la tentative d'installation du bourgmestre à Minembwe, ajouter à cela le faux prétexte de l'état d'urgence dans la partie est par le gouvernement des warriors de Sama lukonde composé des banyamulenges réellement banyarwanda alors que nous le savons tous pertinemment que c'est un cadre propice à la fomentation de politique de dépeuplement et de déplacement des populations autochtones de ces contrées lointaines pour laisser accès libre à l'infiltration des populations rwandophones, ougandaise, tanzanienne, burundaise, nous faisons face à une coalition de la soi disant communauté internationale contre nous et notre cause et je tiens d'exhorter notre peuple de partout le monde à la vigilance totale ainsi qu'à la mobilisation totale,  on voudrait Palestiner notre population et la rendre apatrides, faisons très attention, on voudrait génocider tout le peuple congolais zaïrois d'origine !

BIENVENU MASSAMBA MP

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31 octobre 2021 7 31 /10 /octobre /2021 13:13
RDC : LE FILM DE THIERRY MICCHEL L'EMPIRE DU SILENCE RELANCE LE DEBAT SUR LA NECESSITE DE RESURRECTION DU  RAPPORT MAPPING IMPERATIVEMENT !

Depuis vingt-cinq ans, la République Démocratique du Congo est déchirée par une guerre largement ignorée des médias et de la communauté internationale. Les victimes se comptent par centaines de milliers, voire par millions. Les auteurs de ces crimes sont innombrables : des mouvements rebelles, mais aussi des armées, celles du Congo et des pays voisins... Tous semblent pris dans un vertige de tueries, pour le pouvoir, pour l’argent, pour s’accaparer les richesses du Congo en toute impunité, dans l’indifférence générale. Parcourant le Congo caméra au poing depuis trente ans, Thierry Michel a été témoin des combats, des souffrances mais aussi des espoirs du peuple congolais. Relayant le plaidoyer du Docteur Mukwege, Prix Nobel de la paix, il retrace les enchaînements de cette impitoyable violence qui ravage et ruine le Congo depuis un quart de siècle. Documentaire sans concessions, “L’Empire du Silence” n’épargne aucun des acteurs du drame, ni les dirigeants congolais, ni les pays voisins, ni les institutions internationales. Il s’appuie sur un document de l’ONU, le rapport Mapping qui répertorie les violences commises au Congo entre 1993 et 2003, un document dérangeant qui fut enterré. “L’Empire du Silence”, ce récit épique, traverse l’immense Congo, depuis les montagnes et les forêts du Kivu jusqu’aux rives du fleuve dans la province de l’Équateur. Un document implacable, inspiré par la révolte et la solidarité. Un film pour l’histoire et contre l’oubli, pour briser la loi du silence et pour que cesse le règne de l’impunité.

Le tout  premier génocide avéré des européens en Afrique n'a jamais été reconnu jusqu'à nos jours, la conception de détruire en tout ou en partie des peuples innocents d'Afrique ne peut être décrit autrement car ici il s'agit belle et bien d'un génocide, d'un ethnocide, d'un démocide et d'un multi-ethnocide envers des innocents et il est plus que temps de payer la facture de la reparation mondiale.   

Belgique : Plaidoirie  a jodoigne : LES CONGOLAIS ONT DROIT A UN MEA-CULPA DE LA PART DE LA BELGIQUE MAINTENANT

Aujourd'hui; plus que jamais nous nous devons d'oser dire la vérité rien que la vérité concernant la tragédie humaine qui s'evit au Congo-Kinshasa notre pays car certains hauts responsables belges comme Monsieur Louis Michel continue de dissimuler depuis l'an 2001 période du placement au sommet de l'état congolais d'une marionnette; d'un pion en la personne de joseph kabila alias kanambe a la gouverne d'un sous continent qui n'en avait nullement besoin comme le fut a l'époque du Rois Leopold II ou le Congo Kinshasa tout entier était transformé en un camp de concentration; un camp de travail forcé qui permit a la Belgique de s'enrichir sur le sang et la mort a grande échelle des congolais. L'holocauste oubliée et jamais reconnu jusqu'à nos jours par la communauté internationale a savoir la reconnaissance effective du génocide congolais ou plus de 10 millions des congolais sont morts a travers les guerres d'agressions a plusieurs épisodes notamment dans la partie EST du pays remontant ainsi du temps de Leopold II ou plus de 6 millions des congolais sont morts dans les mêmes circonstances mais cette fois-la dans l'indifférence totale de tous parce que la les congolais devraient répondre et payer le prix de l'exploitation de leur pays a travers le pompage ou mieux l'afflux d'extractions de toutes leurs ressources humaines et  naturelles de leurs richesses tant du sol que du sous)sol en vue de construire la Belgique qui était vue a l'époque comme leur métropole sanguinaire. Apres la mort de Leopold II; eh bien c'était au tour de la Belgique de pérenniser cette sale besogne d'exploitation illégale et anarchique des richesses du sol et du sous)sol congolais pour le bien d'abord de la Belgique au détriment des bakolomabele et des bakolomboka de manière arbitraire et injustement. Quoi qu'on se le dise; les faits sont la car ils sont palpables mais peu des belges d'aujourd'hui ne voient pas encore ou ne reconnaissent pas encore et continuent de nier toute responsabilité et implication dans la perpétration sanguinaire des crimes odieux commis avant; pendant et après la colonisation du Congo-Kinshasa. Sera-que les congolais d'aujourd'hui n'ont pas le droit ne fus-ce-que d'un grand geste de pardon; d'un mea-culpa ou d'excuse de la part de la Belgique ? Et après que la reconnaissance de ce génocide soit effective; les congolais d'aujourd'hui n'ont -ils pas droit a réparation ou indemnité ? Parce qu'a voir de nos jours; beaucoup se demande si u jour la Belgique pourrait faire demande honorable aux congolais d'aujourd'hui ? car la réparation en soit suppose quoi ? Que les personnes concernées puissent retrouver le sentiment de maitrise de leur vie et établir ou rétablir des nouvelles relations qui pourront être fondées sur le respect; l'égalité; la transparence et la liberté car jusqu'à maintenant c'est le contraire qui se passe. Même en terme d'indemnisation; cela ne constitue pas et ne suffira pas a être considéré comme une forme de réparation en tant que telle. Posons-nous des questions; est-ce-que les Belges d'aujourd'hui voient-ils cela sous ce même angle en terme d'égalité ? C'est-a-dire de traiter d'égale a égale avec les congolais d'aujourd'hui ? Est-ce-que les congolais d'aujourd'hui sont-ils prêts de sortir de cette position ou de cet état de victimisation un jour a l'autre ? Il est urgent qu'on arrête l'effusion de sang ainsi que l'hémorragie de sang des innocents et des victimes d'une justice retardée depuis des lustres par la soidisante communauté internationale car notre pays souffre des affres de la guerre et saigne et donc nous trouvons qu'il est plus que temps de le libérer et de le guérir de l'envoutement dont il est plongé depuis des lustres. Les congolais d'aujourd'hui méritent mieux; notamment avec toutes les ressources naturelles que regorgent leur pays; en vertu de la déclaration sur les droits des peuples autochtones adoptée en septembre 2007 qui dispose de ce qui suit : Les peuples autochtones doivent disposer des véritables moyens ou arsenaux de contrôle sur leur existence; de préserver leurs spécificités et identités culturelles; de vivre a l'abri ou a l'éloignement des discriminations et des menaces de génocide et d'avoir un accès protégé aux terres mabele et aux ressources naturelles qui du reste sont essentielles pour leur bien-être et leur survie. Placer les perspectives économiques avant l'avenir des pays et de leur population est une abomination ou une aberration totale. Le système économique actuel du 21 siècle est inégal et inadéquat dans le sens ou il cherche toujours a enrichir certaines personnes riches en vue d'en appauvrir un grand nombre notamment la classe ouvrière ou moyenne, d'où la nécessité d'une seconde indépendance économique des peuples du monde de disposer de leurs richesses tant du sol que du sous-sol pour qu'il y ait équilibre et stabilité économique pour tous. 

BIENVENU MASSAMBA MP

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6 octobre 2021 3 06 /10 /octobre /2021 15:16
RDC : LES AMBASSAEURS AMERICAINS MIKE HAMMER ET RWANDAIS  VINCENT KAREGHA EXAGERENT BEAUCOUP EN SE MELANT DES AFFAIRES INTERNES DE LA RDC, ILS DOIVENT ETRE RELEVES DE LEUR FONCTION ET EXPULSES AVEC EFFET IMMEDIAT TROP C'EST TROP !
RDC : LES AMBASSAEURS AMERICAINS MIKE HAMMER ET RWANDAIS  VINCENT KAREGHA EXAGERENT BEAUCOUP EN SE MELANT DES AFFAIRES INTERNES DE LA RDC, ILS DOIVENT ETRE RELEVES DE LEUR FONCTION ET EXPULSES AVEC EFFET IMMEDIAT TROP C'EST TROP !

Nous souffrons d'une diplomatie congolaise zaïroise d'origine passoire laissée pour compte à la merci des étrangers, un soi disant ambassadeur rwandais Kagera qui s'ingère dans les affaires internes de notre pays, c'est du n'importe quoi, il doit être expulsé de notre pays immédiatement sans autre forme de négociations, arrêtons d'être aussi naïf et passif à la fois. Kagera le pseudo banyarwanda Banyamulenge ambassadeur rwandais chez nous au Congo Kinshasa est un négationniste de la cause congolaise zaïroise d'origine parce qu'il critique nos politiciens, il s'ingère dans les affaires internes de notre pays, c'est un homme d'état dangereux, Il doit être expulsé du pays avec effet immédiat, de quoi se mêle cet ambassadeur rwandais ? Il est au Congo Kinshasa en tant qu'informateur de Paul Kagame ainsi que leurs vallées anglais saxons, américains et israéliens aux fins de dépecer, de balkaniser, de morceler notre pays en plusieurs morceaux d'où la théorie "Afrique en morceaux ". Vos plans sont connus de toute la communauté internationale communauté des intérêts notamment les occupations inutiles et perpétuelles des Etats du monde afin d'en extraire toutes les matières premières pour enrichir l'occident, L'orient, l'Océanie et autres. Nous allons vous chasser ainsi que votre occupation ignoble de mauvais augure.

Pourquoi pour le cas de la journaliste NTACHA POLONY, elle a été amenée a être renvoyée en correctionnelle pour contestation du génocide rwandais et non Paul Kagame père du triple génocide au sein de la région des grands-lacs ?

Il faut lancer un mandat d'arrêt international contre ce génocidaire de Paul Kagame président actuel du Rwanda pour ses propos négationnistes contre les congolais zaïrois d'origine et mettre en place un tribunal populaire international où sera jugé ce bandit de grand chemin et ses complices que sont les autorités françaises actuelles notamment Emmanuel Macron parce qu'elles sponsorisent et commanditent le génocide des peuples innocents.

Bienvenu Massamba MP et président en exercice de BEDEN VISION ASBL constate avec beaucoup d'amertumes et regrets que l'otage perpétuel ainsi que l'état d'esclavagisme moderne du peuple congolais zaïrois d'origine risque de perdurer longtemps encore avec la publication du gouvernement Sama Lukonde.

C'est comme si les soi disant dirigeants et gouvernants du pays veulent éperdument instrumentaliser et se servir du pays comme étant leur gagne pains au détriment du peuple congolais zaïrois d'origine qui continue de croupir dans la misère, dans la galère totale. 

Parlons peu et parlons bien concernant la gouvernance de notre pays qui fait parti de l'intérêt général c'est-a-dire de tous entant que peuple libre. Etre libre en un mot n'est pas ne rien faire du tout, c'est être seul arbitre de ce qu'on ne fait point ou de ce qu'on fait. Quand la vérité n'est pas libre, la liberté n'est pas vraie. La déclaration universelle des droits de l'homme dans ses articles 1er et 4 sont clairs et nets a ce propos : Article Premier : "Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité".

Article Quatre : "Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude, l'esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes ses formes". Nous pouvons interpréter cet article en ce sens : Que nul ne peut être tenu en esclavage ni en servitude, ni en otage perpétuel ou dans l'esclavagisme moderne a des fins mercantiles, donc, aucun peuple y compris notre peuple congolais zaïrois d'origine ne peut pas en aucun cas de figure être plongé dans l'otage perpétuel ou être bloqué ou être lié avec des accords obscures auxquels il n'a jamais adhéré ni pris part jusqu'à nos jours, ca nous devons le marteler haut et fort car leur pays fait parti de la chose publique congolaise zaïroise d'origine.

 

 

D'où ceux qui les gouvernent doivent rendre des comptes a eux et rien qu'a eux et personne d'autres; ce n'est pas a L'ONU, L'UNICEF, LE PAM, LE PNUD, L'OMS, L'UNESCO, La MONUSCO qu'il faut rendre des comptes non alors non !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

A dater d'aujourd'hui même si on disait que nous allons organiser d'autres élections générales vers 2023, 2028, 2032 ou après ! Je dirais que c'est continuer a mentir a tout le peuple congolais zaïrois d'origine. Look, il y a des préalables avant toute organisation future des élections générales chez nous au Congo-Kinshasa, Il y a la loi électorale en soit qui doit être changée, il y a le recensement proprement dit de toute la population congolaise zaïroise d'origine y compris tous les ressortissants congolais zaïrois d'origine vivant a l'étranger, il y a la constitution actuelle désormais caduque qui ne répond plus aux normes actuelles ainsi qu'aux contextes actuels , il y a les infrastructures de base qu'il faut reconstruire ou construire, il y a le découpage territorial qui a ruiné la cartographie électorale des exercices précédents notamment de 2006, 2011 et 2018 ainsi qu'avenir, donc plusieurs inconnus et inconnus.........; les contentieux électoraux de tous ces exercices; la population autochtone ne dispose même plus des cartes pour citoyen carte d'identité comme c'est fut le cas avec les MAYIYAPONDU du temps du Marechal Mobutu seseko kuku ngwendu wazabanga. Sans reformes institutionnelles efficaces et efficientes dignes de ce nom, rien de bon ne peut sortir d'un Congo nouveau longtemps prôné par les vrais patriotes congolais zaïrois d'origine. Mon souhait est que le pays puisse fonctionner, puisse bénéficier a tous les congolais zaïrois d'origine et non rien qu'a un groupuscule des dirigeants ou gouvernants véreux qui ne voient que leurs intérêts ou leurs privilèges égoïstes, le pays doit respirer et sortir de l'état d'otage perpétuel, d'esclavagisme moderne, de l'état de réanimation ou d'anesthésie générale dans tous ses compartiments. Sécuritairement parlant, nous devons nous battre pour rétablir la paix un peu partout dans notre pays et surtout dans la partie EST où l'insécurité est généralisée. Mon constat sur sujet sécuritaire est tel que si nous réalisons la prolifération de tous les groupes armés évoluant rien qu'a l'EST, nous nous dirons bien que pour prétendre prendre le pouvoir au Congo-Kinshasa, il faut coutes que coutes en faire partie, donc se faire recruter, participer activement a la formation de ces groupes armés florissants comme des champignons afin de prendre un jour la gouverne au Congo-Kinshasa devenant ainsi une nouvelle norme d'acquisition de pouvoir d'être élevé aux rangs d'enfants soldats, KADOGO pour gravir les échelons en pleine forets équatoriales aux prix des atrocités, des tueries, des massacres de ses propres compatriotes de sang et d'une même mère : "LE CONGO-KINSHASA". C'est vraiment dommage et regrettable mais lorsque vous commencez a laisser le pays être dirigé par les ambassadeurs des pays occidentaux parce qu'ils vous donnent des injonctions disant faites ceci, faites cela sinon on va vous couper les aides financières etc...etc...

Ne voyez-vous pas que ca devient du néocolonialisme et de l'ingérence aux affaires internes du pays ? Où est passé votre autodétermination ? bref votre autorité ? comment se fait-il que la terre et les minerais, les ressources naturelles vous appartiennent mais la décision d'extraire, de traiter et d'exploiter les ressources naturelles en question ne vous appartient pas jusqu'à ces jours ? C'est drôle que pour vous construire des infrastructures de haute facture, l'argent et l'aval doivent provenir soit de la banque mondiale ou du FMI etc...etc... ? Les minerais vous appartiennent et vous n'avez guère besoin de vous justifier chez x, y ou z concernant votre destinée, votre devenir de demain. Non ce n'est fini de ces agissements des colonisés et place aux agissements des peuples libres a jamais et éternellement. L'otage perpétuel de notre peuple peut provenir aussi des tous les leaders de certains partis politiques qui aujourd'hui se transforment en pasteur d'église soi disant de réveil mais réellement de sommeil aux fins d'endormir éperdument le peuple congolais zaïrois d'origine afin qu'il ne puisse guère être en état d'éveil patriotique, de vigilance et de clairvoyance face aux enjeux de l'heure. Tous ont un esprit de prédation afin de sacrifier la république ou de la liquider simplement pour garantir leurs intérêts égoïstes transformant ainsi l'état congolais zaïrois d'origine en un état anthropophagique. En lieu et place de protéger la république démocratique du Congo et ses fondements vitaux , ils préfèrent la voler, la piller, la dépiécer de toutes ses subsistances liées a son existence pérenne. Comme il n' y a plus de culture de respect de la chose publique au Congo-Kinshasa des nos jours, eh bien il va de soi que même les autorités morales de tous les partis politiques se comportent de même. Hors un bon citoyen demeure très animé d'un esprit patriotique et de respect strict de la chose publique. Voila pourquoi vous constaterez que quand un gouvernement en vient a traiter la chose publique comme la sienne propre et que sa ruse et ses violences ne servent plus a couvrir ses méfaits, eh bien il est temps qu'il soit renversé. D'où le sens du Commonwealth comme dise les anglais c'est-a-dire le bien être, la richesse et l'abondance pour tous, donc pour tout le monde.

 

Bienvenu Massamba MP

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24 septembre 2021 5 24 /09 /septembre /2021 08:00
RDC : LES MULTINATIONALES CHINOISES ET OCCIDENTALES CONTRE LA LIBERATION ET LA DEMOCRATION DU CONGO - KINSHASA STAND - UP !

 

Il y a de l’or dans la rivière Ulindi, à l’est du Congo, et une compagnie chinoise, Kun Hou Mining, a décidé de mettre la main dessus. Comment faire ? Selon un rapport de l’ONG Global Witness, publié le 5 juillet 2016, c’est assez simple :

  1. Négocier dès l’été 2013 avec le gouverneur de la province du Sud-Kivu, afin d’obtenir sa bénédiction et celle de ses services.
  2. Offrir en 2014 des armes et de l’argent à des groupes armés locaux, pour acheter leur protection. Leur permettre, par la même occasion, de rançonner les orpailleurs artisanaux afin de maintenir leurs activités, qui relèvent du banditisme.
  3. Amener quatre dragueuses à godets à Shabunda, une ville enclavée à 150 km à l’ouest de Bukavu, la capitale de la province, pour extraire de la rivière Ulindi de l’or alluvionnaire dont les quantités ne figureront sur aucun registre
  4. Vendre cet or aux commerçants de Bukavu qui le feront suivre à leur filiale à Dubaï, où se perd la trace du métal précieux.

Le tour est joué. Un tour qui, selon les calculs de Global Witness, a ainsi vu s’évaporer de Shabunda plus d’une tonne d’or par an (soit 38 millions de dollars au prix international), tout en finançant les groupes armés qui sèment la terreur depuis dix ans dans la région. Le tout sans que le moindre impôt local ne soit payé, si bien que la population locale n’en profite pas. Au contraire : la ruée vers l’or de Shabunda, ville qui ne dispose ni d’eau courante ni d’électricité, a fait exploser le prix des vivres et a laissé une partie des habitants le ventre vide.

Scène de rue, à Shabunda, à l’est du Congo, ville ayant été le théâtre d’une ruée vers l’or dès 2013.
Lire aussi « Minerais du sang » : le gouvernement doit résister aux lobbies industriels

Pour ses recherches, l’ONG a mené plus de 80 interviews dans la région au plus fort de la fièvre de l’or de Shabunda, entre 2014 et 2015. Ses conclusions sont accablantes : tout au long de la chaîne de valeur, du plongeur dans la rivière au marchand de Dubaï, les lois congolaises et les lignes de conduites de l’ONU ou de l’OCDE sont violées. De fait, sur les marchés de l’or à Dubaï, en Suisse ou à Londres, l’acheteur n’a aucune garantie qu’il n’est pas en train de financer des groupes armés au Congo, même si la rivière Ulindi semble désormais charrier moins de métal précieux. Voici les principaux éléments du rapport :

1. L’exploitant chinois éhonté

Kun Hou Mining, société appartenant au groupe du même nom enregistré à Shijiazhuang, dans la province chinoise du Hebei, a aussi une filiale en Ouganda. Elle est dirigée à l’est du Congo par un certain Michael Wang, 44 ans, lequel a démarré les opérations à Shabunda en septembre 2014 avec un associé français, Franck Menard, 64 ans. L’or produit par Kun Hou grâce à ses quatre dragueuses à godets, longues chacune de 25 mètres, est estimé par l’ONG à 460 kg par an (17,5 millions de dollars). Mais la compagnie a aussi récupéré de l’or de coopératives locales, qui travaillent avec des « dragues suceuses », sorte de radeaux aspirant les sédiments alluviaux par un simple tuyau qu’un plongeur enfonce dans le gravier, à trente mètres de profondeur. Ces 150 dragues artisanales auraient produit entre 550 et 720 kg d’or par an au pic de la production, entre 2014 et 2015.

L’une des quatre dragues dotées de « chaînes à godets » amenées à Shabunda par la société chinoise Kun Hou Mining . La chaîne à godets peut atteindre une profondeur de 15 mètres. Chaque drague produit entre 10 et 20 kg d’or par mois.

Cependant, pas un gramme de l’or de Shabuna ne figure dans les statistiques de la province du Sud-Kivu. Pourquoi ? Kun Hou affirme qu’une émeute populaire, à Shabunda, en juin 2015, a pillé tout son stock d’or accumulé depuis des mois. Pour Global Witness, il s’agit là d’un mensonge éhonté, accrédité par les autorités, destiné à éviter de payer des impôts locaux, estimés à au moins 300 000 dollars par an. Kun Hou, ce faisant, ne peut ignorer les lignes de conduites internationales. Ses deux représentants, Michael Wang et Franck Menard, ont participé en mai 2015 à un séminaire de trois jours au siège de l’OCDE, à Paris, sur les pratiques d’approvisionnement responsable pour les minerais.

2. Les gangsters des groupes armés

Les milices Raïa Mutumboki, composées de plusieurs groupes, ont été formées à l’origine, en 2005, pour « protéger la population contre les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR) ». A l’effacement des rebelles, la plupart ont refusé de désarmer et se sont tournées contre la population, pratiquant le racket et les kidnappings contre rançon. Elles ont été achetées par Kun Hou dès l’arrivée de la société chinoise. Une lettre récupérée par Global Witness fait état d’un premier don de 4 000 dollars et de deux kalachnikovs, ainsi que des talkies-walkies et de la nourriture. Ces milices ont par ailleurs rançonné les dragueurs artisanaux, gagnant ainsi 25 000 dollars par mois, à raison de 5 grammes d’or prélevés deux fois par mois sur chaque installation.

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Au même moment, l’agence officielle chinoise Xinhua critiquait vertement les milices Raïa Mutumboki, qui se sont emparées de dix villages de la région de Shabunda en août 2015 et les ont soumis au pillage.

La rivière Ulindi, à l’est du Congo, charrie de l’or dans ses alluvions. Mais elle est aussi infestée de groupes armés, les Raia Mutumboki, qui rançonnent les orpailleurs et que la société chinoise Kun Hou a payés pour qu’ils la protègent.

3. Des autorités complaisantes

Global Witness qualifie d’« incompréhensible » l’attitude du gouverneur du Sud-Kivu, Marcellin Cishambo, et son ex-ministre des mines, Adalbert Murhi. Ces deux personnages ont couvert les opérations illégales de Kun Hou, ont attesté du fameux « vol » de l’or par la population en juin 2015 et ont maquillé la provenance de l’or de Shabunda, dont ils savaient qu’il ne remplirait pas les standards internationaux, puisque son extraction nourrissait des groupes armés. Ainsi, dans les statistiques provinciales, tout l’or exporté par le Sud-Kivu en 2014 et 2015, soit 446 kg, uns sous-estimation grossière, provient de Walungu, la seule région dont les mines sont certifiées.

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Quand au printemps 2015 le premier ministre du Congo, Matata Ponyo Mapon, alarmé par les rapports en provenance de Shabunda, a intimé l’ordre au gouverneur du Sud-Kivu de faire cesser immédiatement la production d’or de la rivière Ulindi, celui-ci a fait la sourde oreille, avant de finalement publier un décret qu’il n’a pas pris son de faire appliquer. Au printemps 2016, des témoins ont rapporté à Global Witness que l’extraction de l’or à Shabunda continuait comme si de rien n’était.

4. Un organe de contrôle corrompu

Le Congo est doté d’une agence gouvernementale, la SAESSECAM (Service d’assistance et d’encadrement de small scale mining), chargée de protéger les orpailleurs artisanaux, qui travaillent souvent 24 heures sur 24 dans la rivière. A Shabunda, les agents de la SAESSECAM, dirigés par un certain John Tshonga, ont fait exactement le contraire. Ils se sont entendus avec les miliciens des Raïa Mutumboki pour prélever des taxes illégales sur les plongeurs et dragueurs artisanaux. Selon Global Witness, ces taxes illégales, environ 10 % de la production hebdomadaire, se sont élevées à 2,8 millions de dollars au moins, alors que le budget de la province du Sud-Kivu, lui, n’affichait aucun revenu fiscal en provenance de l’or alluvionnaire. Pendant ce temps, les mineurs ont connu un taux de mortalité important, soit en raison d’effondrements des berges de l’Ulindi, soit par approvisionnement insuffisant en oxygène durant leur plongée, soit encore parce qu’ils se faisaient heurter sous l’eau par des troncs charriés par la rivière.

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5. Les marchands d’or de Bukavu

Selon Global Witness, la majorité de l’or de Shabunda quitte discrètement la RDC par le Rwanda, le Burundi et l’Ouganda. Mais l’ONG a trouvé un document qui atteste d’une vente d’or de Kun Hou à un marchand de Bukavu, Alpha Gold. Dans les registres des exportations figure ensuite une seule transaction : la vente en 2015 de 12 kg d’or par Alpha Gold à sa compagnie sœur à Dubaï, Alpha Gold Corp DMCC, laquelle contrôle une compagnie britannique, Alpha Gold Ltd, enregistrée à Hatton Garden, le quartier londonien des joailliers. Aucune de ces sociétés, qui appartiendraient à l’homme d’affaires canadien Sibtein Alibhai, n’a exercé un devoir de diligence sur sa chaîne d’approvisionnement, conformément aux normes internationales.

Une « dragues suceuses » sur la rivière Ulindi. Elle aspire les sédiments alluviaux par un simple tuyau qu’un plongeur enfonce dans le gravier, à trente mètres de profondeur. Les sédiments remontés à la surface sont déversés sur une sorte de tapis. Les particules fines qui s’y trouvent sont amalgamées par l’équipe de lavage à l’aide de mercure. Après la combustion de l’amalgame, l’or pur peut être récupéré, environ 30 grammes par jour.

L’histoire révélée par Global Witness, est loin d’être un cas unique. Selon un rapport publié en avril 2015 par les Nations Unies, les ressources naturelles exploitées et exportées illégalement dans l’est du Congo représente un pactole de 1,25 milliard de dollars par an. Entre 10 et 30 % de cette somme finance des organisations criminelles au Congo, estiment les experts, mais aussi dans d’autres pays. L’or est, de loin, le business le plus lucratif avec des profits estimés entre 40 et 120 millions de dollars, devant le bois, le charbon, les minerais et les diamants. Environ 98 % des revenus issus de l’exploitation illégale de ce métal précieux seraient en effet captés par des réseaux criminels. Au Congo, au moins 25 groupes armés empochent ainsi chaque année plusieurs millions de dollars. « Un lingot d’or d’un kilo (38 000 euros au cours actuel) a la taille d’un smartphone : impossible à repérer », souligne un bon connaisseur de la filière, sous couvert d’anonymat.

L’évolution de la législation internationale, qui limite en théorie le commerce des minerais extraits illégalement, a en réalité peu changé la donne sur le terrain. Adopté en 2010, le Dodd Franck Act oblige les sociétés cotées en bourse aux États-Unis à vérifier l’origine des minerais. « Mais cela se résume la plupart du temps à cocher des cases : il n’y a aucun contrôle sur place », regrette un expert, également sous couvert d’anonymat. La Chine a également adopté des normes, basées sur celles de l’OCDE, mais ne les applique pas. En RDC, les conditions de travail n’ont guère changé, voire se sont dégradées. « Il faut admettre que les sanctions se sont d’abord traduites par une chute du revenu pour les mineurs », admettent les experts de l’ONU.

Pneus qui flambent, routes barrées, tirs de gaz lacrymogènes… Lundi 13 septembre, les habitants de Kitutu et de plusieurs villages du territoire de Mwenga se mobilisaient pour réclamer le départ des « Chinois ». Ce n’était pas la première fois. Depuis quelques mois, les manifestations contre l’exploitation « illégale » de l’or par des sociétés étrangères ont pris de l’ampleur au Sud-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

Certaines sont soupçonnées de détruire les champs et de polluer l’environnement. « On ne peut plus boire d’eau chez nous à cause du cyanure utilisé pour l’exploitation de l’or par les Chinois. La communauté se demande quelle sera sa part dans tout ça », s’interroge Espoir Balangaliza, un habitant du village de Luhwindja, dans le territoire de Mwenga. D’autres entreprises sont accusées de ne pas indemniser les riverains ou, au mieux, de minorer ces indemnisations.

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« Les premiers remous sociaux antichinois remontent à 2019 », explique Adrien Zawadi, président du Bureau de coordination de la société civile du Sud-Kivu. « Le problème, c’est que la population doit toujours se contenter des miettes », poursuit le militant. Son organisation estime qu’en trois ans, entre six et treize entreprises à capitaux chinois seraient apparues dans la province.

Des contrats frauduleux

La grogne a poussé les autorités provinciales, fin août, à suspendre les activités de six entreprises soupçonnées d’« abus » manifestes et « multiples » sur le territoire de Mwenga. Si cette décision a été contestée par la ministre congolaise des mines, la montée du mécontentement populaire a fini par alerter Kinshasa, à 2 000 km de là. Une commission parlementaire composée de huit députés a été envoyée dans l’est, le 13 septembre, pour enquêter sur « l’exploitation illégale des ressources naturelles ».

La tâche s’annonce ardue : il n’existe à ce jour aucune liste précise des sociétés minières à capitaux chinois présentes dans l’est de la RDC. Certaines sont enregistrées au cadastre avec des permis miniers, d’autres exploitent le minerai sans autorisation ou sur la base de contrats frauduleux contestés par les organisations de la société civile.

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Pour tenter d’y voir clair, les députés en mission à Bukavu, la capitale du Sud-Kivu, ont entendu pendant quatre jours des dizaines d’acteurs du secteur minier. Bien que les dirigeants des entreprises mises en cause n’aient pas fait le déplacement, « les auditions ont été très musclées », rapporte un juriste congolais commissionné par l’une de ces sociétés. Les élus se sont également rendus à Mwenga, à une centaine de kilomètres plus au sud.

Un rapport doit être rendu par les parlementaires dans les jours à venir, mais le ton est d’ores et déjà donné par Jean-Claude Kibala, à la tête des investigations : « La situation est déplorable, confie-t-il. Aucune société n’est dans une situation régulière. »

Une production non déclarée

Le problème dépasse les entreprises chinoises mises en cause. La grande majorité de l’or produit en RDC n’est pas déclaré. Selon une analyse publiée en mars 2019 par l’Institut allemand des géosciences et des ressources naturelles (BGR), la production nationale d’or artisanal serait de 15 à 22 tonnes par an. Or, à en croire les chiffres du ministère des mines, la production artisanale en 2020 était seulement de 17,76 kg pour le Sud-Kivu, première région aurifère du pays.

Sur le terrain, l’hostilité est principalement dirigée contre les Chinois et l’affaire est prise très au sérieux à Pékin, où le ministère des affaires étrangères a demandé aux entreprises accusées d’abus par les autorités provinciales de quitter le Sud-Kivu. Wu Peng, le directeur général des affaires africaines, a tenu à préciser sur son compte Twitter, le 14 septembre, qu’elles seraient « punies et sanctionnées par le gouvernement chinois ».

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Ces sociétés rétorquent qu’elles respectent la loi congolaise. Car si le Code minier réserve aux nationaux l’exploitation artisanale, un arrêté ministériel de 2010 autorise les coopératives minières locales à s’associer avec un partenaire étranger. « Mais les accords sont signés avec des coopératives de façade créées par les sociétés chinoises pour les besoins de la cause », s’indigne Benjamin Bisimwa, délégué de la société civile sur les questions minières. Qui plus est, dénonce-t-il, la répartition des bénéfices est toujours « inégalitaire ».

Ainsi, selon l’accord de partenariat entre la société à capitaux chinois Congo Blueant Minerals (CBM) et la coopérative minière artisanale Comibi signé en septembre 2019 et auquel Le Monde Afrique a eu accès, 80 % de la production revient à l’entreprise asiatique, contre 5 % pour la coopérative, les 15 % restants étant destinés aux communautés et aux autorités locales.

Complicité des administrations

Pour le député Jean-Claude Kibala, « la tricherie est organisée avec l’appui des services de l’Etat ». Cette complicité présumée de certaines administrations accroît le ressentiment des populations dans l’est de la RDC, une région gangrenée par l’insécurité. Le général Bob Ngoie Kilubi, commandant de la 33e région militaire, a assuré devant la commission d’enquête avoir reçu des instructions de sa hiérarchie pour sécuriser le périmètre de Mwenga. Pourtant, l’état-major des armées interdit théoriquement la présence de militaires sur les sites miniers, pour éviter d’attiser les tensions.

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Selon le rapport du groupe d’experts des Nations unies sur la RDC publié en juin 2020, certains membres de l’armée congolaise « ont fourni une protection » à l’entreprise CBM. « Les entreprises bénéficient d’une situation sécuritaire exceptionnelle », souligne Jean-Claude Kibala. Au détriment des locaux, en proie aux attaques des nombreux groupes armées qui déstabilisent la région depuis plus de vingt ans. « Il ne faut pas faire la sécurité par rapport à celui qui a les moyens, il faut faire la sécurité pour tout le pays », conclut le député.

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28 août 2021 6 28 /08 /août /2021 16:09
RDC : COMMENT  LA SOUVERAINETE EST ETROITEMENT LIEE A L'EVANGILE DU MOMENT "L'EMPECHEOLOGIE" PAR BIENVENU MASSAMBA MP

 

La souveraineté est le principe de l'autorité suprême. En matière de politique, la souveraineté est le droit absolu d'exercer une autorité (législative, judiciaire et/ou exécutive) sur une région, un pays ou sur un peuple.

La souveraineté nationale caractérise l'indépendance de l'Etat-nation par rapport à d'autres Etats ou à des instances internationales, hormis pour les autorités que cet état a librement accepté de céder (Cf. fédéralisme).

La souveraineté a été définie par Jean Bodin (1530-1596) dans son traité "Les Six livres de La République" comme un attribut essentiel de l'État : "La souveraineté est la puissance absolue et perpétuelle d'une République." Aucun pouvoir n'est supérieur à la puissance souveraine qui ne peut être anéantie, mais elle n'est pas sans limite (s'exerce sur le domaine public et non privé). Pour Jean-Jacques Rousseau, le peuple est le seul détenteur légitime de la souveraineté.

Notre consitution du 18 Fevrier 2006 amendee en 2011 stipule dans son article 5 ceci : La souveraineté nationale appartient au peuple. Tout pouvoir émane du peuple  qui l’exerce directement par voie de référendum ou d’élections et indirectement par ses représentants. Aucune fraction du peuple ni aucun individu ne peut s’en attribuer l’exercice. La loi fixe les conditions d’organisation des élections et du référendum. Le suffrage est universel, égal et secret. Il est direct ou indirect. Sans préjudice des dispositions des articles 72, 102 et 106 de la présente Constitution, sont électeurs et éligibles, dans les conditions déterminées par la loi, tous les Congolais de deux sexes, âgés de dix-huit ans révolus et jouissant de leurs droits civils et politiques. L'empecheologie comme je lai toujours decrit en ce terme que c'est une doctrime transferable entre individu en vue de denoncer sans embages et sans atermoiements les anti-valeurs, les differentes cultures qui freinent, empechent, bloquent l'elan de la democratie de maniere generale et sur le plan mondial. 

Et dans le contexte actuel de l’histoire de notre pays qui est la RDC; cela implique : 1) Barrer la route contre toute tentative de balkanisation. 2) Barrer la route contre le glissement de pouvoir en RDC. 3) Barrer la route contre la révision constitutionnelle intempestive en RDC. 4) Barrer la route contre le découpage territorial précipité et excessif désordonné 5) Barrer la route a toute tentative diarrhéique de dialogue genre Sun city bis en Afrique du sud de la honte ou l'on ne se partage que les postes stratégiques pour mieux exploiter ses compatriotes pour des intérêts mercantilles. 6) Barrer la route a toute tentative de voie référendaire inutile en vue de prolonger le mandat du président sortant qui a fait plus de 2 mandats au sommet de l'Etat congolais sans rien apporter des réelles concrétisations aux vécus quotidiens du people congolais. 7) Barrer la route aux multinationales étrangères d'exploiter de manière arbitraire les ressources naturelles et minerals de la RDC au détriment des fils et filles du pays. 😎
Barrer la route a toute tentative de viol ainsi que des violations sexuelles massives a l'est ainsi qu'au reste de l'étendue du pays. 9) Barrer la route a la politique aigue de la ventrologie ou du tube digestif a moyen et a long terme. 10) Barrer la route a toute ingérence extérieure aux affaires internes de chaque Etat libre et indépendant digne de ce nom c’est -a-dire respecter le droit des peuples a disposer d’eux-mêmes donc a l’autodétermination telle que définie dans l'article premier de la Charte des Nations unies, puis dans un certain nombre de textes ultérieurs tels que la résolution 1514 (XV) de 1960 sur « l'octroi de l'indépendance aux peuples et aux pays coloniaux », l'autodétermination d'un peuple implique des droits politiques, mais aussi des droits économiques, culturels et sociaux.
Le droit politique à l'autodétermination interne concerne la libre détermination, par chaque peuple, de son statut et de son régime politiques. L'autodétermination comporte aussi un certain nombre de droits économiques – notamment le droit des peuples à disposer librement de leurs richesses et de leurs ressources naturelles, ainsi que le droit d'assurer librement leur développement économique –, des droits en matière culturelle – en particulier, à l'éducation –, et enfin des droits sociaux – comprenant en particulier pour chaque peuple la détermination de son système social. Au niveau politique, l'autodétermination externe peut s'exercer dans trois situations principales : une domination coloniale, un régime de domination ou un apartheid, et une domination étrangère ; son exercice peut par ailleurs se traduire par la création d'un État souverain et indépendant, par une libre association ou une intégration avec un État indépendant, ou par l'acquisition de tout autre statut politique librement décidé par le peuple en question. En tout état de cause, l'autodétermination ne peut être réelle que si elle résulte d'un choix libre et volontaire, exprimé selon des méthodes démocratiques et largement diffusées. Il n’y a que le peuple et lui seul qui detient le droit de veto et le pouvoir coercitif de contraindre un individu ou groupe d’individu de lui imposer sa volonte. Il est ecrit quelque part dans le livre saint qui est la bible dans jean 8:32 que vous connaitrez la verite et la verite vous affranchira. Aujourd’hui le peuple congolais connait reellement la verite concernant le malheur qui frappe son pays. Le pays est sous-0ccupe par des troupes etrangeres notamment son armee victime de brassage desordonne ou l’on remarque des infiltrations par les militaires rwandais, ougandais et autres qui terrorisent la population congolaise en lieu et place de la defendre; l’entretien et la proliferation des groupes armes de maniere permanente. Le pays connait des conflits armes infernales et se retrouve sous la tutelle de l’onu parce que tout ce que le peuple congolais ne peut faire, il ne peut que le faire dans la cadre de l’accord cadre ainsi que des differents accords que les gouvernants de ce pays ont signe sans au prealable donner des eclairessissements de savoir pourquoi signer des accords suelement pour signer.
Voila ou meme vient a point nomme l’evangile du moment “l’empecheologie”.
Les articles de la charte des ressortissants congolais de l’etranger sont clairs et nets :
ARTICLE 14
Les ressortissants congolais vivant a l'etranger doivent defendre a tout prix une nouvelle politique evangelique dite "l'empecheologie" c'est-a-dire l'art de combattre les imperialistes, les multinationales, les occupants ainsi que leur marionnette de pouvoir continuer a perenniser leur sale besogne de destruction totale ou partielle du peuple africain et mettre en detour toute tentative sombre, machiavelique et hegemonique visant a remettre en cause l'emancipation, l'emergence, la croissance et le developpement du continent africain tout entier.
ARTICLE 15
Les ressortissants congolais vivant a l'etranger ont l'obligation de formaliser une farouche resistance contre tout individu ou groupe d'individu qui essaie de prendre le pouvoir et de s'y maintenir par la force tendant a l'exercer en violation de la disposition constitutionnelle en vigueur au pays d'origine en menant des campagnes de desobeissance civiles et de soulevement populaire y compris de journee ville morte pour liberer le peuple congolais en etat d'otage perpetuel.
Se referant au passage de Ephésiens 6:12 : Car notre lutte ou combat n’est pas contre le sang et la chair, mais contre les dominateurs de ces ténèbres, contre les autorités, contre la puissance spirituelle de méchanceté qui est dans les lieux célestes. Cela va nous renvoyer encore plus loin, a savoir les multinationales qui menacent notre intégrité tant physique que territoriale. Ici, je vais pouvoir épingler la multinationale anglaise “SOCO” qui veut a tout prix exploiter le pétrole au sein du parc des virunga qui est notre patrimoine touristique de renoms protège par l’UNESCO. L’exemple de cette multinationale parmi tant d’autres qui ont enregistre leur fortune a travers le pillage des ressources naturelles des pays africains en y provoquant parfois des guerres, conflits armes voire même des balkanisations pour leur propres intérêts au détriment des populations autochtones comme on l’a vu avec le cas au soudan, aujourd’hui balkaniser en 2, le nord et le sud soudan a cause de l’exploitation du pétrole. Vu la prolifération de ces multinationales qui pillulent a telle enseigne que leur puissance financière commence a rivaliser avec celle des Etats. Par exemple l’entreprise pétrolière CHEVRON TEXACO qui est plus riche que le Portugal uni. Ma préoccupation est la suivante : si et seulement si une firme multinationale regorge un chiffre d’affaire plus puissant qu’un Etat alors il est fort probable que son pouvoir d’influence sera énorme par rapport a un syndicat de travailleurs ou bien des ONG autant que les autochtones des régions en conflits armes qui militent pour la préservation de leur milieu de vie. Eu égard au vécus quotidien de ces populations qui vivent parfois dans des conditions de vie difficile garnies d’une précarité préoccupante. Par exemple tous ces jeunes gens qui travaillent dans les gisements que ca soit de pétrole, de cobalt, de coltan, de cassitérites ainsi que d’autres minerais utiles a la fabrication des outils de communication et de l’areonotique etc... etc...

 

Définition de principe

La souveraineté se définit, en droit, comme la détention de l’autorité suprême, c’est-à-dire d’un pouvoir absolu (dont tous dépendent) et inconditionné (qui ne dépend de qui que ce soit). Dans les régimes despotiques, la souveraineté est le plus souvent détenue par un seul homme. Dans les démocraties, elle est détenue par le peuple, constitué en un corps politique, la Nation : on parle dès lors de souveraineté nationale.

En France, l’article 3 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 l’énonce clairement : "Le principe de toute Souveraineté réside essentiellement dans la nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d’autorité qui n’en émane expressément". Dans ce cadre, la souveraineté ne peut être exercée par un despote, ni divisée entre plusieurs fractions du peuple : elle est détenue par un être collectif et indivisible, distinct des individus qui la composent.

Mais les contraintes de l’exercice du pouvoir impliquent que cette souveraineté soit déléguée : le peuple, bien que constitué en corps politique, ne peut en effet délibérer directement sur les affaires publiques. Cette mission est donc confiée à des représentants élus, dont les décisions constituent l’expression de la volonté générale.

Sur ce point l’article 6 de la Déclaration de 1789 dispose que "la loi est l’expression de la volonté générale. Tous les Citoyens ont droit de concourir personnellement ou par leurs Représentants à sa formation. (...)"

Conséquences pratiques

La souveraineté nationale implique l’existence d’un régime représentatif, c’est-à-dire d’un système politique dans lequel le pouvoir législatif est détenu par une assemblée parlementaire élue par le peuple constitué en corps politique. La souveraineté nationale s’oppose à la notion de souveraineté populaire, qui implique pour sa part des mécanismes de démocratie directe, comme les assemblées de citoyens, le mandat impératif ou les référendums. La notion de souveraineté nationale légitime la représentation du peuple par un corps législatif élu par lui, tout en étant doté d’une véritable autonomie dans la prise de décision.

Cette notion a, en outre, des conséquences importantes sur l’organisation du corps législatif :

  • le pouvoir qu’il exerce ne peut être délégué ou partagé (la souveraineté est indivisible) ;
  • le mandat des représentants doit être limité dans le temps (la souveraineté est inaliénable) ;
  • la nation ne peut déléguer l’exercice de la souveraineté de manière définitive (la souveraineté est imprescriptible).

Dans les systèmes démocratiques, le suffrage est toujours universel, égal et secret. Mais le principe de la souveraineté nationale a pu être mis en œuvre dans le cadre d’un suffrage censitaire, restreignant l’effectif du corps électoral et des personnes éligibles en fonction de critères de fortune ou de capacité. Le principe de la souveraineté nationale n’exclut pas, par ailleurs, l’existence d’institutions incarnant la continuité de l’État, qu’il s’agisse d’un monarque ou d’une chambre haute, parfois composée de membres inamovibles (ex. : Chambre des Lords au Royaume-Uni, ou Monarchie de Juillet en France).

Le principe de la souveraineté nationale implique par ailleurs l’interdiction du mandat impératif. Même si les membres des assemblées parlementaires sont élus, en fait, dans des circonscriptions correspondant à une portion du territoire, ils représentent en droit l’ensemble de la nation. Les parlementaires ne représentent donc pas les seuls électeurs qui les ont choisis, mais la nation dans son entier : ce sont "les représentants du peuple".

L’interdiction du mandat impératif est la conséquence logique de cette conception, car un tel principe reviendrait à lier le représentant à la volonté des représentés. Le représentant ne ferait alors que traduire la volonté exprimée par les électeurs, sans pouvoir se prononcer en conscience.

Le système du mandat impératif est en fait fondé sur une conception différente de la souveraineté. Celle-ci est certes détenue par le peuple, mais elle est partagée par chaque citoyen qui le compose. L’existence d’assemblées représentatives ne serait dès lors plus indispensable, ou du moins, celles-ci n’ont plus le monopole de l’expression de la volonté générale. Cette souveraineté populaire légitime la mise en place de procédures de démocratie directe, comme les référendums.

Dans son Contrat social (1762), Jean-Jacques Rousseau a largement développé cette conception de la souveraineté : "Supposons que l’État soit composé de dix mille citoyens. Le souverain ne peut être considéré que collectivement et en corps. Mais chaque particulier, en qualité de sujet, est considéré comme individu. Ainsi le Souverain est au sujet comme dix mille est à un, c’est-à-dire que chaque membre de l’État n’a pour sa part que la dix-millième partie de l’autorité souveraine, quoiqu’il lui soit soumis tout entier."

Il est vrai, toutefois, que ces deux principes – souveraineté nationale, souveraineté populaire – ne sont pas toujours exclusifs l’un de l’autre :

  • l’article 3 de la Constitution du 4 octobre 1958 dispose ainsi que "la souveraineté nationale appartient au peuple qui l’exerce par ses représentants et par la voie du référendum" ;
  • l’article 27 dispose pour sa part que "tout mandat impératif est nul".Article en continu ....

Par BIENVENU MASSAMBA MP

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4 août 2021 3 04 /08 /août /2021 16:55
CENI : BIENVENU MASSSAMBA MP POUR LA DEPOLITISATION AINSI QUE LA DETRIBALISATION DE LA CENI ET DES INSTITUTIONS DU PAYS AFIN DE DENICHER LES INFILTRES DE TOUT BORD

 

Nous sommes  le seul pays au monde qui organise les élections présidentielles et législatives les plus chères qui couvrent l'ensemble de l'étendue du territoire national mais curieusement après organisations, il y a plusieurs provinces qui se retrouvent hors de courses lors du déroulement proprement dit et donc ne votent pas ou ne prennent guère part aux scrutins et parmi le peuple le plus pauvre au monde de la planète terre;  A quoi ca sert de continuer d'organiser des élections générales avec des milliards des dollars américains alors que le peuple congolais zaïrois d'origine continue de croupir dans la misère totale, dans une précarité sociale imprescriptible et indescriptible. Il faut avant faire assoir des systèmes sociaux crédibles, des systèmes sanitaires convenables, des systèmes éducatifs adéquats, des systèmes économiques performants. Il n'y aura pas des élections générales en RDC Congo en 2023 sans remplir les préalables c'est à dire la dissolution de la Ceni format nanga et le recensement proprement dit de la population congolaise zaïroise d'origine inclus celle de la diaspora congolaise zairoise d'origine longtemps victimes d'exclusion arbitraire de plus 45 ans à prendre part aux affaires internes du pays, la réforme complète de la loi électorale, la révision de certains articles précis de la constitution en vigueur retournant ces élections à 2 tours, le retour de l'institution vice - président de la République afin d'éviter les postes inutiles de chef de cabinet de la présidence de la République, la consécration de l'irrévocabilité de la nationalité congolaise zaïroise d'origine afin d'asseoir la double nationalité congolaise zaïroise d'origine etc...etc... Voilà les vraies questions des enjeux de la tenue des prochaines élections présidentielles et législatives chez nous au Congo Kinshasa.

Mais qui a dit que la ceni devrait seulement avoir un président ou une présidente issu des confessions religieuses ? On mélange tout au Congo Kinshasa et la religion et la politique voilà pourquoi ça crée l'Ambrogio véritablement tour de Babel lors de la proclamation des résultats de scrutin de président de la République, il faut laisser la place à un candidat provenant de la diaspora congolaise zaïroise d'origine afin d'éviter des fraudes électorales à grande échelle, croyez - moi on n'est pas sorti de l'auberge encore !

Faut - il aller aux véritables élections présidentielles inclusives et transparentes  ou aux érections de dictature, d'autocratisme, de dynastie, de royaume ? Ou à la révolution populaire pour libérer une fois pour toutes le peuple congolais pris en otage perpétuel ?Tososola nanu. Face a la perspective d’une transition sans kabila et acolytes et consorts; je préconise la mobilisation sans ambages de toutes les forces vives de la nation en vue d’une synergie approfondie en vue d’un travail pédagogique de la crise actuelle de notre pays. Vues les violations massives et répétitives que ca soit de la constitution en vigueur et des différents accords signes précédemment mais jamais mis en application par l’ex-président de la RDC kabila alias kanambe et son clic; vue une gestion calamiteuse et violente du pouvoir a travers de nombreux crimes de sang notamment les assassinats tant de l’Etat congolais d’abord et de sa population en toute impunité ainsi que l’internement ou la mise a résidence surveillée d’opposants au pouvoir ainsi que de crimes économiques a travers l’exploitation illicite et anarchiques des ressources naturelles et la prolifération et le trafic des armes qui exacerbent de manière continuelle de conflits armes a travers tout le pays. Il est urgent qu’on arrête l’effusion ainsi que l’hémorragie de sang des innocents et des victimes d’une justice retardée depuis des lustres par la soit distante communauté internationale car notre pays saigne et il est temps de délivrer et de guérir notre nation. Voila pourquoi une transition populaire sans les incapables  actuels s’avère incontournable en vue de sauver notre population de l’hécatombe. Le choix judicieux pour conduire en bonne et due forme cette énième transition populaire sera donne a son excellence le docteur Denis Mukwege en vue de panser et de soulager temps soit peux les plaies ainsi que les maladies dont sont victimes la population congolaise. Il sera mis en place une commission spéciale juridique chargée d’élaborer un nouvel acte de transition populaire A.T.P en sigle en vue de nous conduire vers un cadre légal nous permettant de bien gérer cette période transitoire d’une période minimum de 5 ans qui fera lieu et place de constitution transitoire. La longévité de cette période transitoire de 5 ans se justifie parce que nous faisons face a une maladie qui gangrène profondément notre pays ou nation comme une épine nzube aux pieds. Pour ce faire l’identification ou mieux le recensement populaire a nouveau de tout un chacun est indispensable et requis en vue de bien baliser la route vers des élections générales crédibles; libres; transparentes et réellement démocratiques dans le délai requis par le nouvel acte de transition populaire a venir. En effet; il n’est plus permit de laisser pour compte que l’état de sante de notre pays d’origine continue de s’empirer ou de se détériorer tous les temps sans la moindre constatation ni la moindre résolution d’en finir avec la médiocrité et l’occupation au sommet de l’état congolais qui nous plongent dans le statuquo. Jusqu'à quand allons-nous être domines par une minorité des incapables; des ennemis du peuple et des agents du colonialisme ou du néo-colonialisme ? Nous sommes dans nos droits de nous lever et de dénoncer toutes les anti-valeurs qui prévalent dans notre territoire car c’est légal et légitime ce que nous faisons ou que nous ferons dans les jours qui viennent comme le déclare si bien la charte africaine des droits de l’homme et des peuples. 

 

On veut nous esclavagiser par kabila et sa bande de voleurs, en effet le choix du dauphin Felix tshisekedi tshilombo n'est qu'un camouflé de la kabilie pour se pérenniser au pouvoir, il nous faut nous libérer de leur joug sinon nous allons repartir encore pour une autre vingtaine d'années sous leur emprise. Tozali lisusu na tango ya parti état te to na tango yaba royaume to dynastie to famille politique moko kaka na NGWENDE ya BOKONZI ya Mboka RDC Congo te. Nous devons chasser l'occupation ainsi tous les occupants sinon te ezali pasi pona génération ya sika. Mboka nini boko léguer bango eh !  Oyo ezali occupé to libéré ? Bienvenu massamba MP président en exercice de Beden vision asbl persiste et signe, j'exhorte mes compatriotes congolais de partout le monde, nous refusons la machination et la robotisation des élections présidentielles et législatives au Congo Kinshasa. Gagnons du temps et allons très vite dans une transition entre congolais de souche pour sauver la jeune démocratie congolaise du chaos bien préparé par nanga et consorts. Vigilance car leur complot est énorme et de grande envergure. Zibula menso sinon te bako rouler biso nyonso na farine ya midema. Les conditions générales et préalables d'une bonne organisation des élections présidentielles et législatives ne sont rien d'autres que l'abandon de la machination et de la robotisation du processus électoral, la libération des prisonniers politiques et d'opinions sans condition. 

Bienvenu Massamba MP 

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15 juin 2021 2 15 /06 /juin /2021 15:34
RAPATRIEMENT DES RESTES DE PATRICE LUMUMBA : BIENVENU MASSAMBA MP TROUVONS UN COMPROMIS D'ENSEMBLE AVEC LA DIASPORA CONGOLAISE ET LE PEUPLE CONGOLAIS DE KINSHASA !
RAPATRIEMENT DES RESTES DE PATRICE LUMUMBA : BIENVENU MASSAMBA MP TROUVONS UN COMPROMIS D'ENSEMBLE AVEC LA DIASPORA CONGOLAISE ET LE PEUPLE CONGOLAIS DE KINSHASA !

Bienvenu Massamba MP exhorte toutes les parties prenantes dans l'organisation des cérémonies du rapatriement des restes de notre Héros national Patrice Emery Lumumba de repousser la date du 22 janvier 2022 au 30 juin 2022 compte tenu des préalables a remplir avant toute autre cérémonie notamment les préparatifs proprement dits avec la construction de Mausole a la place de l'échangeur Limete;

La restitution des restes de reliques de notre Héros national Patrice Emery Lumumba doit trouver un compromis d'ensemble avec tout le peuple congolais zaïrois d'origine ainsi que la communauté internationale africaine en vu d'honorer sa mémoire et lui rendre un dernier hommage; Cela va inclure plusieurs cérémonies d'hommage en son honneur et réparation doit être faite digne de son rang en proclamant du coup la reconnaissance du génocide congolais perpétré pendant l'époque léopoldienne pérennisé par la Belgique jusqu'à nos jours, notre peuple mérite ça !, Parmi la nomenclature des réparations à venir :  restitution des œuvres d'art cachées à Tervuren, facilitation de visa aux congolais zaïrois d'origine, reconstruction des infrastructures du Congo Kinshasa laissées à l'abandon, payer la facture coloniale de 80 millions d'euros etc...etc...; Présenter des excuses dignes de ce nom au nom du peuple belge et de la Belgique au peuple congolais zaïrois d'origine, rapatrier rapidement les industries volées du Congo Kinshasa par la métropole Bruxelles depuis des lustres, combattre; enrayer le racisme structuré en Belgique, Commencer à populariser l'enseignement du colonialisme belge du Congo Kinshasa à tous les niveaux en vue de sortir des clichés d'emprisonnement des méfaits du colonialisme, commémorer chaque année des activités  a caractères touristiques et culturelles concernant la reconnaissance du génocide congolais. 

Marcher sans conscience historique pour un peuple est synonyme de suicide, de perte de repères, d'oubli de soi-même et de manque de perspectives d'avenir car science sans conscience n'est que ruines de l'âme dit-on ! On prédit pas l'avenir mais on le construit à travers le passé. 

AFFAIRE PASSE COLONIAL BELGE : BIENVENU MASSAMBA MP CONSEILLE LES AUTORITES BELGES DE CONSIDERER LA PROPOSITION DE L'EX-DEPUTE FEDERAL BELGE LAURENT LOUIS

Nous sommes ici aujourd'hui pour oser dire la verite, cette verite que la Belgique dissimule depuis des longues annees, cette verite qui est que sous Leopold II, le Congo Kinshasa tout entier était un camp de concentration, un camp de travail forcee qui permit a la famille royale belge mais aussi a la Belgique de s'enrichir sur le sang et la mort des congolais. Jamais sans le congo-kinshasa la Belgique  ne serait devenue une grande puissance mondiale. Jamais sans le congo le Belgique n'aurait pu se developper comme elle l'a fait. Dans tous les magnifiques bâtiments de Bruxelles, c'est le sang des congolais qui coule !

La fortune de la famille saxe cobourg, la famille royale belge, a été en majeure partie constituee sur le pillage a grande echelle du congo Kinshasa et l'exploitation des congolais. Ce n'est pas un crime de l'affirmer, c'est une verite a retabblir !

Et meme si cette verite a souvent été cachee, je n'ai pas peur d'affirmer que c'est également la Belgique qui, soutenu par les USA dans le annees 60, a cree le sida au congo-kinshasa en utilisant les congolais comme des cobayes pour des expériences menees sur le vaccin de la polio, bref nous sommes laa pour demander a la Belgique de reconnaitre ses crimes, pour demander a la communaute internationale de reconnaitre la souffrance du peuple congolais. Presque tous le jours, nous commémorons la Shoas. Il ne se passe pas une semaine sans qu'on parle dans les medias ou la television du calvaire des juifs. La Shoas, c'est 6 millions de morts. C'est l'horreur bien entendu, c'est un crime horrible mais la colonisation belge au congo, c'est plus de 10 millions de morts. Et je ne compte pas les victimes du sida, d'Ebola ou des femmes viollees. 10 millions de morts ! Et pas une ligne dans les manuels d'histoire de nos enfants ! pas un mot !

Les congolais ont-ils moins de valeurs que les juifs ? Non, ils méritent donc d'etre respectees comme eux. Les congolais méritent de voir leur souffrance passee reconnue. Et je l'ai dit, la Belgique doit presenter des excuses formelles et fermes pour les crimes commis au congo-kinshasa, c'est un devoir moral ! Un devoir que le Roi Philippe se doit d'executer car lui seul est mesure de sexcuser au nom du peuple belge et de sa famille !

Mes amis, nous sommes présents ce 26 novembre 2013 pour exiger des excuses mais plus que des mots, ce sont des actions que nous voulons. Nous exigeons que les crimes contre l'humanite auxquels la Belgique participe toujours au Congo-Kinshasa cessent !

Nous commémorons certes les victimes passees mais nous nous mobilisons surtout pour les victimes actuelles, ces victimes du genocide commis a l'est du pays ces dernieres annees, ces femmes victimes de viols horribles mais aussi les victimes de l'immobilisme et de la mauvaise gouvernance du president congolais actuel, marionnette des intérêts financiers et des multinationales occidentales qui dirigent ce "monde du fric a tout prix" !

Pour changer cette realite, il faut changer de politique. Sans un veritable changement au niveau des dirigeants politiques occidentaux, jamais je vous dis bien jamais, le congo-kinshasa ne disposera d'une relle independance. Les pouvoirs en place ont bien trop interet a poursuivre l'exploitation du congo-kinshasa. Les congolais ouu qu'ils se trouvent dans le monde ont donc une mission importante et cruciale a savoir : participer aux changements politiques dans leur pays d'adoption ou d'origine afin de changer le sort du congo-kinshasa.

A la chambre des représentants :

1. vu les nombreux témoignages établissant l'exploitation indigne et les mauvais traitements dont était victime la population congolaise, y compris l'esclavage, la malnutrition, et les mutilations confère affaire des mains coupées avec photos a l'appui; en particulier dans l'industrie du caoutchouc, qui menèrent a un mouvement international de protestation mené par le Royaume-Unis et les USA au début des années 1900.

2. Vu que le rapport rendu en 1904 par une commission d'enquête internationale, indépendante, la commission Edmond Janssens, composée principalement de magistrats, basée sur 4 mois d'investigations sur le terrain au Congo et l'audition de centaines de témoins, dont l'audition des congolais mutilés confirme la surexploitation forcée de la main-d'œuvre soit disant indigène qui avait pour résultat le vidage forcé des villages de leur population mâle.

3. Vu le manque coupable d'encadrement des représentants de Leopold II et son désintéressement complet des conditions de travail des congolais, n'ayant en tête que le seul rendement au mépris des droits de l'homme.

4. Vu le génocide commis entre 1884 et 1925 au cours duquel le Congo vit sa population diminuée de moitié soit de plus de 10nmillions de morts.

5. Vu que le Roi Leopold II de Belgique  avait connaissance du génocide en œuvre et qu'il en fut même a l'origine en privilégiant la rentabilité au mépris de tout respect humain.

6. Vu que des 1884, l'Etat belge fut associé a l'entreprise  de Leopold II au Congo qu'il soutint en volant différents textes au parlement.

7. Vu que le Roi, bien conscient de la réalité du génocide perpétré fit en sorte de détruire les documents accablants d'époque avant la fin de son règne.

8. Vu que le système d'exploitation inhumaine intensive et le travail forcé continuèrent a être d'application au sein du Congo-belge.

9. Vu les exactions et les souffrances subies par la population congolaise entre 1884 et 1960, date de l'indépendance du Congo.

Demande au gouvernement fédéral :

1. De reconnaitre le génocide perpétré dans l'Etat indépendant du Congo par le Roi Leopold II et ses représentants entre 1885 et 1908.

2. De condamner le régime du travail forcé mis en place durant cette période par le roi des belges.

3. De reconnaitre les crimes commis par la Belgique durant la colonisation de 80 ans.

4. De présenter des excuses officielles au nom du pays et de la famille royale a tous les congolais qui ont souffert ou ont perdu des proches au cours de cette sombre période;

5. D'abandonner les reflexes néo-colonialistes et d'opter pour une nouvelle collaboration entre nos 2 pays basée sur le respect mutuel et une meilleure éthique et poursuivant l'intérêt des 2 nations et non d'un pays au détriment de l'autre.

Extrait tiré du livre "BEBOUT" de Laurent Louis ex-député fédéral belge.

 

Bienvenu Massamba MP

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8 juin 2021 2 08 /06 /juin /2021 11:29
Coronavirus: le roi Philippe ne se rendra pas en République démocratique du Congo le 30 juin

Nous vous en parlions il y a 3 jours, il était question d’un éventuel voyage du roi Philippe le 30 juin prochain à Kinshasa à l'occasion du 61e anniversaire de l'indépendance de l'ex-Congo belge et dans le cadre de la restitution des restes de Patrice Lumumba.

Le roi Philippe avait bien l’intention de se rendre à cette occasion en République démocratique du Congo, a expliqué le Palais. Mais les circonstances sanitaires actuelles dans les deux pays et les mesures qui se durcissent pour les déplacements hors Union européenne, le voyage a été reporté d’un commun accord.

Le président congolais Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo et le roi Philippe se sont entretenus ce lundi au téléphone à ce sujet.

Par contre, une délégation congolaise est attendue le 21 juin à Bruxelles dans le cadre de la restitution.

Reliques

 

La Belgique s'est engagée à permettre le rapatriement des "reliques" - il ne reste qu'une, voire deux dent(s) - de Patrice Lumumba, assassiné le 17 janvier 1961, dans des circonstances restées obscures mais en présence d'officiels belges.

Ces "reliques" - un doigt et deux dents, selon Guy Patrice Lumumba, le fils cadet de l'ex-Premier ministre - sont aux mains de la justice belge, après avoir été saisies en 2016 chez la fille d'un ex-policier belge, Gérard Soete, qui avait contribué à faire disparaître le corps de Patrice Lumumba après son assassinat à Shilatembo.

La justice belge a autorisé en septembre 2020 la restitution de ces restes à la famille. En décembre dernier, Etienne Tshisekedi avait annoncé le retour des reliques à l'occasion de la fête nationale du 30 juin prochain, avec l'espoir d'une visite du roi Philippe à l'occasion du 61e anniversaire de l'indépendance de l'ex-Congo belge.

 

Un des fils de Patrice Lumumba s'oppose au retour de ses reliques au Congo

Un des fils du premier Premier ministre du Congo Patrice Lumumba s’oppose au retour de ses reliques prévu pour ce 30 juin afin de lui offrir une sépulture digne. Guy Patrice Lumumba dit craindre la récupération politique de Kinshasa. Pour lui, le président congolais Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo est intéressé par des gains politiques et institutionnalise "l’achat de consciences". Le fils cadet de l’ex-Premier ministre congolais s’est expliqué lors d’une conférence de presse ce jeudi à Bruxelles. Il a aussi écrit au roi Philipe pour exprimer son refus. Le roi des Belges pourrait se rendre à Kinshasa à l’occasion du 61e anniversaire de l’indépendance de l’ex-Congo belge.

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"Je m’oppose catégoriquement à ce que les reliques de mon père soient restituées au gouvernement actuel car il y a de la récupération politique", a affirmé Guy Patrice Lumumba au cours de la conférence de presse, assurant parler en son nom propre et en celui de son frère Michel – sur les cinq enfants de la famille. Il ne s'est pas concerté avec les autres enfants. "Mon père ne retournera pas sous son régime (de Tshisekedi), sous son gouvernement", clame Guy Patrice Lumumba.

Guy Patrice Lumumba attend que le gouvernement congolais s'ouvre aux enfants de Patrice Lumumba pour discuter du retour des reliques. "On est exclu", dit-il.

Un doigt, deux dents

Ces "reliques" – un doigt et deux dents de notre père, selon Guy Patrice Lumumba, même si certains doutent de leur authenticité – sont aux mains de la justice belge, après avoir été saisies en 2016 chez la fille d’un ex-policier belge, Gérard Soete, qui avait contribué à faire disparaître le corps de Patrice Lumumba après son assassinat en janvier 1961. La justice belge a autorisé en septembre 2020 la restitution de ces restes à la famille. En décembre dernier, le président a annoncé le retour des reliques de Patrice Lumumba. Pour son fils, le rapatriement de ses restes fait partie de la campagne électorale de Tshisekedi.

Pour Guy Patrice Lumumba, la date de l’événement est malvenue : le 30 juin qui correspond au 61ème anniversaire de l’indépendance du Congo est aussi la date du discours de Patrice Lumumba qui "l’a conduit à la mort", écrit son fils qui souligne de plus que le président Tshiskedi a récompensé en lui offrant une voiture Jonas Mukamba, "l’un des hommes qui a pourtant permis une mort atroce au Premier ministre".

Le fils de Patrice Lumumba regrette aussi la lenteur de traitement de sa plainte déposée en 2011 en Belgique pour éclaircir les circonstances de la mort de son père. Douze personnalités belges sont citées, dont dix sont décédées : "La Belgique a bloqué le dossier", affirme-t-il. "Nous attendons que la vérité éclate. Nous voulons la réconciliation avec la Belgique". Pour lui, le retour des reliques, c'est aussi "enterrer l'affaire". Guy Patrice Lumumba attend un jugement en Belgique et refuse un retour des reliques de son père avant les élections de 2023.

Source RTBF

Diasporanabisomoko

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5 juin 2021 6 05 /06 /juin /2021 18:11

Plusieurs états ex-coloniaux comme l'Allemagne, la France et autres commencent timidement de reconnaitre leurs méfaits lors de la colonisation sanguinaire de leurs colonies africaines. La France l'a fait dernièrement lors de la visite de travail du chef d'état francais EMMANUEL MACRON au Rwanda : "Je viens reconnaître nos responsabilités." Emmanuel Macron a prononcé un discours très attendu, jeudi 27 mai, à l'issue d'une visite au Mémorial du génocide rwandais à Kigali. Le président de la République a affirmé qu'il était du "devoir de la France de regarder l'histoire en face et de reconnaître la part de souffrance qu'elle a imposée au peuple rwandais", vingt-sept ans après le massacre de 800 000 personnes, essentiellement des Tutsi, sous les ordres du gouvernement hutu. Auparavant, le président français a visité le musée retraçant l'histoire du génocide et déposé une gerbe à la mémoire des victimes. 

La nouvelle de la reconnaissance par l’Allemagne du génocide des communautés herero et nama au début du XXe siècle a fait le tour du monde. Pourtant, elle est loin d’apaiser leurs descendants, qui demandent le paiement de véritables “réparations”.

“Nous qualifierons désormais officiellement ces événements pour ce qu’ils sont du point de vue d’aujourd’hui : un génocide.” Plus d’un siècle après l’extermination de plus de 60 000 membres des ethnies herero et nama entre 1904 et 1908, les mots prononcés le 28 mai par le ministre allemand des Affaires étrangères, Heiko Maas, ont été qualifiés d’historiques. Ils s’accompagnaient d’une aide financière à la Namibie de plus d’un milliard d’euros, en guise de “geste de reconnaissance des immenses souffrances infligées aux victimes”. Officiellement, la Namibie s’est réjouie de cette avancée, qualifiée de “premier pas dans la bonne direction” par le porte-parole du président namibien, Hage Geingob.

Extermination de la rébellion

Les tribus hereros représentent aujourd’hui environ 7 % de la population namibienne contre 40 % au début du XXe siècle. Privés de leurs terres et de leur bétail, ils s’étaient révoltés en 1904 contre les colons allemands, faisant une centaine de morts parmi ces derniers. Envoyé pour mater la rébellion, le général allemand Lothar von Trotha avait ordonné leur extermination. Les Nama s’étaient soulevés un an plus tard et subirent le même sort.

Au total, au moins 60 000 Herero et environ 10 000 Nama perdirent la vie entre 1904 et 1908. Les forces coloniales allemandes avaient employé des techniques génocidaires : massacres de masse, exil dans le désert, où des milliers d’hommes, femmes et enfants sont morts de soif, et camps de concentration, comme celui tristement célèbre de Shark Island.

Tous les crimes perpetres au Congo - Kinshasa ont ete commis au nom du Roi des Belges. Tromperie, fraude, fourberie, vol, viols, incendie, assassinat, mutilation, razzia, rapports sexuels incestieux forces, crimes contre l'humanite, crimes des masses, genocide sont les seuls intruments politiques de Leopold II, dont il devra repondre un jour a l'autre a la barre d'un tribunal penal colonial. Aujourd'hui; plus que jamais nous nous devons d'oser dire la vérité rien que la vérité concernant la tragédie humaine qui s'evit au Congo-Kinshasa notre pays car certains hauts responsables belges comme Monsieur Louis Michel continue de dissimuler depuis l'an 2001 période du placement au sommet de l'état congolais d'une marionnette; d'un pion en la personne de joseph kabila alias kanambe a la gouverne d'un sous continent qui n'en avait nullement besoin comme le fut a l'époque du Rois Leopold II ou le Congo Kinshasa tout entier était transformé en un camp de concentration; un camp de travail forcé qui permit a la Belgique de s'enrichir sur le sang et la mort a grande échelle des congolais. L'holocauste oubliée et jamais reconnu jusqu'à nos jours par la communauté internationale a savoir la reconnaissance effective du génocide congolais ou plus de 10 millions des congolais sont morts a travers les guerres d'agressions a plusieurs épisodes notamment dans la partie EST du pays remontant ainsi du temps de Leopold II ou plus de 6 millions des congolais sont morts dans les mêmes circonstances mais cette fois-la dans l'indifférence totale de tous parce que la les congolais devraient répondre et payer le prix de l'exploitation de leur pays a travers le pompage ou mieux l'afflux d'extractions de toutes leurs ressources humaines et naturelles de leurs richesses tant du sol que du sous)sol en vue de construire la Belgique qui était vue a l'époque comme leur métropole sanguinaire. Apres la mort de Leopold II; eh bien c'était au tour de la Belgique de pérenniser cette sale besogne d'exploitation illégale et anarchique des richesses du sol et du sous)sol congolais pour le bien d'abord de la Belgique au détriment des bakolomabele et des bakolomboka de manière arbitraire et injustement. Quoi qu'on se le dise; les faits sont la car ils sont palpables mais peu des belges d'aujourd'hui ne voient pas encore ou ne reconnaissent pas encore et continuent de nier toute responsabilité et implication dans la perpétration sanguinaire des crimes odieux commis avant; pendant et après la colonisation du Congo-Kinshasa. Sera-que les congolais d'aujourd'hui n'ont pas le droit ne fus-ce-que d'un grand geste de pardon; d'un mea-culpa ou d'excuse de la part de la Belgique ? Et après que la reconnaissance de ce génocide soit effective; les congolais d'aujourd'hui n'ont -ils pas droit a réparation ou indemnité ? Parce qu'a voir de nos jours; beaucoup se demande si u jour la Belgique pourrait faire demande honorable aux congolais d'aujourd'hui ? car la réparation en soit suppose quoi ? Que les personnes concernées puissent retrouver le sentiment de maitrise de leur vie et établir ou rétablir des nouvelles relations qui pourront être fondées sur le respect; l'égalité; la transparence et la liberté car jusqu'à maintenant c'est le contraire qui se passe. Même en terme d'indemnisation; cela ne constitue pas et ne suffira pas a être considéré comme une forme de réparation en tant que telle. Posons-nous des questions; est-ce-que les Belges d'aujourd'hui voient-ils cela sous ce même angle en terme d'égalité ? C'est-a-dire de traiter d'égale a égale avec les congolais d'aujourd'hui ? Est-ce-que les congolais d'aujourd'hui sont-ils prêts de sortir de cette position ou de cet état de victimisation un jour a l'autre ? Il est urgent qu'on arrête l'effusion de sang ainsi que l'hémorragie de sang des innocents et des victimes d'une justice retardée depuis des lustres par la soidisante communauté internationale car notre pays souffre des affres de la guerre et saigne et donc nous trouvons qu'il est plus que temps de le libérer et de le guérir de l'envoutement dont il est plongé depuis des lustres. Les congolais d'aujourd'hui méritent mieux; notamment avec toutes les ressources naturelles que regorgent leur pays; en vertu de la déclaration sur les droits des peuples autochtones adoptée en septembre 2007 qui dispose de ce qui suit : Les peuples autochtones doivent disposer des véritables moyens ou arsenaux de contrôle sur leur existence; de préserver leurs spécificités et identités culturelles; de vivre a l'abri ou a l'éloignement des discriminations et des menaces de génocide et d'avoir un accès protégé aux terres mabele et aux ressources naturelles qui du reste sont essentielles pour leur bien-être et leur survie. Placer les perspectives économiques avant l'avenir des pays et de leur population est une abomination ou une aberration totale. Le système économique actuel du 21 siècle est inégal et inadéquat dans le sens ou il cherche toujours a enrichir certaines personnes riches en vue d'en appauvrir un grand nombre notamment la classe ouvrière ou moyenne, d'où la nécessité d'une seconde indépendance économique des peuples du monde de disposer de leurs richesses tant du sol que du sous-sol pour qu'il y ait équilibre et stabilité économique pour tous.

AFFAIRE PASSE COLONIAL BELGE : BIENVENU MASSAMBA MP CONSEILLE LES AUTORITES BELGES DE CONSIDERER LA PROPOSITION DE L'EX-DEPUTE FEDERAL BELGE LAURENT LOUIS

Nous sommes ici aujourd'hui pour oser dire la verite, cette verite que la Belgique dissimule depuis des longues annees, cette verite qui est que sous Leopold II, le Congo Kinshasa tout entier était un camp de concentration, un camp de travail forcee qui permit a la famille royale belge mais aussi a la Belgique de s'enrichir sur le sang et la mort des congolais. Jamais sans le congo-kinshasa la Belgique  ne serait devenue une grande puissance mondiale. Jamais sans le congo le Belgique n'aurait pu se developper comme elle l'a fait. Dans tous les magnifiques bâtiments de Bruxelles, c'est le sang des congolais qui coule !

La fortune de la famille saxe cobourg, la famille royale belge, a été en majeure partie constituee sur le pillage a grande echelle du congo Kinshasa et l'exploitation des congolais. Ce n'est pas un crime de l'affirmer, c'est une verite a retabblir !

Et meme si cette verite a souvent été cachee, je n'ai pas peur d'affirmer que c'est également la Belgique qui, soutenu par les USA dans le annees 60, a cree le sida au congo-kinshasa en utilisant les congolais comme des cobayes pour des expériences menees sur le vaccin de la polio, bref nous sommes laa pour demander a la Belgique de reconnaitre ses crimes, pour demander a la communaute internationale de reconnaitre la souffrance du peuple congolais. Presque tous le jours, nous commémorons la Shoas. Il ne se passe pas une semaine sans qu'on parle dans les medias ou la television du calvaire des juifs. La Shoas, c'est 6 millions de morts. C'est l'horreur bien entendu, c'est un crime horrible mais la colonisation belge au congo, c'est plus de 10 millions de morts. Et je ne compte pas les victimes du sida, d'Ebola ou des femmes viollees. 10 millions de morts ! Et pas une ligne dans les manuels d'histoire de nos enfants ! pas un mot !

Les congolais ont-ils moins de valeurs que les juifs ? Non, ils méritent donc d'etre respectees comme eux. Les congolais méritent de voir leur souffrance passee reconnue. Et je l'ai dit, la Belgique doit presenter des excuses formelles et fermes pour les crimes commis au congo-kinshasa, c'est un devoir moral ! Un devoir que le Roi Philippe se doit d'executer car lui seul est mesure de sexcuser au nom du peuple belge et de sa famille !

Mes amis, nous sommes présents ce 26 novembre 2013 pour exiger des excuses mais plus que des mots, ce sont des actions que nous voulons. Nous exigeons que les crimes contre l'humanite auxquels la Belgique participe toujours au Congo-Kinshasa cessent !

Nous commémorons certes les victimes passees mais nous nous mobilisons surtout pour les victimes actuelles, ces victimes du genocide commis a l'est du pays ces dernieres annees, ces femmes victimes de viols horribles mais aussi les victimes de l'immobilisme et de la mauvaise gouvernance du president congolais actuel, marionnette des intérêts financiers et des multinationales occidentales qui dirigent ce "monde du fric a tout prix" !

Pour changer cette realite, il faut changer de politique. Sans un veritable changement au niveau des dirigeants politiques occidentaux, jamais je vous dis bien jamais, le congo-kinshasa ne disposera d'une relle independance. Les pouvoirs en place ont bien trop interet a poursuivre l'exploitation du congo-kinshasa. Les congolais ouu qu'ils se trouvent dans le monde ont donc une mission importante et cruciale a savoir : participer aux changements politiques dans leur pays d'adoption ou d'origine afin de changer le sort du congo-kinshasa.

A la chambre des représentants :

1. vu les nombreux témoignages établissant l'exploitation indigne et les mauvais traitements dont était victime la population congolaise, y compris l'esclavage, la malnutrition, et les mutilations confère affaire des mains coupées avec photos a l'appui; en particulier dans l'industrie du caoutchouc, qui menèrent a un mouvement international de protestation mené par le Royaume-Unis et les USA au début des années 1900.

2. Vu que le rapport rendu en 1904 par une commission d'enquête internationale, indépendante, la commission Edmond Janssens, composée principalement de magistrats, basée sur 4 mois d'investigations sur le terrain au Congo et l'audition de centaines de témoins, dont l'audition des congolais mutilés confirme la surexploitation forcée de la main-d'œuvre soit disant indigène qui avait pour résultat le vidage forcé des villages de leur population mâle.

3. Vu le manque coupable d'encadrement des représentants de Leopold II et son désintéressement complet des conditions de travail des congolais, n'ayant en tête que le seul rendement au mépris des droits de l'homme.

4. Vu le génocide commis entre 1884 et 1925 au cours duquel le Congo vit sa population diminuée de moitié soit de plus de 10nmillions de morts.

5. Vu que le Roi Leopold II de Belgique  avait connaissance du génocide en œuvre et qu'il en fut même a l'origine en privilégiant la rentabilité au mépris de tout respect humain.

6. Vu que des 1884, l'Etat belge fut associé a l'entreprise  de Leopold II au Congo qu'il soutint en volant différents textes au parlement.

7. Vu que le Roi, bien conscient de la réalité du génocide perpétré fit en sorte de détruire les documents accablants d'époque avant la fin de son règne.

8. Vu que le système d'exploitation inhumaine intensive et le travail forcé continuèrent a être d'application au sein du Congo-belge.

9. Vu les exactions et les souffrances subies par la population congolaise entre 1884 et 1960, date de l'indépendance du Congo.

Demande au gouvernement fédéral :

1. De reconnaitre le génocide perpétré dans l'Etat indépendant du Congo par le Roi Leopold II et ses représentants entre 1885 et 1908.

2. De condamner le régime du travail forcé mis en place durant cette période par le roi des belges.

3. De reconnaitre les crimes commis par la Belgique durant la colonisation de 80 ans.

4. De présenter des excuses officielles au nom du pays et de la famille royale a tous les congolais qui ont souffert ou ont perdu des proches au cours de cette sombre période;

5. D'abandonner les reflexes néo-colonialistes et d'opter pour une nouvelle collaboration entre nos 2 pays basée sur le respect mutuel et une meilleure éthique et poursuivant l'intérêt des 2 nations et non d'un pays au détriment de l'autre.

Extrait tiré du livre "BEBOUT" de Laurent Louis ex-député fédéral belge.

 

Bienvenu Massamba MP

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