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22 avril 2024 1 22 /04 /avril /2024 08:42

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22 avril 2024 1 22 /04 /avril /2024 08:35
Ce jour-là, 28 avril comme aujourd'hui, mais en 1995, le parlement Zaïrois adopte la "résolution sur la nationalité". C'est l'Acte 1 de ce qui deviendra, quelque temps après, la "Guerre des Banyamulenge".
Ce jour-là, Ce jour-là, 28 avril comme aujourd'hui, mais en 1995, sous la direction de son vice-président Anzuluni Bembe, le Haut Conseil de la République - Parlement de Transition (HCR-PT) adopte une série de mesures, compilées dans ce qu'on appela "Résolution sur la Nationalité", visant ostensiblement à empêcher les réfugiés rwandais et burundais d’acquérir la nationalité zaïroise, mais qui, en pratique, finit par s’appliquer à la plupart des Rwandophones du Zaïre, notamment les Banyamulenge.
Il s'agissait en fait de l'application des conclusions du rapport élaboré par une commission parlementaire dépêchée dans la région.
Présidée par Monsieur Vangu Mambweni ma Busana, cette commission avait recommandé "le nettoyage du Congo de tout élément Munyarwanda".
Sa conclusion était que des Tutsis prépareraient un "Royaume hamitique" qui couvrirait le Rwanda, l'Ouganda, le Burundi, le Kenya, la Tanzanie et le Zaïre.
Un membre de la commission, Monsieur Rémy Kalegamire, un Havu du Sud-Kivu, dénonça cette dérive, expliquant bien qu'il existait des Banyarwanda zaïrois.
Il fut déchu de son mandat de parlementaire et de sa nationalité zaïroise.
Notons que cette situation avait été accentuée par la pression démographique due au déferlement des 1.200.000 réfugiés rwandais dans le Kivu, compliquant la cohabitation entre autochtones zaïrois et Banyarwanda implantés de longue date au Kivu.
Petit à petit, une hostilité anti-tutsi s'installa au Zaïre, incitant ainsi le régime Mobutu à remettre en cause les acquis de leur nationalité zaïroise.
La "résolution sur la nationalité" laissait entendre que les Banyarwanda avaient acquis la nationalité de manière frauduleuse et appelait à leur expulsion sans conditions et sans délais, à l'annulation des contrats de propriété et à l'interdiction de leurs associations.
Elle stipulait :
« …Considérant le comportement hostile aux Zaïrois de ces Rwandais et Burundais qui sont devenus zaïrois par fraude de la carte d'identité zaïroise, qui combattent l'autorité coutumière, administrative et politique zaïroise qu'ils cherchent à supplanter à tout prix....
Attendu qu'en 1976 à Bijombo (Uvira), à Itombwe (Mwenga) et à Minembwe (Fizi) les immigrés et réfugiés rwandais devinrent pour besoin d’identité politique des "Banyamulenge" avec la complicité de feu Gisaro, alors commissaire du peuple...
Conscient de ses engagements vis-à-vis de la Communauté internationale : ONU et OUA;
Considérant que le nationalisme ne doit pas être confondu avec la xénophobie...
Le Zaïre retire tous droits aux rwandophones zaïrois et étrangers ».
Quelques semaines après, au Sud-Kivu, les autorités locales commencèrent à prendre des mesures pour appliquer cette résolution et la situation des Banyamulenges devint de plus en plus précaire.
En septembre 1995, "Groupe Milima", ONG appartenant à un Munyamulenge, fut interdit de fonctionner.
Le 19 octobre 1995, le Commissaire de Zone d'Uvira (Shweka Mutabazi) qualifia les Banyamulenges de "groupe ethnique inconnu au Zaïre" et déclara que leurs dirigeants seraient tous expulsés du pays.
De plus en plus d’actes de violence contre les Banyarwanda furent signalés au Kivu. Ces événements venaient s’ajouter aux vives inquiétudes suscitées par la présence de Hutus rwandais, dont certains avaient participé au génocide. Un an après (Octobre 1996), le Kivu s'embrasait.
C'était la "Guerre des Banyamulenge" qui a vu venir Laurent-Désiré Kabila et l'AFDL qui, 8 mois après, parvinrent à faire tomber le régime Mobutu.

 

NOUS DEVONS ARRACHER LA NATIONALITE CONGOLAISE AUX USURPATEURS ET IMPOSTEURS AINSI QU'AUX COMPLOTEURS

FACE A LA CRISE MULTIFORME GRANDISSANTE CHEZ NOUS EN RDC, LE MP DE LA DIASPORA CONGOLAISE PROPOSE QUELQUES RECOMMANDATIONS IMPORTANTES EN VUE DE SORTIR DE CETTE CRISE DE LA MANIERE SUIVANTE : PRIMO, OPTER POUR LA DECHEANCE DE LA NATIONALITE CONGOLAISE CONTRE TOUS CEUX QUI ONT TRAHI LE PAYS, TOUS CEUX QUI ONT COMMIS DES CRIMES GRAVES NOTAMMENT CRIMES CONTRE L'HUMANITE, CRIMES DE GUERRE, CRIMES D'APARTHEID, CRIMES DE GENOCIDE ETC...ETC... EN ACCORD AVEC LES ARTICLES 52, 56, 57, 58, 59, 60, 61 DE LA CONSTITUTION EN VIGUEUR AU PAYS D'ORIGINE COMME SUIT :
Article 52 Tous les Congolais ont droit à la paix et à la sécurité tant sur le plan national qu'international.
Aucun individu ou groupe d'individus ne peut utiliser une portion du territoire national comme base de départ d'activités subversives ou terroristes contre l'Etat congolais ou tout autre Etat.
Article 56 Tout acte, tout accord, toute convention, tout arrangement ou tout autre fait, qui a pour conséquence de priver la nation, les personnes physiques ou morales de tout ou partie de leurs propres moyens d'existence tirés de leurs ressources ou de leurs richesses naturelles, sans préjudice des dispositions internationales sur les crimes économiques, est érigé en infraction de pillage punie par la loi.
Article 57 Les actes visés à l'article précédent ainsi que leur tentative, quelles qu'en soient les modalités, s'ils sont le fait d'une personne investie d'autorité publique, sont punis comme infraction de haute trahison.
Article 58 Tous les Congolais ont le droit de jouir des richesses nationales. L'Etat a le devoir de les redistribuer équitablement et de garantir le droit au développement.
Article 59 Tous les Congolais ont le droit de jouir du patrimoine commun de l'humanité. L'Etat a le devoir d'en faciliter la jouissance.
Article 60 Le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales consacrés dans la Constitution s'impose aux pouvoirs publics et à toute personne.
Article 61
En aucun cas, et même lorsque l'état de siège ou l'état d'urgence aura été proclamé conformément aux articles 85 et 86 de la présente Constitution, il ne peut être dérogé aux droits et principes fondamentaux énumérés ci-après : 1. le droit à la vie ; 2. l'interdiction de la torture et des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants ; 3. l'interdiction de l'esclavage et de la servitude ; 4. le principe de la légalité des infractions et des peines ; 5. les droits de la défense et le droit de recours ; 6. l'interdiction de l'emprisonnement pour dettes ; 7. la liberté de pensée, de conscience et de religion.
SEGUNDO, PROCEDER AU RECENSEMENT PROPREMENT DIT DE TOUTE LA POPULATION CONGOLAISE INCLUS LA DIASPORA CONGOLAISE DE PARTOUT LE MONDE AVEC UN PROJET PILOTE DE RECENSER RIEN QUE LA OU NOUS REGORGEONS UN AFFLUX DES COMPATRIOTES CONGOLAIS NOTAMMENT EN BELGIQUE, FRANCE, ANGLETERRE, BRESIL, CHINE, CANADA, USA, MAROC, CONGO-BRAZZAVILLE, ANGOLA, AFRIQUE DU SUD, EGYPTE, ETHIOPIE, SUISSE, ALLEMAGNE.
TERCIO, LIBERER OU LIBERALISER ENTIEREMENT ET TOTALEMENT NOTRE PEUPLE DE L'ETAT D'OTAGE PERPETUEL OU D'ESCLAVAGISME MODERNE DONT ON ESSAIE DE LUI IMPOSER DE MANIERE CONTINUE. CONFERE GAL.5:13, 2COR3: 17, GAL 5: 1 Frères, vous avez été appelés à la liberté, seulement ne faites pas de cette liberté un prétexte de vivre selon la chair; mais rendez-vous, par la charité, serviteurs les uns des autres. C'est pour la liberté que Christ nous a affranchis. Demeurez donc fermes, et ne vous laissez pas mettre de nouveau sous le joug de la servitude. Or, le Seigneur c'est l'Esprit; et là où est l'Esprit du Seigneur, là est la liberté, CAR NOTRE PEUPLE NE PEUT PLUS DEMEURER LIE AVEC DES ACCORDS OU DES LIENS, DES CHAINES QUI LE CONDUIT TOUT DROIT VERS DES FOSSES COMMUNES.
QUATTUOR, PROCEDER A L'AUTO-DECOLONISATION DE NOTRE PEUPLE POUR QU'IL NE PUISSE COMPTER D'ABORD SUR SA PROPRE FORCE, SA PROPRE EXPERIENCE DU COUP DE LA VIE ACTIVE AFIN DE S'AUTODETERMINER, C'EST A DIRE S'ACCAPARER DU DROIT DES CONGOLAIS A DISPOSER D'EUX-MEME. IL EST ABERANT QUE NOUS CONTINUONS A VIVRE QUE DANS LE CADRE DE LA CONFERENCE DE BERLIN QUI A CONCLU LA BALKANISATION DU CONTINENT AFRICAIN EN PLUSIEURS PETITS ETATS.
QUINQUE, SE BATTRE POUR RETABLIR LA CONSCIENCE COLLECTIVE DES CONGOLAIS PARTOUT OU QU'ILS SE TROUVENT AFIN D'ERADIQUER LES CONTEXTES D'OCCUPATION ETRANGERE, DE LA SOUS TUTELLE DE L'ONU, ET DES CONFLITS ARMES; DE DICTATURE, D'AUTOCRATISME, D'ERECTION D'EMPIRE OU DE ROYAUME, DE DYNASTIE OU D'UNE SEULE FAMILLE POLITIQUE AU SOMMET DE L'ETAT CONGOLAIS, TROP C'EST TROP !!!!
SEXTUS, MOBILISER NOTRE PEUPLE CONGOLAIS POUR LUI FAIRE VOIR QUE C'EST UN PEUPLE UNIQUE A SON GENRE, UN PEUPLE MIS A PART DONT LA MISSION FONDAMENTALE ET PRIMORDIALE EST DE PACIFIER LE MONDE ENTIER, POURQUOI ? PARCE QUE LE PAYS EST GARNIT DES MINERAIS UTILES A LA FABRICATION D'ARMES NUCLEAIRES, DES BOMBES ATOMIQUES. C'EST NOTRE PAYS A TARVERS SES MINERAIS QUI ENRICHIT LES SOI-DISANT GRANDES PUISSANCES COMME LES USA, CHINE, RUSSIE, ROYAUME-UNI, FRANCE, BELGIQUE, CANADA, EN URANIUM MAIS CURIEUSEMENT NOTRE PAYS N'OCCUPE GUERE UNE PLACE DE MARQUE AU SEIN DU CONSEIL DE SECURITE DE L'ONU, NI NE SIEGE DANS SON ENSEMBLEE GENERALE AVEC UNE PLACE OU UNE VOIX DE MERITE, C’EST INJUSTE ET INCOMPREHENSIBLE !!!
SEPTEM, RESISTER ET LUTTER JUSQU'A LA LIBERATION, L'INSTALLATION, L'INSTAURATION EFFECTIVE D'UN ETAT DE DROIT A GRANDE ECHELLE AU CONGO KINSHASA.
OCTO, L'ULTIME OBJECTIF OU BUT EST DE PAISER DE TOUT SON POIDS DE METTRE EN PLACE UN GOUVERNEMENT RESPONSABLE, SOUCIEUX DU BIEN ETRE DES CONGOLAIS TOUT EN EXTIRPANT, EN EXFILTRANT, EN EXPULSANT TOUS LES ETRANGERS DANS TOUTES NOS INSTITUTIONS TELLES QUE : L'ARMEE CONGOLAISE, LA POLICE CONGOLAISE, LE SERVICE DE SECURITE ET RENSEIGNEMENT, ANR, DGM, RVA, RVM, MINISTERE DE L'INTERIEUR, MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DIPLOMATIE CONGOLAISE ETC...ETC...

BIENVENU MASSAMBA MP

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21 avril 2024 7 21 /04 /avril /2024 15:16

RESPONSABILITES ET OBLIGATIONS DES MIGRANTS A L’EGARD DES PAYS D’ACCUEIL S’appuyant sur la Déclaration de New York pour les réfugiés et les migrants adoptée le 19 septembre 2016, le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières énoncera un ensemble de principes, d’engagements et d’accords entre les Etats Membres concernant les migrations internationales sous tous leurs aspects. Il doit apporter une contribution importante à la gouvernance mondiale et renforcer la coordination s’agissant des migrations internationales. Les « documents thématiques » élaborés par l’OIM pour examen par les Etats Membres donnent un aperçu des sujets essentiels et esquissent des suggestions afin d’éclairer les acteurs participant au processus de consultations de 2017 qui conduira aux négociations intergouvernementales et à l’adoption du pacte mondial sur les migrations. INTRODUCTION L’un des principes bien établis du droit international est que tous les peuples – sans discrimination – possèdent des droits et des libertés fondamentales et que les Etats ont une responsabilité première et le devoir de respecter, protéger et réaliser ces droits et libertés. Dans le domaine des politiques migratoires, toutefois, l’une des questions à laquelle on accorde moins d’attention est celle des responsabilités et obligations réciproques des migrants à l’égard des sociétés d’accueil. Il s’agit d’un aspect important du débat, car les systèmes juridiques donnent naissance tout à la fois à des droits et à des responsabilités, et il est généralement admis que tous les individus, nationaux ou non-nationaux, doivent respecter les lois et règlements de l’Etat sur le territoire desquels ils se trouvent. Les migrants ne font aucunement exception. La question des droits et obligations des migrants est importante non seulement d’un point de vue purement juridique, mais aussi d’un point de vue pratique, car elle est étroitement liée à l’intégration des migrants, à la cohésion sociale, ainsi qu’à l’acceptation générale des migrants et de la migration par la société d’accueil. Une intégration réussie est, par exemple, un processus bilatéral qui nécessite l’adaptation mutuelle des migrants et de la société d’accueil, ainsi que l’égalité et la réciprocité des droits et obligations. Cela implique d’être conscient de ses obligations et de respecter les valeurs fondamentales – telles que la primauté du droit – qui lient les migrants et leur communauté d’accueil à un objectif commun. L’obligation générale de respecter les lois et règlements d’un Etat revêt plusieurs aspects dans le contexte de la migration. Elle concerne non seulement les lois applicables à tous (y compris aux nationaux), mais aussi celles qui régissent plus particulièrement l’entrée et le séjour des étrangers – conditions de visas, autorisations de travail et retour, par exemple. La principale contribution des gouvernements est de s’assurer que les personnes qui envisagent de migrer sont suffisamment informées de leurs droits et obligations, notamment en investissant dans la formation d’orientation Pacte mondial sur les migrations | Document thématique sur les responsabilités et obligations des migrants Page 2 de 6 avant le départ pour préparer les migrants à leur vie dans leur nouveau pays. Conjuguée à l’ensemble plus vaste des initiatives et pratiques relatives à l’intégration et à la cohésion sociale, cette information pourrait figurer au nombre des recommandations et engagements énoncés dans le pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières. PRINCIPES EXISTANTS La Déclaration de New York note « que les réfugiés et les migrants ont l’obligation de respecter les lois et règlements de leurs pays d’accueil » (paragraphe 39). Cette obligation est également inscrite dans la Convention internationale sur la protection des droits de tous les travailleurs migrants et des membres de leur famille de 1990 (Convention sur les droits des travailleurs migrants). Dans la même ligne que l’article 2 de la Convention relative au statut des réfugiés de 1951, l’article 34 de la Convention sur les droits des travailleurs migrants prévoit ainsi : « Aucune disposition de la présente partie de la Convention n’a pour effet de dispenser les travailleurs migrants et les membres de leur famille de l’obligation de se conformer aux lois et règlements de tout Etat de transit et de l’Etat d’emploi, ni de l’obligation de respecter l’identité culturelle des habitants de ces Etats. » L’article 33 de la Convention énonce en outre un droit concomitant des travailleurs migrants d’être informés par l’Etat d’origine, l’Etat d’emploi ou l’Etat de transit en ce qui concerne « les conditions d’admission [et] leurs droits et obligations en vertu de la législation et des usages ». Cela implique de prendre « toutes les mesures qu’ils jugent appropriées pour diffuser lesdites informations ou pour veiller à ce qu’elles soient fournies par les employeurs, les syndicats ou autres organismes ou institutions appropriés », et comprend aussi l’obligation de coopérer avec les autres Etats concernés1 . Les migrants ont donc des responsabilités et des obligations vis-à-vis à la fois des pays de transit et des pays de destination. Ces responsabilités et obligations imposées en vertu des législations nationales ne sont toutefois pas illimitées, et doivent être conformes aux obligations faites aux Etats en application du droit international. L’une des obligations essentielles ici est le respect des droits de l’homme de tous les migrants, indépendamment de leur statut migratoire2 . Comme les Etats Membres l’ont réaffirmé dans la Déclaration de New York3 , le principe de non-discrimination est à cet égard central pour garantir la jouissance des droits de l’homme indépendamment de la race, de la couleur, du sexe, de la langue, de la religion, de l’opinion politique ou de toute autre opinion, de l’origine nationale ou sociale, de la fortune, de la naissance ou de toute autre situation, y compris du statut migratoire4 . Les seules distinctions autorisées dans le droit international sur la base de la nationalité ou du statut migratoire – et qui ne constituent donc pas des cas de discrimination – concernent l’accès au droit de vote et la liberté de circulation à l’intérieur des Etats. Le droit de vote est en effet limité aux nationaux en vertu du droit international (article 25 du Pacte international relatif aux droits civils et politiques (PIDCP)), tandis que la liberté de circulation et la liberté de choisir sa résidence à l’intérieur d’un pays sont accordées aux individus se trouvant « légalement sur le territoire d’un Etat » (article 12, alinéa 1 du PIDCP). Concernant les migrants qui sont entrés de manière régulière dans un pays d’accueil et ceux dont le séjour a été régularisé5 , toute restriction à la liberté de circulation et toute différence de traitement par rapport aux nationaux doivent être justifiées juridiquement, nécessaires, proportionnées et compatibles avec les autres droits de l’homme, y compris le principe de non-discrimination6 . La même règle s’applique aux restrictions de tout autre droit de l’homme. Pacte mondial sur les migrations | Document thématique sur les responsabilités et obligations des migrants Page 3 de 6 Etant donné que le droit international des droits de l’homme s’applique à tous les individus sous la juridiction d’un Etat, les autres droits de l’homme sont également des éléments essentiels à prendre en compte lorsqu’on limite les responsabilités et obligations imposées aux migrants dans les pays d’accueil. Les migrants ont donc droit à la reconnaissance de leur personnalité juridique (article 16 du PIDCP). Ils ont droit à une procédure régulière et à la protection dans toutes les procédures, y compris celles relatives à l’immigration, à l’émigration, aux inculpations pour infractions pénales, à la détention, à l’expulsion ou à l’éloignement. A cet égard, les migrants doivent être égaux devant les tribunaux et les cours de justice quelle que soit la nature des poursuites et sans discrimination, et leur droit à un procès équitable doit être garanti et respecté (article 14 du PIDCP)7 . Bien que les Etats conservent le droit d’expulser des migrants de leur territoire, l’expulsion ne peut être entreprise « qu’en exécution d’une décision prise conformément à la loi » et les intéressés doivent avoir la possibilité de faire valoir les raisons qui militent contre leur expulsion (article 13 du PIDCP et article 22, alinéa 2 de la Convention sur les droits des travailleurs migrants), surtout s’agissant des risques de refoulement et du respect du droit à une vie privée et à une vie de famille. Il en résulte que les expulsions arbitraires et collectives sont interdites8 . ENJEUX L’obligation de se conformer à la législation nationale du pays d’accueil revêt divers aspects, y compris, premièrement, ceux concernant l’entrée, deuxièmement, ceux applicables aux migrants une fois sur le territoire du pays et sous la juridiction de celui-ci et troisièmement, ceux découlant d’une entrée et/ou d’un séjour irréguliers. Responsabilités et obligations des migrants concernant l’entrée dans un pays d’accueil Les migrants ont le droit de quitter tout pays et de revenir dans leur propre pays (voir, par exemple, l’article 12, alinéas 2 et 4 du PIDCP). Ils n’ont toutefois pas de droit concomitant d’entrer ou d’être admis dans un pays tiers. Il revient en effet aux Etats de décider qui ils admettent sur leur territoire9 , sous réserve, toutefois, du respect des principes de regroupement familial et de non-refoulement. Audelà de ces principes, il n’existe pas de droit général d’entrée et de séjour dans un pays autre que celui de la nationalité, l’entrée et le séjour étant donc régis par des accords multilatéraux/bilatéraux entre les Etats et en vertu des lois sur l’immigration de chaque Etat. L’absence de droit d’entrée signifie, par voie de conséquence, que les migrants ont le devoir de se conformer aux lois nationales sur l’immigration du futur pays d’accueil, par exemple en demandant et en obtenant un visa et/ou un permis de travail/de résidence. Si cela ne pose pas de problème pour la majorité des migrants à travers le monde qui entrent de manière régulière dans leur pays d’accueil, les possibilités limitées d’obtention d’un visa et/ou d’un permis ou les conditions restrictives imposées en la matière constituent des obstacles pour d’autres. En effet, la délivrance d’un visa nécessite habituellement de faire la preuve que l’on dispose de ressources financières suffisantes, tandis que pour obtenir un permis de travail, les futurs migrants doivent souvent déjà avoir un contrat et/ou être parrainés par un employeur dans le pays d’accueil10. Conjuguées au manque de perspectives d’emploi dans le pays d’origine, à la pauvreté, à la discrimination, aux violations des droits de l’homme et/ou aux Pacte mondial sur les migrations | Document thématique sur les responsabilités et obligations des migrants Page 4 de 6 conflits armés, par exemple, ces possibilités limitées de migration poussent bien souvent les migrants à emprunter des voies de migration irrégulières. En conséquence, il incombe certes aux migrants de se conformer aux lois nationales sur l’immigration pour entrer dans un pays, mais le recours accru à la migration irrégulière semble indiquer que les Etats devraient envisager d’ouvrir davantage de voies de migration régulières temporaires ou de longue durée pour les travailleurs migrants aussi bien peu qualifiés que très qualifiés11, ainsi que pour toute personne ayant besoin d’une protection internationale. Cela fait écho à « la création et [au] développement de voies de migration sûres et régulières » envisagée à l’annexe II de la Déclaration de New York (paragraphe 8, alinéa e). Responsabilités et obligations des migrants une fois sur le territoire du pays d’accueil Outre l’obligation générale de respecter les lois de l’Etat territorial comme toute autre personne, il incombe souvent aux migrants de satisfaire à certaines obligations spécifiques attachées à leur statut au regard de l’immigration. Ils peuvent ainsi être tenus de s’enregistrer auprès des autorités concernées et sont ensuite responsables de renouveler leur visa/permis. Selon la suite donnée à leur demande de renouvellement, ils peuvent avoir le droit de travailler ou non, ou être autorisés à travailler dans certaines conditions. Dans certains pays, par exemple, les étudiants n’ont pas le droit de travailler parallèlement à leurs études sauf pendant les vacances. Bien que ces responsabilités et obligations puissent être légitimes, les Etats doivent aussi s’assurer qu’elles n’enfreignent pas les droits de l’homme des migrants, en particulier le principe de non-discrimination et le droit à une procédure régulière. Dans la Déclaration de New York, la mention spécifiant que « les réfugiés et les migrants ont l’obligation de respecter les lois et règlements de leurs pays d’accueil » vient juste après l’engagement des Etats à améliorer leur intégration et leur insertion (paragraphe 39). Dans certains pays, les migrants sont tenus de respecter des obligations relatives à l’intégration, telles que des programmes obligatoires d’intégration. Cela étant, il n’existe actuellement aucune obligation d’intégration imposée aux migrants en vertu du droit international. Il est néanmoins reconnu que l’intégration est un processus d’adaptation bilatéral de la part des migrants et des sociétés d’accueil qui s’accompagne du respect mutuel pour la culture de chacun12, un point que l’on retrouve en partie dans la Convention sur les droits des travailleurs migrants dans « l’obligation [des migrants] de respecter l’identité culturelle des habitants » des Etats d’accueil. Dans la mesure où il s’agit d’une responsabilité conjointe, les programmes d’intégration ne devraient cependant pas imposer des obligations trop pesantes aux migrants, comme c’est parfois le cas de certaines exigences linguistiques irréalistes13. Bien que la façon dont les migrants sont perçus par la population ne soit pas uniforme d’un pays à l’autre, les responsabilités et obligations des migrants sont de plus en plus souvent associées à un manque de respect, notamment à des pratiques supposées d’abus de l’aide sociale et à une propension plus forte à la criminalité. Ces perceptions, qui ne sont généralement fondées sur aucune donnée, compromettent par conséquent l’intégration des migrants dans le pays d’accueil et la cohésion sociale. Les Etats ont un rôle important à jouer pour lutter contre ces représentations en communiquant davantage de données factuelles aux sociétés et communautés d’accueil. Pacte mondial sur les migrations | Document thématique sur les responsabilités et obligations des migrants Page 5 de 6 Responsabilités et obligations des migrants en cas d’entrée et/ou de séjour irréguliers Si l’entrée ou le séjour irréguliers constituent une violation de la législation nationale, ils ne doivent pas être érigés en infractions pénales14. Ce principe s’applique, en particulier, aux personnes qui ont été victimes du trafic illicite, de la traite ou du travail forcé, ainsi qu’aux demandeurs d’asile et aux réfugiés. Comme l’indique le Cadre de gouvernance des migrations de l’OIM, les personnes qui ont été « assujetties au travail forcé ou victimes de la traite ou du trafic illicite ne doivent pas être criminalisées ni, plus généralement, les migrants irréguliers »15. S’agissant de la traite des êtres humains, le document « Principes et directives concernant les droits de l’homme et la traite des êtres humains: recommandations » du Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits de l’homme prévoit que « les victimes de la traite ne doivent pas être détenues, inculpées ou poursuivies au motif qu’elles sont entrées ou résident de manière illégale dans les pays de transit ou de destination, ni pour avoir pris part à des activités illicites lorsqu’elles y sont réduites par leur condition de victimes de la traite »16. La Convention relative au statut des réfugiés de 1951 interdit également l’application de sanctions pénales aux demandeurs d’asile et aux réfugiés du fait de leur entrée ou de leur séjour irréguliers (article 31, alinéa 1). Dans certains pays, les migrants en situation irrégulière sur le territoire d’un Etat et faisant l’objet d’une décision de retour peuvent avoir l’obligation de collaborer avec les autorités nationales dans la perspective de leur retour. Cette obligation de collaboration n’est pas toujours clairement définie dans la législation nationale, mais elle implique souvent que les intéressés ne doivent pas s’y soustraire. En cas de non-respect de cette obligation, les Etats imposent généralement des devoirs supplémentaires aux personnes concernées de façon à pouvoir les expulser, notamment le devoir de se présenter régulièrement aux autorités dans l’attente de l’exécution effective de l’ordre de quitter le territoire. Dans ce cas, les Etats devraient, de fait, privilégier des mesures autres que la détention17, car toute privation de liberté doit être prescrite par la loi, être nécessaire et proportionnée à l’objectif poursuivi de façon à ne pas être arbitraire et, par conséquent, de ne pas constituer une infraction au droit international des droits de l’homme18.

Les organisations internationales telles que L'ONU, LE FMI, LA BANQUE MONDIALE sont instrumentalisées par les USA et le Royaume-uni pour leurs intérêts et hégémonies perpétuelles d'ou il faut chercher à quitter immédiatement ces organisations honteuses et mafieuses. 

Dès que l'Ukraine a été envahie, la Cour pénale internationale CPI a émis un mandat d'arrêt contre Poutine, mais Benyamin Netanyahou, qui commet actuellement des crimes de guerre à Gaza, se promène librement et reçoit même le soutien de l'Occident.
Les USA et le Royaume-Uni livrent des armes de la dernière génération en vue de poursuivre le massacre des peuples autochtones palestiniens et pire encore au sein du conseil de sécurité de l'ONU ils bloquent et empêchent toutes les résolutions onusiennes ayant trait à la reconnaissance de l'état palestinien comme faisant partie intégrante du concert des nations unies. Ce sont les USA et le Royaume-Uni qui alimentent le génocide des peuples autochtones palestiniens et ils sont complices de tous les génocides des innocents peuples autochtones palestiniens et congolais zaïrois d'origine car ils arment également leur sous traitants dans la région de grand lacs à savoir le Rwanda et l'Ouganda. Il faut une réforme et une refonte de l'appareil des nations unies de l'ONU pour un équilibre mondial.
 
 
 
 
 
Toutes les réactions
 
 

Les Nations Unies n'ont jamais résolu le problème de la colonisation dans aucune partie du monde depuis sa création – les puissances coloniales contrôlent l'ONU. Voyez vous-même qui occupent le conseil de sécurité de l'ONU ? C'est les USA, le Royaume-Uni, la France, la chine et la Russie. Aucun pays africain n'a jamais occupé ce conseil de sécurité et vous dites que le colonisation est terminée mais ça se voit qu'elle continue toujours !!!!!

Les Nations Unies volent et pillent stratégiquement l'or, du coltan, du cobalt, de la cassitérite du Congo Kinshasa. Pendant ce temps, ils qualifient le Congo de l'un des pays les plus pauvres du monde. Quand nous disons que le génocide et la guerre en cours dans l'est du Congo sont une industrie de plusieurs milliards de dollars et d'euros, ce n'est pas du mensonge mais bien une réalité. Toutes les grandes industries multinationales occidentales et certains pays limitrophes pillent directement et indirectement le Congo Kinshasa. Pendant ce temps, les dirigeants congolais semblent être des marionnettes pour ceux qui les pillent à cause de ce qu'ils gagnent, voilà pourquoi les congolais et leurs dirigeants fantoches ne sont pas respectés et considérés car eux-mêmes font partie du marasme économique dans lequel se trouve ce pays rempli des richesses naturelles de toute catégorie.

 

CAS LE PLUS FLAGRANT EST CELUI DES RÉFUGIÉS CONGOLAIS CONCERNANT LEUR ACCUEIL DANS LES PAYS D’ACCUEIL EUROPÉENS OU OCCIDENTAUX :

Les réfugiés congolais zaïrois d'origine sont les plus mal vus et traités partout à travers l’Europe. Rien qu'au Royaume-uni ayant été personnellement accueilli temporaire là-bas, j'ai beaucoup à vous dire parce que j'ai été victime ou la plupart des réfugiés congolais zaïrois d'origine avons été maltraité tout d'abord discriminé c'est-à-dire l'immigration britannique nous avaient tous déboutés et rejetés voire même refusé le statut de réfugiés sachant pertinemment bien que notre pays était et est toujours occupé par les troupes rwando-ougando-burundaises depuis très longtemps 20 ans maintenant alors qu'aujourd'hui la vérité vient d'éclater au grand jour que ce sont les britanniques et américains qui sponsorisent notre occupation à cause de nos richesses tant du sol que du sous-sol par l'entremise du Rwanda et de l'Ouganda d'une part et de l'autre coté regardez comment est-ce-que l'immigration britannique avait géré l'avant et l'après Brexit avec les migrants européens, c'est un fiasco total, un chaos total. Aujourd'hui les britanniques préfèrent chasser, expulser les citoyens européens ayant résidé  là-bas durant plus de 20 ans et les reléguer au rang des nouveaux migrants comme-ci les européens étaient étrangers ou nouveaux venus sur leurs territoires mais regardez comment ils font semblants avec l'arrivée massive des réfugiés ukrainiens après que le conflit ait été éclaté en Ukraine. 2 poids 2 mesures une politique discriminatoire de la part de cette immigration britannique alors que leurs citoyens vivant en Europe ont été accueilli pacifiquement et aidé à se naturaliser facilement vers leurs pays de résidence européenne. Mais quant il s'agit des réfugiés congolais zaïrois d'origine un autre traitement plus discriminatoire et injurieux, voilà pourquoi nous en tant que leaders d'opinion  devons dénoncer ces traitements inhumains et dégradants de la part des pays d'accueil européen parce que les congolais sont des peuples pacifiques et hospitaliers et vous n'avez qu'à voir la façon dont nous avions accueilli massivement le peuple Rwandais, Angolais, congolais de Brazzaville en 1994 lors du déclenchement du génocide controversé au Rwanda, de la guerre civile au Congo-Brazzaville et lors de la rébellion angolaise entre ONUTA et MPLA.

Mais seulement aujourd'hui la vérité est telle que c'était dans les plans des occidentaux et américains de déstabiliser le grand ZAIRE d'alors afin de débouter le défunt marechal Mobutu sese seko par l'entremise de l'instrumentalisation des banyamulenges par Paul kagame et la communauté internationale. Donc tout part de l'instrumentalisation à grande échelle des organisations internationales par les USA, le Royaume-uni, la France et tout l'occident en vue de se servir des réfugiés un peu partout à travers le monde entier en vue de réussir leur plan, le complot ourdi de déstabilisation à grande échelle de certains états mondiaux qui renferment des matières premières utiles à leur grande industrie de transformation nucléaire et agricole etc...etc...

Nous sommes aujourd'hui informés de tout et pour tout ce que mijotent les occidentaux et leurs alliés dans le complot ourdi contre le continent africain et surtout notre pays le Congo-Kinshasa.

L'austérité occidentale est tellement au plus haut niveau de la part des pays d'accueil européen comme ci les nouveaux réfugiés venant viennent leur ravir leur travail, leur habitat, leur économie etc...etc...alors que ce n'est pas le cas mais bien au contraire, c'est pour enrichir les pays d'accueil européen pour la plupart des ressources humaines, des cerveaux moteurs qui normalement devraient mettre en action et en mouvement le développement de leurs pays d'origine. Très chers amis et connaissances, nous entrons dans une phase de dangerosité mondiale car la fédération de Russie regorge en son sein des réfugiés comme tout autre état à part entière et le comble est que un bloc du monde veut nous faire haire par un autre bloc parce que le monde étant ce qu'il est, les réfugiés résidant en Russie peuvent eux aussi immigrés ailleurs en Europe, Afrique, Asie avec les mêmes avantages ou non que requiert ce statut des réfugiés. L'humanisme doit prévaloir à tout point de vue tout en évitant l'instrumentalisation des réfugiés venant de toute part du monde entier car aujourd'hui le monde entier constitue rien qu'un village planétaire qui impose à tous de vivre en paix et en tranquillité. Mûrissons-nous de mes réflexions concernant ces crises russo-ukrainienne, congolaise dans la partie est du pays et palestinienne afin de prendre des décisions qui vont favoriser l'intégration mondiale au lieu de chercher à se quereller et créer des guerres fratricides inutiles.

Aller dans l’extrémisme les uns envers les autres ne fera qu'accentuer la haine les uns envers les autres au risque de nous conduire vers un génocide mondial pour rien du tout.

Bienvenu Massamba MP

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16 avril 2024 2 16 /04 /avril /2024 22:09
RDC : POUR UN MÉMORIAL EN FAVEUR DU CENTENAIRE  DU GÉNOCIDE CONGOLAIS ZAÏROIS D'ORIGINE PLÉBISCITE BIENVENU MASSAMBA MP
RDC : POUR UN MÉMORIAL EN FAVEUR DU CENTENAIRE  DU GÉNOCIDE CONGOLAIS ZAÏROIS D'ORIGINE PLÉBISCITE BIENVENU MASSAMBA MP
RDC : POUR UN MÉMORIAL EN FAVEUR DU CENTENAIRE  DU GÉNOCIDE CONGOLAIS ZAÏROIS D'ORIGINE PLÉBISCITE BIENVENU MASSAMBA MP

Bienvenu Massamba MP exige l'érrection dans l'immediatété d'un memorial dans toutes les provinces du congo-kinshasa ainsi que dans les diasporas en vue de commencer à célébrer ou à commemorer le génocide congolais zairois d'origine mondialement parlant parce qu'il n'est plus tolérable que la communauté internationale continue d'esquiver, d'oublier ou de passer outre en faisant la sourde oreille concernant le tout premier génocide européen commis au congo-kinshasa depuis 1885 à nos jours. 

En effet le génocide congolais zairois d'origine avait commencé il y a maintenant plus de 140 ans et se poursuit sous les yeux complices de toute la communauté internationale reunie, quand ce génocide commença avec les acteurs, auteurs, autrices, commanditaires, instigateurs, propagateurs, influenceurs européens comme le chancelier allemand Bismark, le Roi leopold II de Belgique ainsi que tous ces conférenciers de l'époque, aujourd'hui les méthodes ou modes opératoires demeurent les memes mais cette fois-ci avec d'autres acteurs, auteurs négros travaillant des mèches acquis à leur cause de génocidaire légendaire à l'instar de 2 chefs d'états de la sous-région de grand lacs dont Yoweri Museveni kaguta de l'Ouganda et Paul Kagame du Rwanda qui jouent pleinement leurs rôles des sous-traitants de la tragédie congolaise dont les objectifs finaux visent les instaurations et les implémentations à grande échelle des empires et tribus imaginaires comme tels Imatutsis, banyamulenges réellement banyarwandas dans tous les 4 coins du continent africain visant au fait les occupations inutiles des plusieurs états africains qui regorgent et renferment des matières premières utiles aux industries nucléaires occidentales principalement, américaines et britanniques et israéliennes ensuite en vue du pompage de fond en comble leurs industries d'armements pour créer et fabriquer des guerres, des conflits armés afin qu'ils demeurent et soient toujours au contrôle de l'économie mondiale tout en vendant et en livrant des armes à tous les pays du monde qui leurs sont flexibles et soumis comme pour dire leurs alliés; d'où l'occupation du conseil de sécurité de l'ONU par les USA, le Royaume-uni, la France, la chine, la Russie qui dictent leur loi à tous les états du monde mais seulement aujourd'hui l'instrumentalisation continue de cet appareil planétaire par les USA et le Royaume-uni à travers des résolutions fondées et des droits de veto incompris et tronquées poussent la chine et la fédération de Russie à prendre leur distance et leur longueur décisionnelle face aux manipulations des USA et du R-U à travers des fakes news donc des fausses informations de tout genre. 

Sera qu’après les disparitions de toutes les structures traditionnelles d'organisation congolaises zaïroises d'origine, de tous les chefs coutumiers et religieux, de tous les hommes et femmes intellectuels, de toutes les ressources naturelles, des minerais, des matières premières du Congo-Kinshasa; hier ayant servis à détruire et à bombarder les villes japonaises de Nagasaki et Hiroshima; eh bien aujourd'hui les tentatives de destruction de la fédération de Russie par l'Ukraine interposé par la coalition américano-européenne aux mêmes objectifs de destruction et d'anéantissement des Russes; je me pose et continue de me poser la question de savoir que peut-on donc s'attendre des légataires, des héritiers du génocide congolais zaïrois d'origine continu ?

Le silence continu et coupable des auteurs, des co-auteurs, des complices, des instigateurs, des commanditaires, des géniteurs, des coupables du génocide congolais zaïrois d'origine nous laisse rien comme espoir ou espérance telles l'inaction, l'injustice, l'omerta des seigneurs de cette planète terre, des gangsters que représentent les USA et les britanniques à vouloir toujours foutre du désordre dans le monde et à violer constamment le droit international et à vouloir l’interpréter très mal selon que sa définition peut s'averer à géométrie variable comme bon leur semblent.

Trop c'est trop dit-on, voila pourquoi nous en tant que membres de la communauté congolaise zaïroise d'origine et patriotes disons haut et fort aujourd'hui et demain : Plus jamais ça dans notre terre ancestrale, plus jamais ça au pays de notre héros national Patrice Emery Lumumba 1er 1er ministre du congo-kinshasa, plus jamais ça au pays du tout 1er président de la république Joseph désiré kasa-vubu. Plus jamais ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Peuple congolais zaïrois d'origine ne vous rendez plus complice, coupable de votre malheur, de votre génocide en continu car le complot est de grande envergure, vaste, énorme, gaillard, gigantesque. J'en appelle donc à la mise sur pied d'un gigantesque mémorial qui va servir à rappeler aux différentes générations présentes et à venir de l’existence, de la perpétration continue du génocide congolais zaïrois d'origine en comparaison avec d'autres génocides que le monde entier aie connu et reconnu sans tergiversation alors que celui des congolais zaïrois d'origine continu d’être ignoré, oublié dans les tiroirs des  bureaux de l'ONU. 

Si hier le peuple congolais zaïrois d'origine était appelé à danser, boire, assister à des concerts de distraction; eh bien aujourd'hui l'heure est à la dénonciation totale ainsi qu'à la méditation des périodes sombres du génocide congolais et rien d'autres.

Plus jamais ça !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

 

Bienvenu Massamba

Président du conseil de sécurité de la diaspora congolaise zaïroise d'origine 

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16 avril 2024 2 16 /04 /avril /2024 16:46
Tribune : "Le plan de Clinton pour balkaniser le CONGO n’a pas marché, 30 ans après" (Prof Voto)

Alors que le Rwanda commémore les 30 ans du génocide rwandais,  les Congolais comptent les nombres d'années d'insécurité et de guerres qu'ils subissent depuis l'avènement de Paul Kagame au pouvoir à Kigali. 

Depuis trente ans donc, la région des Grands Lacs vit une réalité étrange décidée depuis Washington par l'administration Clinton et qui s'apparente étrangement à l'histoire de l'Afrique au temps de la partition du continent par Bismarck. L'histoire est un éternel recommencement,  dit-on. 

 

MUSEVENI, LE BISMARCK AFRICAIN

 

L'administration Clinton table sur  l'Ouganda au début des années 90, pour réaliser son rêve sur la Rdc. Clinton choisit Museveni qu'il a surnommé “ le nouveau Bismarck”  avec mission de piloter tous les bouleversements que va subir la région des Grands Lacs. 

 

Après la Perestroïka ,  le monde devient unipolaire et les enjeux ne sont plus politiques comme à l'époque de la guerre froide où Mobutu pouvait jouer un rôle dans la région. Les enjeux sont désormais économiques et l'Amérique se décide de maximiser ses rendements à travers les firmes internationales. 

 

Pour Bill Clinton qui veut réécrire l'histoire de l'Afrique, Museveni est l'homme qu'il faut pour jouer le rôle que le Chancelier allemand a joué en 1985 dans le partage de l'Afrique. 

 

A l'image de Bismarck  découpant l'Afrique comme un gâteau avec un couteau, Museveni va entreprendre le projet de la révision de la carte des pays des Grands Lacs par les armes et à travers des rébellions montées à cette fin. 

 

Le projet de Bill Clinton passe par la balkanisation du Congo à partir de Kampala.  Et comme l'histoire se répète,  à l’image de Bismarck qui ne sera pas le premier bénéficiaire de la conférence de Berlin,  Museveni  ne sera  pas le premier bénéficiaire de la balkanisation du Congo.

 

KAGAME, LE NOUVEAU LÉOPOLD II 

 

Certes Bismarck convoque la Conférence de Berlin, mais le plus grand bénéficiaire de cette conférence,  c'est le roi Léopold II. 

 

La conférence de Berlin a un objet principal : Établir le libre échange sur les côtes et sur le fleuve Congo en faveur des grandes puissances .  En réalité, la conférence de Berlin,  c'est la conférence sur le Congo.  Et l'une des grandes résolutions,  c'est que le Congo devrait rester un espace de libre échange où les grandes puissances pourraient commercer librement. Toutefois,  la gestion de ce grand espace sera confiée à Léopold II. 

 

Pourquoi Léopold II ? Le roi des Belges était-il assez puissant et malin pour s’accaparer d'un aussi grand territoire face aux grandes puissances de l'époque réunies à Berlin ?

 

Comme Kagame aujourd'hui,  Léopold II était dans les bonnes grâces des Américains qui voulaient, à travers lui, garder la main mise sur les grandes richesses stratégiques du Congo,  sans s'afficher clairement comme pays colonisateur. Ils financeront des projets au Congo Belge avec l'argent sorti de la Chase Bank, propriété des Rockefeller.  

 

Comme Kagame,  Léopold II n'était qu'un sous-traitant des Américains.  C'est grâce aux Américains que la  voix du roi des Belges a pesé à la conférence de Berlin. 

 

Comme Léopold II, Kagame,  fort de l'appui des Américains, va se comporter en monarque.  Il est  l'auteur du deuxième génocide au Congo.  Avec le même modus operandi:  du sang pour arriver aux bénéfices économiques.  

Leopold II a coupé des mains des Congolais. à l'époque dans l'exploitation du caoutchouc qui était le produit stratégique de l'époque, causant 10 millions des morts. De même Paul Kagame à déjà fait tuer plus de 10 millions des Congolais pour arriver à exploiter les richesses stratégiques du sous-sol Congolais. Comme Léopold II, Paul Kagame à bâti sa renommée sur le sang des Congolais. 

Face à cette tragédie,  la communauté internationale et la presse internationale ont décrété un omerta organisé parce que les grandes puissances,   dans une logique économique, estiment que la vie des Congolais vaut moins que leurs richesses. 

 

Des crimes de guerre,  des crimes contre l'humanité et des crimes de génocide commis au Congo n'épouvante personne. 

Les femmes sont violées, celles qui sont enceinte sont éventrées,  les hommes sont enterrés vivants,  les chefs des villages sont dénudés devant leurs populations pour destructurer la communauté,  mais la communauté internationale dit: circulez,  il n'y a rien à voir. 

 

LE RWANDA, LA BELGIQUE DES GRANDS LACS 

 

Bill Clinton a choisi le pays de Kagame  pour jouer le rôle de sous traitant dans l'exploitation du Congo  comme l'était hier la Belgique. 

Petit pays enclavé dans la région des Grands Lacs,  le Rwanda ressemble étrangement à la Belgique par sa petite superficie et par sa population et par la faiblesse de ses ressources. 

Comme la Belgique, avec deux communautés wallonne et flamande qui se rivalisent,   les Tutsi et les Hutu sont en conflits permanents et  s'entredéchirent. 

 

Comme la Belgique pouvait hier fournir aux États-Unis d'Amérique de l'uranium du Congo pour mettre fin à la Deuxième Guerre Mondiale,  le Rwanda exploite illégalement les minerais stratégiques du Congo pour le bénéfice de l'industrie américaine: coltan,  lithium,  cassitérite,  cobalt, niobium,  etc.

 

De la même manière que la Belgique s'est construite avec les richesses du Congo,  le Rwanda est présenté aujourd'hui comme un modèle de développement en Afrique,  alors que tout le monde sait que ce progrès économique est dû au pillage des richesses du Congo sur le sang et que le Rwanda ne possède pas ces minerais dans son sous-sol. 

 

LA BALKANISATION A ÉCHOUÉ 

 

Malgré le nombre des morts et des déplacés, malgré le degré d'atrocité infligée aux populations congolaises pendant toutes ces années, il y'a une résilience incroyable qui étonne. 

Les laboratoires occidentaux à la base de ce   plan d'exploitation illégale des ressources naturelles de la Rdc par la barbarie et la balkanisation du Congo en armant le Rwanda, ne s'imaginent pas, trente ans après,  que le Congo garde toujours ses frontières de 1885.

La violence des  atrocités pour semer la peur et la désolation dans le cœur des Congolais afin qu'ils abandonnent l'Est du pays au Rwanda ont paradoxalement produit un effet contraire.  Plus les années passent,  plus les Congolais deviennent solidaires et conscients de l'injustice internationale et du danger que court leur pays. Plus ils  sont plus que jamais déterminés à défendre leur pays. 

Même si le Rwanda a comme sempiternelle stratégie le recrutement des Congolais pour leur faire jouer la sale besogne, depuis Laurent Désiré Kabila qui a offert l'armée congolaise aux rwandais jusqu'à Corneille Nangaa qui promet de donner les deux rives du fleuve Congo à Kagame,  les Congolais savent qu'ils ne sont que des marionnettes et que l'Afdl,  le Rcd, le Cndp, le M23, l'Afc sont des projets conçus depuis Kigali et qui visent l'appropriation par le Rwanda de l'Est du Congo. 

 

Pour les Congolais de l'Est comme de l'Ouest,  ce projet ne va se concrétiser que lorsque le Rwanda aura exterminé les derniers des Congolais.  

 

Déterminés,  ils   se battront toujours,  avec ou sans embargo de la communauté internationale, pour assurer l'intégrité territoriale de leur pays.

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3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 10:00

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3 avril 2024 3 03 /04 /avril /2024 09:22
RDC: lors de la messe pascale, le cardinal Ambongo déplore «un pays à l'agonie»

Alors que l'adhésion des jeunes pro-Kabila à l'alliance fleuve Congo ne cesse de susciter des réactions dans l'environnement sociopolitique congolais, le Cardinal Fridolin Ambongo Besungu a attiré l'attention des autorités congolaises en leur demandant de cesser de poser des actes susceptibles de pousser à la rébellion.

Dans son message du samedi 30 mars 2024, à la messe de Pâques, il a fustigé le comportement des acteurs politiques qui, au lieu de se pencher sur des questions importantes, préfèrent s'engager dans des querelles politiciennes totalement déphasées avec la situation actuelle du pays.

"Comment voulez-vous un pays qui est occupé, comment voulez-vous un pays qui est attaqué de l'extérieur, mais nous, au niveau de Kinshasa, au siège des institutions, continuons à poser des gestes, à poser des actes qui ne vont pas dans le sens de la consolidation de l'unité nationale, de la cohésion nationale ? Nous continuons et c'est tout ce qui nous préoccupe depuis les élections qui se sont passées fin décembre jusqu'à aujourd'hui. Ça fait trois mois que notre pays est pratiquement paralysé pour la simple raison que toute la classe politique s'est invitée autour du grand gâteau que l'on est en train de se disputer, pendant que le pays est en guerre, pendant que l'ennemi avance. Tout ce qui nous intéresse, c'est la part du gâteau, comment nous pouvons tout faire pour nous retrouver au parlement, au gouvernement, à la tête des portefeuilles. Ce comportement est tout à fait incohérent si nous considérons la situation délicate, dangereuse de notre pays," a dénoncé l'archevêque de Kinshasa dans son message devant les fidèles catholiques.

Et de poursuivre :

"Un pays qui est attaqué, un pays qui se sait en guerre, la première chose à faire est de s'asseoir autour d'une table pour former ce qu'on appelle le front commun. Or, aujourd'hui, il n'y a pas de front commun; le front commun n'existe pas. Comment voulez-vous des fils du pays qui partent d'ici, de Kinshasa, et qui vont rejoindre la rébellion à l'Est ? Posons-nous la question : pourquoi ? Nous pouvons nous énerver contre ceux qui sont partis, nous pouvons les traiter de traîtres, ils ont pris la cause de l'ennemi, mais la question de fond est : pourquoi ces gens ont agi de cette manière ? C'est parce qu'au niveau d'ici, nous continuons à poser des gestes qui blessent les autres, nous continuons à poser des gestes qui fragilisent la communion nationale, nous posons des gestes qui excluent les autres de la jouissance du gâteau national."

Dans le même registre, le Cardinal Fridolin Ambongo a dénoncé l'écart de vie qui existe entre la population et les autorités politiques. Pour lui, cette manière de faire va continuer à créer des mécontents, et la situation risque de perdurer si les autorités ne changent pas leur mode de gouvernance.

"Un pays aussi pauvre que le Congo, avec un budget qui dépasse à peine 3 milliards USD, alors que le petit Congo Brazzaville, en face de nous, est déjà au-delà de 20, 30 milliards comme budget, nous, le grand Congo, nous n'avons que 3 milliards. Et avec ces milliards USD, 68% du budget de l'État est consommé uniquement par la classe politique, la classe politique qui consomme plus de 70% du budget de l'État. Et le reste de la population, elle va vivre de quoi ? Comment voulez-vous un pays aussi pauvre que le Congo, avec 3 milliards USD comme budget, ses députés sont considérés comme les députés les mieux payés au monde, plus de 30.000 USD pour un député, alors qu'un professeur d'université qui a fait une thèse de doctorat et qui est considéré comme un savant est payé avec un salaire de misère ? Ce genre de comportement fait le lit des mécontents, et tous ces mécontents demain iront rejoindre ceux qui sont à l'Est et reviendront demain chez nous en se proclamant des libérateurs, comme nous avons déjà eu dans ce pays. Plus on nous libère, plus nous sommes malheureux," a-t-il fait remarquer dans son message.

Comme le Président de la République, Fridolin Ambongo a également fustigé le fonctionnement de la justice congolaise, qui n'arrive pas à protéger les faibles face à ceux qui sont forts.

"Quand, dans un pays, la justice, qui doit protéger tous les citoyens, est la première instance à fouler aux pieds les droits des simples citoyens, au nom de la justice, aujourd'hui au Congo, on peut te ravir ta parcelle, ta maison, et tu ne sais pas vers qui te tourner. Et tous ces mécontents à qui on ravit des parcelles, des concessions, des maisons en toute impunité, tous ces gens deviennent des mécontents. Demain, ils iront rejoindre ceux qui sont à l'Est, et quand ces gens-là arriveront ici, ils les accueilleront comme des libérateurs. Voilà les risques que nous sommes en train de prendre aujourd'hui dans notre pays en posant des gestes dangereux, en passant l'essentiel de notre vie à courir autour des biens matériels, autour des honneurs, tout simplement pour nous et pour notre famille, pendant que le gros de notre peuple croupit dans la misère la plus noire," a ajouté Fridolin Ambongo.

Cette sortie du Cardinal Fridolin Ambongo Besungu intervient au moment où des jeunes membres du PPRD de Joseph Kabila ont rejoint Corneille Nangaa dans la rébellion soutenue par le régime de Kigali via le M23.

Clément MUAMBA

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1 avril 2024 1 01 /04 /avril /2024 16:12
QUI SONT LES COMPLICES ET LES COMMANDITAIRES DU GENOCIDE CONGOLAIS DEPUIS L'EPOQUE COLONIALE A NOS JOURS ?
Le génocide en cours au Congo est une industrie de plusieurs milliards de dollars. Jusqu'à présent, de nombreuses personnes sont déplacées par millions et des millions ont été tuées. La République démocratique du Congo est considérée comme le pays le plus riche du monde en termes de richesse en ressources naturelles. La plupart des gisements de minéraux bruts restent inexploités. Ces gisements comprennent les plus grandes réserves de coltan au monde et des quantités considérables de cobalt.
Il s'y déroule le trafic des êtres humains et le trafic d'organes à grande échelle depuis plus de 25 ans d'occupation onusienne qui favorise ces phénomènes à haut niveau car tous les dirigeants que ça soit du gouvernement congolais et de l'ONU et des armées étrangères sont impliqués dans cette mafia internationale et tous tirent leur profits.
Le monde entier au jour d'aujourd'hui marche très mal car Les gouvernements occidentaux font clairement savoir qu'ils ne se soucient finalement pas de la démocratie, de la liberté, des droits, de l'universalisme ou du droit international. C'est juste de l'accumulation de capital et de l'impérialisme jusqu'au bout. C'est ce qu'ils ont à offrir au monde.
Plus de 800 000 personnes assassinées par les Britanniques au Kenya, plus de 1 million de personnes tuées en Algérie par les Français, plus de 10 millions de personnes tuées par la Belgique au Congo et bien d'autres encore. Mais aujourd’hui, ils veulent enseigner au monde les droits de l’homme. Ma question est de savoir est-ce-que les droits humains c'est seulement pour les autres peuples et non les congolais vraiment ?
Doit-on toujours à faire confiance à cette organisation mafieuse qu'est L'ONU sous son format actuel ? Il ressort d'une étude de la fondation Tatiana Girbaud basée à Londres que des civils congolais sont tués par le groupe rebelle rwandais M23 avec le soutien militaire de l'armée rwandaise par millions. Sur une période de 14 ans, depuis le début de la guerre au Congo en 1994, environ 5,4 millions de personnes étaient mortes en 2008. Cela porterait le nombre de morts aujourd'hui à 11,5 millions. Avec une population d'environ 96 millions de civils, il ne fait aucun doute que la mort d'environ 11,5 millions de civils congolais innocents par le Rwanda, sous la direction de Paul Kagame, constitue un génocide. Selon l'ONU, le viol est désormais légalement un acte constitutif du génocide. Cela porterait donc le bilan humain du génocide au Congo à 24 millions. Ce chiffre exclut les millions de civils congolais vivant dans les camps de réfugiés et de personnes déplacées dans le nord-est du Congo.
Doit-on toujours continuer à dénombrer les nombres des morts, des génocidés congolais zaïrois d'origine ?
Notre star de football et capitaine de l'équipe nationale des léopards avait dit "Justice de Dieu" eh bien moi je dirais et j'ajouterais ceci : Une justice trop longtemps retardée est une justice refusée d'avance, sortons de toutes leurs organisations remplies d'injustice comme la CPI, la cour internationale de justice, L'ONU, L’UNICEF, L'UNESCO, PAM, FMI, banque mondiale et autres parce qu'elles nous prend en otage perpétuel et voudraient nous esclavagiser pour toujours et créons des nouvelles organisations internationales qui reflètent la représentativité universelle et l'équité universelle, en toute impartialité et qui auront leur siège en Afrique berceau de l'humanité. Le monde est monde mais un pays et un seul au sein du conseil de sécurité de L'ONU bloque la restauration de la paix dans le monde; les USA un état qui sponsorise le terrorisme et l'impérialisme dans le monde.
Les gens qui veulent bien nous donner une leçon de morale sur les droits humains devraient réellement se regarder bien droit au miroir si ils sont saints et non criminels, Tenez bien : George Bush a envahi l'Irak et assassiné plus d'un million d'Irakiens en 2003, Obama a envahi la Libye, bombardé des infrastructures civiles et tué Kadhafi. Ces gens se promènent encore librement. Zéro mandat d'arrêt de la CPI. Ce sont ces gens qui veulent nous faire la leçon sur les droits de l'homme. Aujourd'hui Benyamin Netanyahou bombarde comme bon lui semble toute la bande de Gaza au point de la faire disparaître de la planète terre tout en éliminant et exterminant tous les palestiniens de leur terre ancestrale et ne pas inquiéter ni poursuivi de crimes contre l'humanité et crimes de masse ou en encore de génocide. Dans quel monde vivons - nous vraiment ?
Il n'y a pas de droits de l'homme pour tout le monde, il n'y a que des droits de l'homme pour les Blancs. Selon Blinken : Soyons aux côtés de l'Ukraine parce qu'elle est blanche, mais les habitants de Gaza ne méritent même pas un cessez-le-feu humanitaire parce qu'ils sont bruns et propose même de déporter les paisibles peuples palestiniens Au Congo Kinshasa comme si ça représente leur poubelle ou depotoire en vue de les déverser là bas, nous dénonçons haut et fort les tentatives de déportation des peuples palestiniens hors de la bande de Gaza ainsi que le génocide leur programmé par Benyamin Netanyahou premier ministre israélien et les américains et Britanniques c'est une coalition d'armées criminels qui détruisent les autres peuples du monde en les deshumanisant !
 
 
 
Pourquoi L'ONU ne se déploie t-elle pas dans une autre mission parallèle comme au Congo-Kinshasa en Ukraine ou dans la bande de gaza ? mais préfère aller jouer à l'arbitrage pour mettre en place un couloir humanitaire alimentaire pour évacuer les céréales, les blés, les farines, l'huile tournesol ? c'est pour vous dire que cette organisation ne tient qu'aux profits et aux intérêts car les vies humaines tant au Congo, en Palestine dans la bande de gaza, en Ukraine 3 terrains d'agression à grande échelle ne leurs disent absolument rien, d'où la reforme de cette organisation parce qu'elle répond plus aux normes mondiales actuelles parce que occupée au sein de son conseil de sécurité par les USA, le Royaume-uni, qui bloquent toutes les résolutions ayant trait aux cessez-le-feu et au rétablissement de la paix universelle à chaque tentative de vote allant dans le sens de finir les guerres et les conflits armés.
Cette organisation de L'ONU n'a trouvé de raisons que de venir occuper les pays africains à travers ses différentes missions d'occupation perpétuelle des états africains qui renferment des matières premières de première nécessité aux industries nucléaires occidentales telles que la MONUSCO, MINUSS, MINUSMA, MINURSO, MINUL et tant d'autres.
Avant qu'il n'y ait l'holocauste juif, il y a eu l'holocauste africain qui a duré 400 ans. Personne ne dit aux Juifs d'oublier leur passé, seuls les Africains sont invités à oublier leur histoire et à aller de l'avant.
Depuis plus de 600 ans, les occidentaux ont l'art du crime, de l'extermination des peuples, du pillage des ressources naturelles, de l'esclavage, pour leur enrichissement, l'art de la domination des peuples : On le voit en Afghanistan, en Irak, en Libye etc... La destruction de millions d'hommes et de femmes africains lors de la traite des noirs et la négation de leur humanité accompagnée de l'institutionnalisation de la barbarie, n'est jamais entrée dans la mémoire occidentale. Leur complexe de supériorité les ont poussé à détruire les populations, les déposséder de leurs terres, les exterminer et par la suite ils se revêtent de remords et reviennent en pompier avant d'avoir été pyromane, quelle dichotomie !! Les crimes du roi Léopold II de Belgique nous en disent long, les crimes des conquistadors espagnols, le massacre des aborigènes en Australie par les Anglais... tous ces crimes sont demeurés impunis. A ce jour, ils continuent de les perpétrer au Congo. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil !! Les impérialistes tuent, pillent, violent, exterminent et personne ne dit mot : c'est le silence total, il ne faut pas en parler... Durant la seconde guerre mondiale l'occident s'était rallié à la France pour combattre les nazis, arrêter l'holocauste ; pourquoi maintenant ce même Occident fait pire que les nazis en RDC ??? Peuple Congolais, ouvrez les yeux et, pour mettre fin à ce génocide, à la balkanisation de notre pays et dénoncez-les aux autres peuples du monde et à vos enfants quelques soient leurs âges et dites leurs que ce que font les Anglo-saxons au Congo par l'intermédiaire du Rwanda, l'Ouganda, le Burundi avec les bandes créées de toutes pièces, ils sont en train de perpétuer les pratiques éhontées du Ku Klux Klan et de la Loi de Lynch pratiquée au 19e Siècle aux Etats-Unis, ou les blancs s'autoriser de pendre les noirs tout simplement parce qu'ils étaient noirs ? Nous ne le dirons jamais assez, nous le répétons encore : Plus Jamais ça !!! Nous exigeons le Nuremberg pour le Congo : le Tribunal pour tous les crimes perpétrés en RDC et crier comme les autres : " Plus Jamais ça !!"
LE GENOCIDE ETANT UN ENSEMBLE D'ACTES COMMIS DANS L'INTENTION DE DETRUIRE, EN TOUT OU EN PARTIE UN GROUPE NATIONAL, ETHNIQUE, RACIAL OU RELIGIEUX COMME TEL ET ADOPTE DANS L'ARTICLE 6 DU STATUT DE LA COUR PENALE INTERNATIONALE QUI LE DEFINIT PAR L'INTENTION D'EXTERMINATION TOTALE OU PARTIELLE D'UNE POPULATION OU LA MISE EN OEUVRE SYSTEMATIQUE DE CETTE VOLONTE QUI S'APPLIQUE QU'A DES CRIMES ORDONNES PAR UN GOUVERNEMENT OU UN POUVOIR DE FAIT. SI INTERNATIONALEMENT LES CRIMES COMMIS QUI SONT QUALIFIES COMME GENOCIDAIRES A L'INSTAR DU GENOCIDE ARMENIEN COMMIS PAR L'EMPIRE OTTOMAN DE 1915-1926 APPROUVE PAR LA COMMISSION DE L'ONU LE 29 AOUT 1985, DU GENOCIDE DES JUIFS COMMIS PAR LES NAZIS EN ALLEMAGNE, EN POLOGNE ET EN FRANCE, EN ALSACE. AU STRUTHOF RECONNU PAR LA COUR DE NUREMBERG EN 1945, AINSI QUE LE MASSACRE DE SREBRENICA DANS L'EX-YOUGOSLAVIE.
QU'EN EST-IL DES CRIMES COMMIS EN RDC. LE PEUPLE CONGOLAIS N'EST PAS DUPE AVEC EN MEMOIRE LES MASSACRES QUI SE SONT DEROULES SUR SES TERRES : 4,5 MILLIONS D'AFFAMES ET DE MASSACRES DEPUIS 1997 DURANT LA PREMIERE GUERRE DU CONGO ET DE LA DEUXIEME GUERRE DU CONGO ALORS QU'AU JOUR D'AUJOURD'HUI LE NOMBRE DE MASSACRE S'ELEVE A PLUS DE 8 MILLIONS DE MORTS AU TOTAL. NOUS NOUS DEMANDONS MAIS OU EST PASSE LE TRIBUNAL PENAL CONGOLAIS ? SERA QUE NOUS N'AVONS PLUS DES MAGISTRATS ? DES EXPERTS EN LA MATIERE POUR ESSAYER DE DEMONTRER A LA FACE DU MONDE QUE REELLEMENT LES CRIMES COMME AU CONGO DOIVENT AUSSI ETRE CONSIDÉRÉS COMME TELS ?
C'est la traite et l'extraction des minerais au Congo Kinshasa comme le diamant la cassitérite le coltan l'or qui entraînent le déplacement le dépeuplement de nos populations en réduisant les densités par km2 voilà la raison de la guerre nous imposée par le monde entier. Car notre pays demeure la réserve mondiale de tous les minerais importants à la fabrication d'armes nucléaires chimiques technologiques etc...etc...Car sans ressources naturelles ainsi qu' humaines digne de ce nom;la vie et l'espérance disparaissent à jamais et pour toujours.
Quelle est l'origine de notre crise politique actuelle ? Réponse :Nous sommes en guerre avec nos voisins parce que nous sommes garni des richesses tant du sol que du sous sol et une question reste à savoir et dont nous devons nous questionner :Qui sont aux contrôles de minerais? Qui dirigent notre pays actuellement ? À qui vendons -nous nos minerais ? À quelle fin nos minerais sont utilisés ici et ailleurs ? C'est aux réponses à ttes ces questions que nous pouvons arriver à déterminer l'origine des conflits de ceux qui nous font la guerre ici & ailleurs. Mzee L. Désire kabila a dit que si ns ne pouvons pas ns servir de notre or de notre diamant bref de tous nos minerais du sol ainsi que du sous sol dans les années qui viennent ns n'allons pas construire la prospérité de notre peuple tant attendu depuis des lustres. Réfléchissons! Yango wana biso tokotika te kasi tokobeta mbela :Résistons jusqu'au bout car ns soes les seuls survivants ou survivantes à pouvoir lutter jusqu'à la victoire finale à savoir la liberation l'indépendance l'installation l'instauration l'instrumentalisation effective d'état de droit.
L'opinion publique belge et mondiale l'ignore encore dans sa gde majorité ou préfère la minimiser et fermer les yeux. Il y a un génocide un democide un ethnocide un multi-ethnocide exercé à l'encontre du peuple congolais. On se coalise pour détruire le pays de Patrice Lumumba. Cent ans plus tard, que peuvent en penser les premiers concernés ? Les congolais eux - mêmes ? Nos richesses naturelles ont disparus de manière sanguinaire mais que peut-on décemment attendre des héritiers de ce massacre en masse ? Sera que nous allons continuer à être victimes ? Aujourd'hui les appetis des pays voisins comme le Rwanda ou l'Ouganda nous provoquent des guerres inutiles. Entre 1996 et 2003 il y a eu à nouveau mort des congolais plus de 4 millions provoquée par ces 2 États à cause de l'or, diamant ou du coltan minerais très recherché today. Avec leur pion installé au Congo Kinshasa a savoir joseph kabila alias kanambe depuis plus de 15 ans maintenant ils essaient de perdurer avec leur tentative de déstabilisation de cet éléphant monstre en minerais afin de concrétiser leur objectif final à savoir son démembrement et sa balkanisation comme au Soudan du sud et du nord.
Bienvenu Massamba MP
 
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11 mars 2024 1 11 /03 /mars /2024 15:21
RDC :Les 30 ans de règne de terreur de Kagame contre les femmes du Congo

Pour marquer la Journée internationale de la femme 2024, le samedi 9 mars 2024, la Fondation TG a marché avec Stand for Congo UK (une organisation engagée à appeler à la fin de la guerre et des atrocités liées aux droits humains qui ont lieu au Congo). Le parcours de la marche est parti des bureaux de la BBC dans le West-End, s’est ensuite dirigé vers l’Apple Store de Regent’s Street et s’est terminé à Trafalgar Square. L’objectif était de dénoncer les crimes de guerre et les violations des droits humains du commandant en chef des viols au Congo, les 30 ans de règne de terreur horrible de Paul Kagame contre les femmes du Congo. La marche a également mis en lumière le rôle d'Apple et sa complicité dans les crimes de guerre perpétrés au Congo.

Des civils congolais sont tués par le groupe rebelle rwandais M23 avec le soutien militaire de l'armée rwandaise par millions. Sur une période de 14 ans, depuis le début de la guerre au Congo en 1994, environ 5,4 millions de personnes étaient mortes en 2008. Cela porterait le nombre de morts aujourd'hui à 11,5 millions. Avec une population d'environ 96 millions de civils, il ne fait aucun doute que la mort d'environ 11,5 millions de civils congolais innocents par le Rwanda, sous la direction de Paul Kagame, constitue un génocide. Selon l'ONU, le viol est désormais légalement un acte constitutif du génocide. Cela porterait donc le bilan humain du génocide au Congo à 24 millions. Ce chiffre exclut les millions de civils congolais vivant dans les camps de réfugiés et de personnes déplacées dans le nord-est du Congo.

 

Une étude de l'American Journal of Public Health, publiée en juin 2011, a déclaré que
48 femmes étaient violées par heure au Congo. Cela signifierait que depuis le début de la guerre du Congo avec le Rwanda, environ 12,5 millions de femmes congolaises ont été violées. Au regard du droit international, il est indéniable que sous la présidence de Paul Kagame, le soutien militaire du gouvernement rwandais aux rebelles du M23 opérant au Congo constitue clairement un génocide de la population féminine du Congo et du peuple du Congo.

Combien de temps encore le gouvernement britannique continuera-t-il à justifier les actions de Paul Kagame en utilisant le génocide rwandais comme excuse et justification pour permettre au Rwanda de commettre le génocide au Congo ? Le gouvernement britannique ignore depuis longtemps le génocide congolais mené par le Rwanda.
30 ans maintenant. Les gouvernements britannique, américain et européen ne peuvent pas continuer à légitimer et ignorer les crimes flagrants contre l’humanité commis par le Rwanda contre le Congo.

Le Premier ministre britannique, Rishi Sunak, et le gouvernement britannique doivent mettre fin à leur alliance avec Paul Kagame et cesser de rester assis sur la barrière, car cela rend le Royaume-Uni complice des crimes contre l’humanité perpétrés au Congo. Le Rwanda a réussi à se cacher derrière son propre génocide tragique pour infliger le génocide au Congo avec une efficacité redoutable. Paul Kagame a essentiellement réussi à obtenir une immunité totale contre toute répercussion juridique ou justice pour ses crimes contre l’humanité et ceux de son gouvernement au Congo. Le peuple congolais a autant le droit que le peuple rwandais de ne pas subir le crime de génocide et de ne pas être confronté à des viols et des meurtres systématiques et constants. Le peuple congolais mérite ses droits humains universels tout autant que les peuples rwandais et britannique.

Prend fin.

Contact:

Tatiana Giraud, Fondatrice, Fondation TG :
+44 (0)20 3603 6212 ou e-mail : tatiana@tgfoundation.org.uk

Stand pour Congo UK :
standforcongouk@gmail.com

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5 mars 2024 2 05 /03 /mars /2024 16:59
Bienvenu Massamba MP prévient aux députés du continent africain de voter pour la Loi anti-LGBTQ+, transgenres, ça détruit les us et coutumes ancestrales africaines !

Les organisations internationales telles le FMI, la banque mondiale, L'ONU, L’UNICEF, Le FAO, le PNUD, L’UNESCO, etc...etc...au jour d'aujourd'hui commencent à chercher à tenter de ré-coloniser certains états africains en pérennisant  la politique  de la colonisation ou recolonisation en les forçant d'introduire chez eux en violation parfois de leurs constitutions respectives, des lois de leur  pays des mouvements de déviations sexuelles à grande échelle tels que  les LGTBQ, les transgenres, les lesbiennes, l’homosexualité et autres conditionnant leurs aides humanitaires, financières  par l'acceptation de ces cultures occidentales opposées aux traditions ancestrales africaines. 

Hier, les occidentaux ont introduit la syphilis, la tuberculose, le virus du sida, le virus d'ébola, le virus de zika pendant les traites négrières atlantiques et les diverses colonisations des états réunis à la conférence de Berlin comme le Portugal, l’Espagne, la France, la Belgique, la hollande, le royaume-uni (Angleterre), l'Allemagne, l’Italie et autres. 

  
Le président ougandais, Yoweri Museveni, a promulgué une loi anti-LGBT+ prévoyant de lourdes peines pour les relations homosexuelles et la « promotion » de l’homosexualité, a annoncé, lundi 29 mai, la présidence. Ce texte avait suscité l’indignation de nombreuses organisations non gouvernementales et des menaces de gouvernements occidentaux.

« Le président a approuvé le projet de loi anti-homosexualité 2023. Il devient désormais la loi anti-homosexualité 2023 », a annoncé la présidence ougandaise dans un bref communiqué publié sur son compte Twitter officiel.

Le vote de ce projet de loi au Parlement le 21 mars avait suscité l’indignation et le président, Yoweri Museveni, avait demandé, à la fin d’avril, aux parlementaires de « réexaminer » le texte, leur enjoignant notamment de préciser que le « fait d’être homosexuel » n’était pas un crime, mais que seules les relations sexuelles l’étaient.

La Cour suprême de Russie a banni, jeudi 30 novembre, pour « extrémisme » le « mouvement international LGBT et ses filiales », ouvrant la voie à des poursuites judiciaires et des peines de prison contre les homosexuels et militants défendant leurs droits en Russie.

Cette décision intervient en plein virage ultraconservateur qui cible les personnes LGBT+, la Russie se posant désormais en porte-drapeau des valeurs « traditionnelles » face à ce qu’elle considère comme la décadence de l’Occident. Cette politique s’est accélérée depuis l’attaque de l’armée russe contre l’Ukraine, fin février 2022, et qui a entraîné une répression visant toutes les formes de critiques à l’égard du Kremlin.


Le juge Oleg Nefedov a ordonné de « reconnaître comme extrémistes le mouvement international LGBT et ses filiales, d’interdire leurs activités sur le territoire de la Fédération russe », selon des correspondants de l’Agence France-Presse (AFP) sur place. M. Nefedov a précisé que cette interdiction entrait « immédiatement » en vigueur.

L’audience, la première dans cette affaire, a duré seulement quelques heures et s’est déroulée sans défenseur – aucune organisation portant le nom de « mouvement international LGBT » n’existant en Russie – et à huis clos, car l’affaire était classée « secrète ». « Seul un représentant du ministère russe de la justice participe à l’audience », avait annoncé plus tôt dans la journée la Cour suprême à l’agence de presse d’Etat Ria Novosti.

 

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