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25 décembre 2020 5 25 /12 /décembre /2020 17:17
BIENVENU MASSAMBA MP PRESENTE SES VOEUX MEILLEURS DE NOEL ET DE NOUVEL AN 2021 AU PEUPLE CONGOLAIS !

BIENVENU MASSAMBA MP profite des festivités de fin d'année 2020 pour présenter ses vœux les meilleurs 2021 au peuple congolais zaïrois d'origine, 2021 sera réellement une année remplie de renaissance parce que nous sommes appelés a naitre de nouveau et changer complètement nos mentalités anciennes et voyant grand pour les jours a venir de notre pays ainsi que de notre peuple qui est appelé a recouvrir ses droits et devoirs longtemps confisqués par nos ennemis de toujours.  Bosangani ya ba congolais-zairois représente un enjeux majeur et planétaire a la réponse a la crise multiforme que traverse le pays depuis plus de 20 ans. Le changement au Congo Kinshasa n’a pas besoin des raccourcis mais implique et impose a toutes les filles et tous les fils d’une même nation de s’unir afin de regarder dans la même direction dans la même volonté de pensée et d’action. La marche d’un commun accord avec tout le peuple est préférable que sans son implication ou sa participation. L’union fait la force dit-on et nous devons nous unir pour régner et dominer la planète terre tous ensemble. Les swahiliphones disent toujours Umoja ni nguvu et nous sommes de plus en plus convaincus que le progrès doit être et faire l’affaire de toute l’humanité entière et pas pour le profit d’un groupuscule de la mafia internationale qui continue de prendre en otage une partie du monde a travers des résolutions et décisions provenant du conseil de sécurité de l’ONU. Aussi longtemps que le conseil de sécurité de l’ONU ferait ou continuerait de faire l’affaire de 5 ou 6 pays qui y siègent; il y aura toujours persistance des inégalités; des murs de séparation; des gaps; des écarts en constance entre les pays riches et les pays pauvres. Dns le cas du congo-kinshasa; en tout cas; le peuple congolais -zairois doit dorénavant pouvoir prendre la résolution finale ou définitive de ne plus faire ou exécuter la volonté de la soi distante communauté internationale au risque de perdurer sur le statut de la colonie de cette même communauté internationale de manière perpétuelle. Pourquoi ? Parce qu’il est un devoir historique que le peuple congolais-zairois prenne sa responsabilité historique de se libérer de son état d’esclavagisme moderne; d’otage perpétuel et vous le savez mieux que moi qu’on ne peut pas libérer un esclave qui n’est pas conscient de son état d’esclave ou de sa situation d’esclavage. D'où la conscience collective de qui vous êtes ? d'où venez-vous ? ou allez-vous ? où demeurez-vous maintenant ? ainsi que où demeureriez-vous demain ou après demain ? Voila pourquoi vous devez résister et c’est en résistant jusqu’au bout que l’on survit a pouvoir lutter jusqu'à la victoire finale qui est donc et demeure notre seule alternative actuelle a savoir : - La libération; l’indépendance totale et l’installation ainsi que l’implémentation effective d’un état unitaire; d’un état de droit a grande échelle au congo-kinshasa.


BIENVENU MASSAMBA MP

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16 décembre 2020 3 16 /12 /décembre /2020 11:34
RDC :  Pourquoi la Monusco voudrait perenniser son occupation en RDC : Leïla Zerrougui : « Nous partirons lorsque nous serons sûrs de ne pas revenir »

Alors que l’ONU débat des contours du futur mandat de la Monusco, dont le départ de RDC se précise, Leïla Zerrougui, représentante spéciale du secrétaire général des Nations unies en RDC, a répondu aux questions de Jeune Afrique.

S’interroger sur l’avenir de la Monusco est presque devenu une habitude dans les couloirs du QG de Kinshasa. Tous les ans, ce sont les mêmes questions qui se posent : quels seront les contours du futur mandat de la mission des Nations unies, 21 ans après son arrivée au Congo sous le nom de Monuc, et quand devra-t-elle définitivement plier bagages ?

Il y a un an, la revue stratégique conduite par Youssef Mahmoud a plaidé pour un retrait d’ici à trois ans, et dans un contexte de réduction des effectifs et du budget, l’avenir de la mission, longtemps l’un des plus coûteuses de l’ONU, s’écrit en pointillé.

Après avoir essuyé les critiques du régime de Joseph Kabila, qui réclamait son départ, la Monusco a pourtant trouvé un léger répit avec l’élection, en décembre 2018, de Félix Tshisekedi. En septembre, à la tribune de l’ONU, le président congolais a plaidé pour l’allocation de moyens supplémentaires afin que la Monusco « continue à remplir avec efficacité son mandat ».

Mais sur le terrain, la collaboration avec les forces armées congolaises reste difficile, et les critiques d’une population confrontée à un cycle ininterrompu de violences en dépit de la présence des casques bleus restent nombreuses.

Alors que la question du renouvellement du mandat de la Monusco est au centre des discussions, la diplomate algérienne Leïla Zerrougui, qui dirige la mission depuis janvier 2018, a répondu aux questions de Jeune Afrique.

Jeune Afrique : Devant l’ONU, le président Tshisekedi a fait le vœu d’une coopération accrue entre la Monusco et les forces armées congolaises [FARDC]. Pourquoi celle-ci n’a-t-elle pour l’instant que peu d’effets, notamment face aux Allied Democratic Forces [ADF] ?

Leïla Zerrougui : La coopération entre les FARDC et nos soldats existe et nous travaillons actuellement sur une stratégie conjointe. Mais on ne peut pas coopérer si l’on n’est pas informé de la planification des opérations, si l’on n’est pas sûr qu’il n’y aura ni dommages collatéraux ni violations [des droits de l’Homme]. Parfois, cela crée des incompréhensions et des frustrations. C’est comme cela entre tous les partenaires du monde.

Un exemple : lorsque le président Tshisekedi a été élu, l’État a lancé une vaste offensive contre les ADF, mais sans que nous soyons associés à sa préparation. Pourtant, nous avions perdu des hommes à cause des ADF en novembre 2018. Les autorités avaient le droit d’agir ainsi, et nous ne sommes pas là pour nous substituer aux FARDC. Mais quand on travaille ensemble, il y a des règles. Depuis, heureusement, les choses se sont beaucoup améliorées.

La mise à l’écart de certains généraux sous sanctions facilite-t-elle la coopération avec l’armée congolaise ?

C’est la Monusco qui, en 2009, quand des gens comme Bosco Ntaganda ont été intégrés dans l’armée, a fait le choix de conditionner son appui à l’exclusion d’individus responsables de violations des droits humains [Ntaganda a, depuis, été livré à la CPI et condamné à trente années de réclusion pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité].

Depuis les accords de Sun City, signés en 2002, la RDC a intégré de nombreux membres de groupes armés et cela a posé des problèmes récurrents.

Pour les crimes graves, il faut mettre en place un mécanisme de justice transitionnelle

Cette opposition très nette à la réintégration des rebelles démobilisés au sein de l’armée ne contribue-t-elle pas au blocage ?

On peut tourner la page une fois dans la vie d’une nation. Cela a été le cas dans mon pays, l’Algérie. Mais comment se réconcilier quand hier, on a dû pardonner au CNDP [Congrès national pour la défense du peuple] puis au M23 [Mouvement du 23 mars], quand aujourd’hui, c’est la FRPI [Force de résistance patriotique de l’Ituri] que l’on doit amnistier et que demain, ce sera peut-être le tour du NDC [Nduma Defence of Congo]… ? Cela ne mènera la RDC nulle part.

On ne peut pas prendre le maquis, se donner un titre de général et vouloir ensuite être amnistié, tout en conservant son grade et en restant là où on a commis des crimes.

Mais quelle est l’alternative ?

Il faut plusieurs angles d’approche. Nous avons fait le choix de fermer la porte aux revendications de grades, c’est vrai. Mais on peut permettre à ces gens de rejoindre des programmes de travaux communautaires, si les communautés les acceptent.

Pour les crimes graves en revanche, il faut mettre en place un mécanisme de justice transitionnelle. Certains bailleurs sont intéressés par ce type d’outils et la Banque mondiale est prête à nous suivre.

La Monusco s’est impliquée dans le processus de désarmement des FRPI, mais celui-ci stagne…

Nous avons facilité les pourparlers, c’est vrai. Mais si ce groupe a des revendications que le gouvernement n’est plus prêt à accepter, ce n’est pas notre rôle d’intervenir. Les gens qui choisissent de prendre les armes doivent comprendre que, ce faisant, ils laissent leur ancienne vie derrière eux.

Une polémique a éclaté ces dernières semaines quand le ministre de la Décentralisation, Azarias Ruberwa, a fait le déplacement jusqu’à Minembwe, dans le Sud-Kivu, pour l’installation d’un simple bourgmestre. Tous deux sont banyamulenge et certains redoutent qu’une communauté soit favorisée par rapport à une autre et que cela participe d’une tentative de déstabilisation de l’Est… Le comprenez-vous ?

Je ne commenterai pas la présence d’un ministre, qui était là dans ses fonctions. Il est important aujourd’hui de réunir les communautés et d’en finir avec les suspicions. Il ne faut pas que chacun se positionne et soit perçu non plus comme un représentant de l’État mais comme un membre de sa communauté.

La présence de diplomates, notamment américains, a aussi fait polémique…

Il est pourtant important qu’un ambassadeur aille voir par lui-même sur place ce qu’il se passe plutôt que de ne recueillir l’information que d’un seul camp. Dommage que cela ait été mal interprété.

Le Conseil de sécurité de l’ONU ne semble pas pressé de nous retirer du pays

Fin 2019, un rapport préconisait le retrait de la Monusco sous trois ans. Cette perspective vous semble-t-elle toujours d’actualité ?

Depuis les élections de la fin 2018, nous avons fermé plusieurs bureaux et travaillons actuellement pour quitter le Kasaï. Et il est évident que si l’on nous dit de partir, nous partirons. Mais je n’ai pas senti les membres du Conseil de sécurité de l’ONU pressés de nous voir nous retirer. Ce qu’ils nous ont demandé, c’est une stratégie « responsable et durable ». Nous avons donc la responsabilité de déterminer le moment où nous pourrons partir avec la certitude de ne pas revenir.

Cela dépendra de plusieurs choses : de l’avenir de la coalition au pouvoir, des modalités d’organisation des prochaines élections [en 2023]… Effectivement, si les différentes parties parviennent à s’entendre sur le sujet, il serait peut-être mieux que les Congolais organisent les scrutins sans que l’on soit là, accusés d’agir de telle ou telle manière.

Vous êtes vous-même en poste depuis 2018. Envisagez-vous votre propre départ ?

C’est un sujet qui sera discuté, comme chaque année, entre le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, et moi.

Vous êtes apparue ces derniers mois aux côtés de l’ancien président, Joseph Kabila. Vous avez également rencontré Félix Tshisekedi. Quel rôle jouez-vous entre les deux hommes ?

Je parle avec tout le monde, avec le pouvoir comme avec l’opposition. Jean-Pierre Bemba, Martin Fayulu, Joseph Kabila, Félix Tshisekedi… Je les ai tous rencontrés. Nous sommes dans une phase de transition inédite. D’habitude, les transitions au Congo, c’est après des assassinats ou des coups d’État.

Les gens manquent de confiance, mais c’est normal : ce sont comme les premiers pas du bébé.

Une implosion de la coalition au pouvoir vous semble-t-elle possible ?

Tout le monde prédisait un écroulement et, pour l’instant, le dialogue continue. On ne peut pas leur demander de s’entendre du jour au lendemain. C’est normal dans ce genre de relation que certains se positionnent et tentent d’obtenir quelque chose de l’autre.

Avec ses voisins, Tshisekedi a compris qu’il devait faire le premier pas

Craignez-vous que, sans réforme électorale, les élections de 2023 ne puissent pas se tenir dans un climat apaisé ?

Les Congolais sont souverains et libres de décider de leur avenir, ainsi que celui de leur coalition. Mais il faut éviter un autre glissement. Il faut aussi faire en sorte de ne pas organiser les élections sans avoir mené certaines réformes.

Le président Tshisekedi souhaite impliquer davantage ses voisins dans la lutte contre les groupes armés présents dans l’est de la RDC. Compte tenu des relations difficiles qu’entretiennent ces voisins entre eux et avec la RDC, est-ce vraiment souhaitable ?

Les États ne se retrouvent pas autour d’une table pour faire plaisir aux autres, mais parce qu’ils sont convaincus que c’est dans leur intérêt. L’est du Congo n’est pas perturbé par accident. Et le président Tshisekedi a compris que ses homologues ne viendraient pas vers lui et que, pour résoudre le problème, il devait faire le premier pas. Je pense donc que c’est une bonne démarche.

La société civile, certains hommes politiques mais aussi l’Union européenne ont apporté leur soutien à Denis Mukwege, qui plaide pour que les crimes mentionnés dans le rapport Mapping de l’ONU soient punis et pour la création d’un tribunal pénal international. Qu’en pensez-vous ?

Cela fait des années que les droits des populations sont bafoués. Nous avons toujours privilégié la justice transitionnelle, mais si les Congolais soutiennent l’idée d’un tribunal pénal international sur les crimes commis au Congo, si des gens sont prêts à le financer, alors nous n’avons évidemment aucune objection. Pour se tourner vers l’avenir, il faut lire la page du passé.

BIENVENU MASSAMBA MP

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 12:05
ILUNGA ILUKAMBA UN PEU D'ELEGANCE : IL FAUT DEMISSIONNER MAINTENANT POUR GARDER SA DIGNITE NA SONI TE !

La déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».

Deux ans durant dans le désert sans une politique sociale adequate de la part du premier ministre Ilunga Ilukamba, rien absolument rien que mettre des battons dans les roues et freiner des dossiers urgents d'application rapide afin de palier aux quotidients du peuple congolais zairois d'origine.

Vu les dédoublements de plusieurs partis politiques en RDC intervenus lors des dernières élections présidentielles de 2018 déclarées par la CNSA conseil national de suivie de l’accord, vu la cohabitation ou la coalition avérée au pouvoir intervenu a travers la fusion des groupements politiques Cash/FCC et consort en vue de la gestion commune du pays, la situation géopolitique présage un lendemain incertain chez nous avec l’inexistence quasi de l’opposition originelle ou traditionnelle transformée au jour d’aujourd’hui en opposition alimentaire car pour leur ventre, les opposants se prostituent tous aux institutions inféodées et cousues d’avance par le pouvoir sortant de la présidence de la république mais entrant dans le nouveau parlement, sénat, provincial etc...etc...
Donc avant son depart éphémère, les dirigeants sortant prétendument se sont bien arrangés comme pour dire arrangement particulier, de verrouiller toutes les institutions en place a savoir, le parlement, le sénat, les chefs de provinces, assemblées provinciales, la police, l’armée, les services de sécurité comme ANR, DGM, etc...etc... pour bien entrevoir leur futur parce qu'il n’est pas question de laisser partir le gâteau ainsi que les revenus. Voila le scenario préparé par la kabilie c’est-a-dire politique ya bitoto ya bololo, bolinga bolinga te, nzala soki ebeti bino , bokolia kaka pamba te bozali na choix te. L’heure est grave très chers compatriotes congolais, zaïrois d’origine, voila pourquoi je plaide pour un nouveau leadership collectif pour sauver notre pays du marasme, du potopoto et des menaces de balkanisation avérée vue les différentes nominations qui se sont déroulées lors des élections générales chaotiques du 30 décembre 2018 dernier. J’aimerais simplement dire que chaque province, collectivité, secteur, village, région, sous-région doit pouvoir s’organiser en comité de vigilance populaire CVP en sigle afin de nous sortir des commissaires du peuple congolais. Donc, chaque entité doit pouvoir nous sortir des nouveaux cadres jeunes intellectuels afin d’assurer un véritable renouvellement de la classe politique congolaise parce que c’est une continuité manifestée a travers le nouvel régime en place avec Felix tshilombo comme président nommé et déclaré. Je m'en vais parler au nom de notre population autochtone victime des dépeuplements et des déplacements massifs et répétitifs de la part de ceux qui veulent l'émiettement, le morcellement, la dislocation, l'éclatement de notre nation. La menace de la balkanisation est réelle dans la mesure où ceux qui occupaient, qui occupent encore cette partie du monde a l'aide des armes a feux ne veulent pas lâcher prise car pour eux cela représente leur grand marché wenze, zando ya monene y compris de leurs multinationales qui dictent la loi de qui pourrait gouverner, diriger ce pays contre la volonté du souverain primaire de ce pays, son peuple arbitrairement.
Cette menace j'adis de la balkanisation de notre pays se veut d'ordre géopolitique, géostratégique et géoéconomique. Elle est géopolitique premièrement parce que l'on doit contrôler administrativement parlant les congolais c'est-a-dire placer des gens ou des agents aux postes des commandements dans la territoriale, assemblée provinciale, dans les chefs des provinces afin de veiller au profit de leurs intérêts c'est-a-dire des balkanisateurs. Voilà pourquoi vous verrez a travers les différentes nominations qui ont pluies abondamment ces derniers temps a travers les élections générales chaotiques du 30 décembre 2018 dernier, plusieurs gens qui occupent des postes clés proviennent du FCC, ils sont majoritaires au parlement, au sénat, assemblée nationale, provinciale, Dgm, ANR, RVA, RVM, etc...etc... et leur rôles ou missions au sein de ces institutions respectives sont simples et claires : Faire passer ou voter des lois qui vont pouvoir favoriser le pillage a grande échelle de nos ressources naturelles au détriment du peuple congolais souverain primaire autochtone d'où proviennent les ressources en question; leurs rôles ainsi que leurs missions c'est empêcher les vrais patriotes congolais de l'intérieur comme de l'extérieur du pays d'apporter le vrai changement en temps voulu. Cela s'explique également a travers le découpage territorial qui est un schéma dangereux qui avait violé a coup sure l'article 220 de la constitution en vigueur au pays d'origine laissant présager la matérialisation a coup sure du plan de balkanisation, d'émiettement et de dislocation de notre nation; car l'état congolais comme tel n'existe plus et ne dispose pas encore des moyens consistant pour la création des nouvel territoires, districts, etc...etc...
Cela s'explique autant a travers le maintien de la mission onusienne MONUSCO ainsi que de sa force d'intervention rapide disposant de plus de 180.000 hommes sur le sol congolais voilà maintenant plus de 20 ans aujourd'hui car cette mission ne jure que par la partition et la dislocation de notre pays en plusieurs petits états, aucune mission de telle envergure partout au monde n'a totalisé une telle longévité d'occupation d'un état de manière perpétuelle. Cette mission au lieu de protéger nos populations, eh bien elle préfère entrer dans la danse d'extraire les minerais et de sécuriser plus les cites des gisements de pétrole, d'or, d'étain, cobalt, coltan et autres, c'est dommage !!!!
Aujourd'hui, tous les responsables politiques et d'hommes d'affaires mondiaux ont des intérêts financiers chez nous au Congo-Kinshasa. Nous ne pouvons même plus les dénombrer, ni les nommer ces gens qui continuent de s'enrichir au détriment et sur le dos du peuple congolais, quel contraste ! Les congolais habitent un pays riche en minerais de toute sorte mais ils continuent de mener une vie de pauvreté extrême, une paupérisation continuelle de l'ensemble de la population difficile a expliquer. Que ca soit dans la diaspora congolaise ou au pays d'origine, les congolais ne travaillent que pour enrichir les autres peuples et sont chosifiés, eux-mêmes ne cherchent qu'a se disputer, se calomnier, s'accuser, se faire du mal ou du tort laissant porte ouverte aux envahisseurs, aux balkanisateurs, aux multinationales étrangères de décider en leur place concernant leur sort ou leur destin, c'est regrettable et dommage !!!!
La balkanisation de notre pays est aussi d'ordre geostrategique parce que les multinationales ainsi que la MONUSCO veulent aussi se positionner chez nous afin d'elire domicile pour nous disuader et nous divertir, nous distraire c'est-a-dire apporter un jeux de divertion parce que l'essentiel pour elle, c'est de nous faire croire que les groupes armees nationaux comme etrangers continuent d'operer un peu partout alors qu'elle a eu tout son temps d'aider les forces armees congolaises et de les former a mieux securiser notre pays. Mais c'est peine perdue car leurs representants sont aussi entrees dasn la danse d'extraire, d'exploiter nos minerais a grande echelle et non de securiser la population locale; d'où son depart immediat car elle n'assure que la protection des gisements de petrole, or, etain, coltan, cobalt, cassiterite et autres et non de notre population.
La balkanisation de notre pays est aussi d'ordre économique parce que nos voisins directs comme le Rwanda, l'Ouganda, la Tanzanie, le Burundi, le Kenya parrainés par les américains, les anglais saxon, les britanniques veulent contrôler nos sols ainsi que nos sous-sol en vue de maintenir une extraction massive, désordonnée, précipitée et a grande échelle des minerais utiles a l'industrie nucléaire, aéronautique, technologique etc...etc... pour se prévaloir de la domination économique mondiale alors qu'ils n'ont rien dans leur sol ou sous-sol en se maintenant maitre et seigneur des guerres au niveau du conseil de securite de l'ONU pour decider sur le droit de faire la guerre ou non a un etat du monde qui leur est hostile ainsi qu'a leur plan de destruction et de destabilisation des états du monde qui ne sont pas de leur obediance.
Bienvenu Massamba Mp
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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 11:53

Jeudi 12 novembre, Jean-Luc Mélenchon était l’invité de l’émission « Face à BFM ». C’était la première apparition à la télévision du président du groupe « La France insoumise » à l’Assemblée nationale depuis qu’il a proposé sa candidature et demandé une investiture populaire (https://noussommespour.fr) le dimanche 8 novembre du journal de 20 heures de TF1. Il a annoncé que sa proposition avait reçu en 4 jours 150 000 parrainages citoyens et a officialisé sa candidature à l’élection présidentielle de 2022, puisque c'était la condition qu'il avait fixée. Dans le reste de l’émission, Jean-Luc Mélenchon a déroulé de nombreuses propositions issues de son programme, l’Avenir en Commun : 6ème république, paix civile, planification écologique, impôt progressif, médias, éradication de la pauvreté, défense de la laïcité... Il a également réagi à la gestion de la crise sanitaire par le gouvernement et s’est opposé à la dérive autoritaire du gouvernement.

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15 décembre 2020 2 15 /12 /décembre /2020 11:45
RDC : UNION SACREE N'EST PAS EGALE A UNION DES MALFAITEURS OU DES CRIMINELS CACHES SOUS LES MANGUIERS ET LES MADAMINS  !

BIENVENU MASSAMBA MP PRESIDENT  en exercice de BEDEN VISION ASBL AILE CONGO - KINSHASA est très content du courage qu'a pris Felix Tshisekedi Tshilombo le président nommé de la coalition FCC et CASH a pouvoir s'émanciper en prenant le large et en se désolidarisant, se distançant  complètement de Joseph kabila alias kanambe. 

Bienvenu Massamba MP exhorte activement le président nommé Felix tshisekedi Tshilombo de pouvoir divulguer le fameux accord dit "deal" qu'il continue de le lier avec le FCC de kabila pour la gestion commune du pays qui parait être bloqué. De ce fait, le MP de la diaspora congolaise mobilise le haut comité de vigilance populaire aile kinshasa de pouvoir exiger des réponses a plusieurs questions qui demeurent encore non élucidées s'agissant notamment des termes et des conditions de ce fameux deal intervenu entre lui de l'Udps et le FCC de kabila.

Comment se fait -il que le pays appartient a tout le monde mais un groupe des personnes ou mieux  2 individus tentent  de prendre tout un peuple en otage en violation flagrante de la constitution en vigueur au pays d'origine.

Notre pays est tombé et redescendu trop voire meme très bas entre les mains d'un individu ou groupe d’individu qui ne cherche qu'à s'enrichir d'une manière scandaleuse, rapide, désordonnée, au détriment des intérêts du peuple congolais souverain primaire qui continue à crever de faim et à être privé de ses droits les plus élémentaires afin de se maintenir au pouvoir ou à la gouverne du pays par la force des armes en violation flagrante de la loi fondamentale du pays qui est la constitution en vigueur au pays d'origine qui stipule dans ses articles:

Article 56
Tout acte, tout accord, toute convention, tout arrangement ou tout autre fait, qui a pour conséquence de priver la nation, les personnes physiques ou morales de tout ou partie de leurs propres moyens d'existence tirés de leurs ressources ou de leurs richesses naturelles, sans préjudice des dispositions internationales sur les crimes économiques, est érigé en infraction de pillage punie par la loi.
Article 57
Les actes visés à l'article précédent ainsi que leur tentative, quelles qu'en soient les modalités, s'ils sont le fait d'une personne investie d'autorité publique, sont punis comme infraction de haute trahison.
Article 58
Tous les Congolais ont le droit de jouir des richesses nationales.
L'Etat a le devoir de les redistribuer équitablement et de garantir le droit au développement.
Article 59
Tous les Congolais ont le droit de jouir du patrimoine commun de l'humanité. L'Etat a le devoir d'en faciliter la jouissance.
Article 60
Le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales consacrés dans la Constitution s'impose aux pouvoirs publics et à toute personne.
Somme toute; le pays et le peuple congolais sont en train de mourir à cause des manoeuvres dilatoires des multinationales qui imposent une nouvelle forme de domination et colonisation ou d'esclavagisme moderne qui est le néocolonialisme c'est à dire une domination par l'intermédiaire de nos propres frères et soeurs traîtres colabos corrompus exécuteurs de leurs décisions de maintenir le peuple povo dans la misère totale ou partielle réveillons nous pour barrer la route à ces tentatives hégémoniques et machiavéliques et démoniaques nzambe akitisa moto moto le feu ezikisa misala tope musala ya mabe na mboka na biso RDC CONGO mboka Israel yaba ressortissants congolais nyonso bazwami bisika nyonso ya mokili mobimba. Ajoute a ces lots des malheurs : LE PROBLEME IDENTITAIRE ACTUELLEMENT A LA BASE DE L'HIPOCRISIE DES DIRIGEANTS CLANDESTINS A ALIMENTER ET A CONTINUER A SUPPORTER LES GROUPES ARMES A L'EST EN VUE D'EMPECHER ET DE METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE LES VRAIS PATRIOTES ET RESISTANTS CAPABLES D'APPORTER UNE RELLE FORCE DE CHANGEMENT ET DE L'ALTERNANCE EN RDC CONGO. LA SOLUTION POUR Y REMEDIER C'EST L'APPORT ET LA CONTRIBUTION INCONTOURNABLE DES CONGOLAIS DE L'ETRANGER DE RECLAMER LEUR DROIT CIVIQUE ET SACRE De prendre part à la direction des affaires publiques de leur pays d'origine, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis en vue de faire asseoir un vrai ETAT DE DROIT et la democratie en grande echelle.
Entre la liberté et l'esclavage, il n'y a pas de compromis : Patrice Emery Lumumba Hero national. 

Peuple Congolais, ouvrez les yeux et, pour mettre fin au génocide et à la balkanisation de notre pays et dénoncez-les aux autres peuples du monde et à vos enfants quelques soient leurs âges et dites leurs que ce que font les Anglo-saxons au Congo par l'intermédiaire du Rwanda, l'Ouganda, le Burundi avec les bandes créées de toutes pièces, ils sont en train de perpétuer les pratiques éhontées du Ku Klux Klan et de la Loi de Lynch pratiquée au 19e Siècle aux Etats-Unis, ou les blancs s'autoriser de pendre les noirs tout simplement parce qu'ils étaient noirs ? Nous ne le dirons jamais assez, nous le répétons encore : Plus Jamais ça !!! Nous exigeons le Nuremberg pour le Congo : le Tribunal pour tous les crimes perpétrés en RDC et crier comme les autres : " Plus Jamais ça !!" Trop c'est trop, il est temps que les congolais se lèvent, dressent leur front longtemps courbé et cessent la collaboration avec l'ennemi qui massacre, tue, vole, pille et détruit. Comme vous le voyez, les méthodes qu'utilisent actuellement les impérialistes  américains et britanniques ne diffèrent en rien avec les méthodes nazis : en 16 ans, le bilan est  de plus  8 millions de  morts  ceci en vue de dépeupler cette région et d'y installer les populations tutsi-rwandaises pour faire de cette province une républiquette
TRES CHERS COMPATRIOTES CONGOLAIS,
Le but que nous poursuivons tous, c'est de devoir libérer notre pays et de mettre en place un gouvernement responsable qui devra exfiltrer tous les étrangers  dans les institutions suivantes :
a)     au sein de l'Armée et ce dans toute l'étendue de la République;
b)    au sein de la Police et ce dans toute l'étendue de la République;
c)     au sein des services de sécurité: ANR, CNS, Services Extérieures et ce dans toute l'étendue de la République;
d)    au sein des Services de Migrations et ce dans toute l'étendue de la République;
e)     au sein des Entreprises Publiques, à savoir annulation de toutes les nominations fantaisistes des mandataires publique et ce dans toute l'étendue de la République;
f)      au sein de la diplomatie avec le rappel de tous les Ambassadeurs et Chefs de Missions diplomatiques;
g)     Le rappel de tous les autres diplomates "assimilés" issus de la présidence et autres services de sécurités;
h)     Le rappel de tous les diplomates reconnus comme étant d'origine étrangère et de ceux qui seront reconnus coupables d'avoir été d'intelligence avec une ou plusieurs puissances étrangères;
Ce nouveau gouvernement devra annuler toutes les lois d'amnistie fantaisistes votées par le Parlement. Et dans la foulée, il devra mettre sur pied un Tribunal Pénal pour juger tous les crimes commis en République Démocratique du Congo.

Néanmoins Le MP de la diaspora congolaise se félicite des résolutions des consultations qu'il a initiees du 02 novembre au 23 novembre 2020 mais exhorte activement Felix tshisekedi tshilombo de ratisser largement en mettant sans plus attendre trop long en application toutes les résolutions de ces consultations afin de pouvoir adhérer massivement a l'idéologie de l'union sacrée de la nation car c'est le peuple congolais zaïrois dont il est question ici et rien d'autres car il a dit lui-même que :

Kisalu mebanda ce qui veut dire que le travail doit incessamment commencer !

Lire aussi : Mukwege: « la coalition ne doit pas être une espèce d’oasis où se cachent les criminels »

Denis Mukwege s’est confié sur l’entretien qu’il a eu ce lundi avec Félix Tshisekedi. Le Prix Nobel de la Paix est surtout revenu sur la nécessité de lutter contre l’impunité. Le célèbre médecin, interrogé par la presse, a été très clair sur sa position à ce sujet.

« S’il y a dans la coalition des personnes qui ont commis des crimes, la coalition ne doit pas être une espèce d’oasis où se cachent les criminels. Les crimes contre l’humanité nous concernent tous. Il n’y a pas de prescription par rapport aux crimes contre l’humanité. Je ne suis pas juge », a t-il dit.

Et d’ajouter:

« Si vous êtes dans la coalition et vous avez commis des crimes vous devez répondre de ces crimes. Aujourd’hui, nous avons un avantage, nous avons un président qui n’a pas trempé dans ces crimes. S’il y a des gens qui malheureusement ont commis des crimes, ils doivent répondre. Qu’on se fasse pas d’illusion. On peut avoir un temps de grâce, mais le temps viendra où il faudra que les congolais bénéficient de la justice ».

Plusieurs organisations des droits de l’homme interpellent Félix Tshisekedi sur cette question. Beaucoup n’ont pas apprécié que le Chef de l’Etat ait déclaré qu’il n’ira pas fouiné dans le passé.

BIENVENU MASSAMBA MP

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9 décembre 2020 3 09 /12 /décembre /2020 14:19
BIENVENU MASSAMBA MP ATTEND ARDEMENT LES APPLICATIONS PURES ET SIMPLES DES RESOLUTIONS DES CONSULTATIONS INITIEES PAR FELIX TSHISEKEDI TSHILOMBO

BIENVENU MASSAMBA MP PRESIDENT  en exercice de BEDEN VISION ASBL AILE CONGO - KINSHASA est très content du courage qu'a pris Felix Tshisekedi Tshilombo le président nommé de la coalition FCC et CASH a pouvoir s'émanciper en prenant le large et en se désolidarisant, se distançant  complètement de Joseph kabila alias kanambe. 

Bienvenu Massamba MP exhorte activement le président nommé Felix tshisekedi Tshilombo de pouvoir divulguer le fameux accord dit "deal" qu'il continue de le lier avec le FCC de kabila pour la gestion commune du pays qui parait être bloqué. De ce fait, le MP de la diaspora congolaise mobilise le haut comité de vigilance populaire aile kinshasa de pouvoir exiger des réponses a plusieurs questions qui demeurent encore non élucidées s'agissant notamment des termes et des conditions de ce fameux deal intervenu entre lui de l'Udps et le FCC de kabila.

Comment se fait -il que le pays appartient a tout le monde mais un groupe des personnes ou mieux  2 individus tentent  de prendre tout un peuple en otage en violation flagrante de la constitution en vigueur au pays d'origine.

Notre pays est tombé et redescendu trop voire meme très bas entre les mains d'un individu ou groupe d’individu qui ne cherche qu'à s'enrichir d'une manière scandaleuse, rapide, désordonnée, au détriment des intérêts du peuple congolais souverain primaire qui continue à crever de faim et à être privé de ses droits les plus élémentaires afin de se maintenir au pouvoir ou à la gouverne du pays par la force des armes en violation flagrante de la loi fondamentale du pays qui est la constitution en vigueur au pays d'origine qui stipule dans ses articles:

Article 56
Tout acte, tout accord, toute convention, tout arrangement ou tout autre fait, qui a pour conséquence de priver la nation, les personnes physiques ou morales de tout ou partie de leurs propres moyens d'existence tirés de leurs ressources ou de leurs richesses naturelles, sans préjudice des dispositions internationales sur les crimes économiques, est érigé en infraction de pillage punie par la loi.
Article 57
Les actes visés à l'article précédent ainsi que leur tentative, quelles qu'en soient les modalités, s'ils sont le fait d'une personne investie d'autorité publique, sont punis comme infraction de haute trahison.
Article 58
Tous les Congolais ont le droit de jouir des richesses nationales.
L'Etat a le devoir de les redistribuer équitablement et de garantir le droit au développement.
Article 59
Tous les Congolais ont le droit de jouir du patrimoine commun de l'humanité. L'Etat a le devoir d'en faciliter la jouissance.
Article 60
Le respect des droits de l'homme et des libertés fondamentales consacrés dans la Constitution s'impose aux pouvoirs publics et à toute personne.
Somme toute; le pays et le peuple congolais sont en train de mourir à cause des manoeuvres dilatoires des multinationales qui imposent une nouvelle forme de domination et colonisation ou d'esclavagisme moderne qui est le néocolonialisme c'est à dire une domination par l'intermédiaire de nos propres frères et soeurs traîtres colabos corrompus exécuteurs de leurs décisions de maintenir le peuple povo dans la misère totale ou partielle réveillons nous pour barrer la route à ces tentatives hégémoniques et machiavéliques et démoniaques nzambe akitisa moto moto le feu ezikisa misala tope musala ya mabe na mboka na biso RDC CONGO mboka Israel yaba ressortissants congolais nyonso bazwami bisika nyonso ya mokili mobimba. Ajoute a ces lots des malheurs : LE PROBLEME IDENTITAIRE ACTUELLEMENT A LA BASE DE L'HIPOCRISIE DES DIRIGEANTS CLANDESTINS A ALIMENTER ET A CONTINUER A SUPPORTER LES GROUPES ARMES A L'EST EN VUE D'EMPECHER ET DE METTRE HORS D'ETAT DE NUIRE LES VRAIS PATRIOTES ET RESISTANTS CAPABLES D'APPORTER UNE RELLE FORCE DE CHANGEMENT ET DE L'ALTERNANCE EN RDC CONGO. LA SOLUTION POUR Y REMEDIER C'EST L'APPORT ET LA CONTRIBUTION INCONTOURNABLE DES CONGOLAIS DE L'ETRANGER DE RECLAMER LEUR DROIT CIVIQUE ET SACRE De prendre part à la direction des affaires publiques de leur pays d'origine, soit directement, soit par l’intermédiaire de représentants librement choisis en vue de faire asseoir un vrai ETAT DE DROIT et la democratie en grande echelle.
Entre la liberté et l'esclavage, il n'y a pas de compromis : Patrice Emery Lumumba Hero national. 

Peuple Congolais, ouvrez les yeux et, pour mettre fin au génocide et à la balkanisation de notre pays et dénoncez-les aux autres peuples du monde et à vos enfants quelques soient leurs âges et dites leurs que ce que font les Anglo-saxons au Congo par l'intermédiaire du Rwanda, l'Ouganda, le Burundi avec les bandes créées de toutes pièces, ils sont en train de perpétuer les pratiques éhontées du Ku Klux Klan et de la Loi de Lynch pratiquée au 19e Siècle aux Etats-Unis, ou les blancs s'autoriser de pendre les noirs tout simplement parce qu'ils étaient noirs ? Nous ne le dirons jamais assez, nous le répétons encore : Plus Jamais ça !!! Nous exigeons le Nuremberg pour le Congo : le Tribunal pour tous les crimes perpétrés en RDC et crier comme les autres : " Plus Jamais ça !!" Trop c'est trop, il est temps que les congolais se lèvent, dressent leur front longtemps courbé et cessent la collaboration avec l'ennemi qui massacre, tue, vole, pille et détruit. Comme vous le voyez, les méthodes qu'utilisent actuellement les impérialistes  américains et britanniques ne diffèrent en rien avec les méthodes nazis : en 16 ans, le bilan est  de plus  8 millions de  morts  ceci en vue de dépeupler cette région et d'y installer les populations tutsi-rwandaises pour faire de cette province une républiquette
TRES CHERS COMPATRIOTES CONGOLAIS,
Le but que nous poursuivons tous, c'est de devoir libérer notre pays et de mettre en place un gouvernement responsable qui devra exfiltrer tous les étrangers  dans les institutions suivantes :
a)     au sein de l'Armée et ce dans toute l'étendue de la République;
b)    au sein de la Police et ce dans toute l'étendue de la République;
c)     au sein des services de sécurité: ANR, CNS, Services Extérieures et ce dans toute l'étendue de la République;
d)    au sein des Services de Migrations et ce dans toute l'étendue de la République;
e)     au sein des Entreprises Publiques, à savoir annulation de toutes les nominations fantaisistes des mandataires publique et ce dans toute l'étendue de la République;
f)      au sein de la diplomatie avec le rappel de tous les Ambassadeurs et Chefs de Missions diplomatiques;
g)     Le rappel de tous les autres diplomates "assimilés" issus de la présidence et autres services de sécurités;
h)     Le rappel de tous les diplomates reconnus comme étant d'origine étrangère et de ceux qui seront reconnus coupables d'avoir été d'intelligence avec une ou plusieurs puissances étrangères;
Ce nouveau gouvernement devra annuler toutes les lois d'amnistie fantaisistes votées par le Parlement. Et dans la foulée, il devra mettre sur pied un Tribunal Pénal pour juger tous les crimes commis en République Démocratique du Congo.

Néanmoins Le MP de la diaspora congolaise se félicite des résolutions des consultations qu'il a initiees du 02 novembre au 23 novembre 2020 mais exhorte activement Felix tshisekedi tshilombo de ratisser largement en mettant sans plus attendre trop long en application toutes les résolutions de ces consultations afin de pouvoir adhérer massivement a l'idéologie de l'union sacrée de la nation car c'est le peuple congolais zaïrois dont il est question ici et rien d'autres car il a dit lui-même que :

Kisalu mebanda ce qui veut dire que le travail doit incessamment commencer !

BIENVENU MASSAMBA MP

 

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6 décembre 2020 7 06 /12 /décembre /2020 19:09
Discours de Félix Tshisekedi à l’issue des consultations : LA RUPTURE DU FAMEUX DEAL AVEC KABILA EST IMMINENTE !

Congolaises, Congolais, mes Très Chers Compatriotes,

Comme je vous l’ai promis le 23 octobre dernier, Me voici devant vous pour vous rendre compte du résultat des consultations que j’ai engagées depuis le 2 novembre dernier, ainsi que des décisions qui en découlent.

Près de trois semaines durant, avec les représentants des différentes forces politiques et sociales du pays, j’ai eu le privilège d’aborder les sujets les plus préoccupants pour l’avenir de notre pays. J’ai recueilli des mémorandums, cahiers de charges, notes, projets et autres courriers aussi bien individuels que collectifs.

J’ai été impressionné par la clarté des analyses et recommandations de mes différents interlocuteurs.

Une fois de plus, j’ai ressenti l’immense douleur, doublée de révolte, de mes compatriotes face à la situation d’instabilité et de guerre larvée qui perdure dans une partie du pays ; j’ai été anéanti par les témoignages renouvelés des victimes d’atrocités ; j’ai mesuré la soif, exprimée par tous, d’une démocratie exemplaire et d’un véritable État de droit; j’ai compris que notre peuple et la majorité de ses élites, ne supportent plus d’être pris en otage par le cancer de la corruption, des traitements discriminatoires, des discours creux et démagogiques ; J’ai ressenti la lassitude de nombre d’entre vous, toujours plus impatients de voir des résultats concrets sur le front socioéconomique changer leur quotidien et celui de leurs enfants. J’ai pris bonne note des attentes précises de chaque catégorie consultée, ainsi que celles spécifiques aux différentes provinces.

J’ai aussi été marqué par votre reconnaissance des efforts consentis pour trouver des solutions aux multiples problèmes auxquels nous faisons face. J’en suis d’ailleurs ragaillardi.

À tous ceux que j’ai eu l’honneur de rencontrer, j’adresse mes remerciements les plus patriotiques. Je remercie également chacun d’entre vous qui n’avez pas pu participer directement à ces consultations, mais qui avez manifesté un grand enthousiasme pour cet exercice démocratique.

Je suis très fier de constater que les uns et les autres partagent largement avec moi les mêmes aspirations pour notre pays ; tous veulent voir émerger un Congolais nouveau pour un Congo debout, entamant résolument sa marche vers le progrès.

Mes chers compatriotes,

La responsabilité qui est la mienne est de rassembler tous les Congolais et de les faire progresser. Le devoir constitutionnel qui m’incombe est celui d’être le garant de la Nation et d’assurer le bon fonctionnement des institutions de la République.

Nous traversons en cette période un tournant décisif de notre construction démocratique. Ce moment nous confère un devoir collectif ; celui du sursaut ! Un vrai sursaut démocratique, que nous devons porter partout sur notre territoire, pour anéantir les desseins des cyniques, pour réveiller les somnambules, et pour barrer le passage à celles et ceux qui portent la haine et la honte dans notre pays. Je veux le faire avec vous, autour de valeurs, de principes et d’actions. Actions pour le redressement moral de notre Nation, pour sa réhabilitation sécuritaire, économique et sociale. Pour atteindre chaque Congolais dans son vécu quotidien, et que, in fine, personne ne soit laissé pour compte.

Mes chers compatriotes,

Je vous ai consulté et vous m’avez parlé.

De tout ce qui m’a été rapporté, individuellement ou collectivement, il se dégage une large convergence des vues au niveau national sur les questions essentielles.

Vous m’avez parlé de la paix et de la sécurité, j’ai retenu comme propositions :

-       Etablir une administration appropriée dans les zones en proie à l’instabilité et aux conflits (Cas de Beni et Butembo notamment) ;

-       Impliquer davantage les communautés des zones affectées dans les processus de pacification ;

-       Proscrire strictement l’incorporation des rebelles au sein de l’armée régulière ;

-       Appliquer rigoureusement les dispositions pénales contre le viol ;

-       Lancer dans les meilleurs délais la campagne tolérance zéro contre les violences basées sur le genre ;

-       Consacrer plus de ressources à la prise en charge des victimes d’atrocités ;

-       Exercer notre devoir de mémoire par des symboles, actes et initiatives pérennes, afin que de telles calamités ne se reproduisent plus ;

-       Recourir aux instruments de justice transitionnelle pour bâtir le chemin de la réconciliation et de la paix ;

-       Obtenir de la communauté internationale et des Nations unies en particulier, le soutien à l’initiative visant l’établissement d’un tribunal pénal international et de chambres spécialisées mixtes en RDC ;

-       Poursuivre la réforme de l’armée, de la police et des services spécialisés ;

-       Obtenir la levée de l’embargo contre la RDC en matière d’achat d’armes et autres équipements militaires ;

-       Revoir les lois qui tendent à protéger tous ceux qui ont commis des crimes graves se rapportant aux droits de l’homme et autres crimes économiques ;

-       Accroitre les programmes de stabilisation visant l’orientation des démobilisés vers des activités économiques et d’intérêt public, loin du métier des armes ;

-       Réorganiser les marchés locaux des minerais afin de réduire le lien entre conflits armés et exploitation minière ;

-       Elaborer et mettre en œuvre un plan de rapatriement urgent des Mbororo dans leur pays d’origine ;

Sur le renforcement de la démocratie et l’État de droit, j’ai noté qu’il faut :

-       Mettre fin à l’Accord de coalition CACH-FCC, considéré comme la raison principale à la base du blocage actuel ;

-       Assurer et pérenniser l’alternance démocratique au sommet de l’Etat ;

-       Opérer, sur la base d’un large consensus, des réformes constitutionnelles portant sur le mode de scrutin ou le seuil minimum aux élections législatives nationales, la rétrocession aux provinces afin de rendre effective la décentralisation, la loi sur la nationalité afin de permettre aux nombreux concitoyens de la diaspora de conserver, selon le cas, la nationalité congolaise d’origine ;

-       Ouvrir un débat en vue de la réintroduction de l’élection présidentielle au suffrage universel direct à la majorité absolue (2 tours) et, le cas échéant, verrouiller ces dispositions dans une révision constitutionnelle ;

-       Réhabiliter les partis politiques dans leur rôle de principaux moteurs de la démocratie et acteurs de la vie parlementaire, en lieu et place des regroupements politiques, conformément à l’esprit et à lettre de la Constitution, notamment son article 6 ;

-       Réduire la taille du gouvernement ;

-       Accorder à chaque groupe parlementaire constitué au sein des 2 chambres, des plages horaires gratuites et équitables au sein de la chaine de télévision publique parlementaire, pour y défendre ses opinions, idées ou activités ;

-       En 2023, organiser les premières élections locales en même temps que les élections nationales ;

-       Changer le mode de scrutin des Gouverneurs de provinces et des Sénateurs ;

-       Accélérer la désignation du porte-parole de l’opposition ;

-       Supprimer le Ministère de la Décentralisation et réintégrer sa fonction au sein du Ministère de l’Intérieur ;

-       Dépolitiser l’Administration du territoire en privilégiant les critères d’ancienneté et de compétence dans les nominations des administrateurs des territoires, ainsi que la promotion des non originaires ;

-       Procéder à l’identification des citoyens congolais et étrangers résidents, et délivrer les nouvelles cartes d’identité sécurisées avant fin 2022 ;

-       Assurer le vote pour les congolais de l’étranger aux prochaines élections nationales ;

-       Créer des sièges pour les congolais de l’étranger à l’Assemblée nationale ;

Pour organiser des élections crédibles dans le délai constitutionnel, vous avez souligné l’urgence de :

-       Réaliser le recensement de la population dans des délais raisonnables ;

-       Réformer la loi électorale et la CENI avant la désignation de ses membres ;

-       Constituer des provisions budgétaires annuelles pour le financement de la CENI.

Sur l’indépendance et la bonne administration de la justice, vous avez relevé qu’il faut :

-       Mettre en place un programme de recrutement de nouveaux magistrats et de formation continue intensive pour les magistrats en fonction ;

-       Améliorer les conditions de vie et de travail des magistrats et sanctionner sévèrement les magistrats qui abuseraient de leur position ;

-       Renforcer le respect de la loi, intensifier la lutte contre la corruption et autres antivaleurs, ainsi que la lutte contre la criminalité économique, notamment par la création d’un parquet financier ;

-       Protéger, par une loi, les lanceurs d’alerte, en vue de juguler l’enrichissement sans cause ;

-       Procéder à la mise en place des responsables de la Cour des comptes et à la prestation de serment de ses magistrats ;

-       Initier et poursuivre les enquêtes judiciaires sur différents dossiers.

Parlant de l’amélioration des finances publiques et du climat des affaires, vous avez suggéré qu’il faut :

-       Intensifier les efforts visant une meilleure cohérence fiscale et traquer tous les abus préjudiciables à l’efficacité et au climat des affaires ;

-       Mettre fin à l’impunité et renforcer la législation pénale afin que tout détournement en bande organisée de la paie des fonctionnaires, civils ou militaires, soit assimilé à un acte de haute trahison et sévèrement puni ;

-       Réduire le nombre et le volume de nos représentations diplomatiques à l’étranger et les renforcer en capacités humaines en matière de coopération économique et partenariats.

-       Réduire le train de vie des institutions politiques et interdire strictement toute augmentation des salaires en leur sein, jusqu’à la réalisation intégrale du Contrat social de l’innovation, dit Accord de Mbudi, qui tarde à se matérialiser depuis sa signature en 2004 ;

-       Mettre en place un système de déclaration annuelle d’impôts pour les personnes physiques ;

-       Réformer les lois et règlements sur les exonérations et les compensations fiscales et parafiscales ;

-       Opérationnaliser effectivement l’identifiant fiscal unique pour les personnes physiques et morales ;

-       Renforcer la synergie entre les régies financières, et accroitre le recours à la digitalisation, en vue de mieux maitriser la base fiscale et mieux combattre la fraude ;

-       Sécuriser les contrats et le droit de propriété, en particulier en ce qui concerne les titres fonciers et immobiliers ;

-       Combattre l’évasion des primes d’assurance et instaurer un système de pénalités dissuasif ;

-       Renforcer le contrôle des structures des prix des produits de base et sanctionner toutes les formes d’abus conduisant à des hausses injustifiées des prix au consommateur ou un manque à gagner à l’État ;

-       Créer une véritable banque nationale de développement ;

-       Créer une banque agricole en vue de répondre aux besoins spécifiques de financement de ce secteur ;

-       Créer une banque de l’habitat en vue de promouvoir le crédit hypothécaire en RDC ;

-       Accélérer la mise en place de dispositifs de contrôle en vue de mettre fin au coulage des recettes à nos différentes frontières ;

-       Faire émerger au budget de l’État certaines catégories de recettes, notamment les bonus, réalisés par les entreprises étatiques ;

-       Poursuivre la politique de stabilité du cadre macroéconomique.

Pour mieux planifier notre développement et bâtir nos infrastructures, vous avez souligné la nécessité de :

-       Procéder sans délais à la revue du Plan National Stratégique de Développement (PNSD) afin de l’actualiser, le rendre plus centré, plus opérationnel et l’assortir d’une liste de projets et actions prioritaires ;

-       Doter chaque province d’un Plan de développement provincial cohérent, en phase avec les priorités nationales et assorti des capacités pour sa mise en œuvre ;

-       Réécrire la loi sur le petit commerce, afin de garantir l’exclusivité aux nationaux ;

-       Valoriser et protéger nos actifs miniers, grâce à un programme de certification minière, en vue de mieux soutenir le financement de nos infrastructures et la mise en valeur de notre économie ;

-       Construire davantage de logements sociaux ;

-       Renforcer les règles de construction et d’urbanisation ;

-       Renforcer la lutte anti érosions sur l’ensemble du territoire ;

-       Réformer la loi sur les marchés publics pour la rendre mieux adaptée aux contraintes et spécificités nationales et faciliter l’exécution rapide et fiable des projets ;

-       Finaliser le cadre légal de mise en œuvre des Partenariats Public Privé pour permettre l’accélération des réformes et des grands projets de développement du pays ;

-       Renforcer la culture et la pratique de l’évaluation à tous les niveaux, y compris pour les membres du gouvernement central, les gouvernements provinciaux et les mandataires publics ;

-       Fixer des objectifs précis de desserte des populations en eau potable, en énergie électrique, en infrastructures de transport, et en assurer un suivi rapproché au plus haut niveau du Gouvernement ;

-       Promouvoir l’écologie et la protection de l’environnement ;  

-       Organiser dans les tous prochains mois, dans un format à définir, une conférence des bailleurs de fonds publics et investisseurs privés, pour la mise en œuvre rapide et efficace des priorités nationales.

Afin de promouvoir l’émergence d’un congolais nouveau en investissant davantage dans le capital humain vous avez proposé de :

-       Concrétiser la promesse de la couverture santé universelle par sa mise en œuvre immédiate et progressive ;

-       Construire et réhabiliter les hôpitaux et les centres de santé ;

-       Financer les recherches médicales et médicinales, promouvoir l’industrie pharmaceutique locale et le recours aux médicaments génériques ;

-       Assurer un suivi plus rigoureux de la mise en œuvre de la gratuité de l’enseignement primaire et la suppression de la prise en charge par les parents et en rendre régulièrement compte ; traquer et punir sévèrement tous les abus et actes de sabotage dans ce domaine ;

-       Combattre la corruption dans les écoles, instituts supérieurs et universités ;

-       Rendre efficace le cadre déontologique des enseignants ;

-       Améliorer la condition de l’enseignant ;

-       Promouvoir l’enseignement technique et professionnel par un dialogue renforcé et des actions concertées avec les acteurs du secteur privé et de la société civile ;

-       Redynamiser le système de gestion des bourses d’études nationales et internationales ;

-       Réviser les programmes scolaires de l’enseignement national ;

-       Promouvoir la culture, les arts et les sports comme vecteur de modélisation d’un homme congolais nouveau en investissant notamment dans les infrastructures et la réhabilitation de l’économie culturelle.

 

 

Pour donner de l’emploi et une vraie perspective de vie à la jeunesse, vous avez suggéré de :

-       Combattre l’exclusion, l’extrême pauvreté et la vulnérabilité partout où elles se manifestent, car les enfants et les jeunes en sont les principales victimes ;

-       Mettre en place, avec les autorités provinciales et locales, une véritable politique multidimensionnelle de lutte contre le désœuvrement des jeunes et le phénomène des enfants des rues ;

-       Mettre en place, conjointement avec le secteur privé, un programme visant la mise à niveau, la diversification et le développement de l’offre de formation professionnelle (y compris l’entrepreneuriat) sur toute l’étendue du territoire national ;

-       Accélérer la mise en place du Fonds de garantie pour les jeunes entrepreneurs ;

-       Garantir, par la loi, un quota de participation des jeunes entrepreneurs aux grands marchés publics ;

-       Adopter, sans délais, le projet de loi révisant la loi agricole de 2013 ;

-       Faciliter l’accès au foncier agricole pour les jeunes producteurs ruraux ;

-       Faciliter aux jeunes l’accès aux différentes formes de crédit à des conditions avantageuses.

Quant à la promotion des droits de la femme, vous avez insisté sur la nécessité de :

-       Renforcer les incitations en faveur d’une plus grande participation des femmes aux compétitions électorales ;

-       Veiller à une meilleure représentation des femmes au sein des instances dirigeantes des entreprises et institutions publiques ;

-       Promouvoir, par des initiatives spécifiques, l’entreprenariat des femmes.

Mes chers compatriotes,

L’engouement suscité par les consultations ayant dépassé toutes les prévisions, je ne saurai être exhaustif dans cette énumération. Qu’à cela ne tienne, toutes ces attentes, ces interrogations, ces inquiétudes, cette lassitude, cette colère exprimée, mais aussi les sujets de satisfaction, ont été pris en compte et ont fait l’objet de ma profonde réflexion. J’en ai retenu que d’une part, le Gouvernement de coalition institué au lendemain de l’alternance politique intervenue en janvier 2019 n’a pas permis de mettre en œuvre le programme pour lequel vous m’aviez porté à la magistrature suprême, et que d’autre part, il n'a pas été capable de répondre aux attentes et aux aspirations de notre peuple.

Vous avez un rôle immense pour aider à corriger les excès du passé, et veiller à ce que nous ayons un Congo plus efficace, plus démocratique. Nous y œuvrerons ensemble.

Aussi devons-nous cultiver chaque jour et à chaque instant le vivre ensemble sur des valeurs d’égalité de traitement entre les citoyens, d’équité et de solidarité dans le partage des richesses nationales, ainsi que de justice pour tous.

Nous devons également renforcer les piliers de la cohésion sociale et la législation, en réprimant plus sévèrement les actes et propos incitant à la haine tribale, aux discriminations en tout genre et au séparatisme.

Mes Très Chers Compatriotes,

Cela dit, vos contributions devront conduire ainsi à de profondes réformes.

La femme, la jeunesse et le monde de la culture doivent y jouer un rôle intense.

La culture et l’éducation, sont les piliers sur lesquels se construit le développement et le progrès, la création et l’innovation.

L’implication et la responsabilité des femmes dans ce combat vaut son pesant d'or. Ne dit-on pas que partout où l'homme a dégradé la femme, il s'est dégradé lui-même.

Nous avons à construire la société que notre jeunesse mérite.

Mes Très Chers Compatriotes,

Au-delà du large consensus sur les objectifs de la gouvernance ainsi plébiscités par les forces vives de la Nation et par de nombreux élus, ces consultations ont également mis en évidence, à une écrasante majorité, le rejet de la coalition entre le Front Commun pour le Congo et le Cap pour le Changement.

Cette triste conclusion intervient après deux années d’efforts inlassables pour préserver l’essentiel au sein de la coalition. Deux années de grâce qui n’auront malheureusement pas réussi à éviter une situation de crise persistante et de défiance inacceptable entre les institutions de la République dont je suis le seul garant.

Ba ndeko ba bolingo, bana mboka,

Lisanga ya bana Congo ekatisi ba mbula mpe makambo ebele. Lelo tokomi na tango ya mbela !

Bitumba oyo ezali ya ko bimisa ekolo na biso na bowumbu ya bobola na ya bozangi, ya bokabuani, bitumba na liwa oyo toyebela tina te, bitumba ya moyibi, ya kaniaka na nkita na biso.

Na sengi na bino banso tosangana mpo to bimisa mboka ya ba koko na biso na etumbu oyo.

Mes Très Chers Compatriotes,

Ceci n'est pas seulement un discours, c'est un appel à la mobilisation générale face à la dégradation de la situation de notre pays, voulue et orchestrée par les fossoyeurs de la République.

Mes Très Chers Compatriotes,

Comme j’ai eu à vous le dire le 23 octobre dernier, nous n’avons pas le droit de prendre en otage le devenir de notre Nation à cause de querelles politiciennes et de repositionnement. Je ne peux en conséquence me résoudre à demeurer dans le statu quo et l’immobilisme. Le temps n’est plus propice aux atermoiements, ni aux discussions stériles, ni encore aux intérêts partisans. Les replis tactiques et les combats d’arrière-garde n’ont plus aucun sens. Ce moment historique nous impose de prendre nos responsabilités, en vue d’instaurer un État de droit et de démocratie conformément à la mission que vous m’avez confiée, et dont je mesure la grandeur.

C’est pourquoi j’ai décidé de faire porter le grand projet de refondation du pays par l’ensemble des forces vives politiques et sociales que compte notre pays, au sein d’une Union Sacrée de la Nation.

Par Union Sacrée, j’entends une nouvelle conception de la gouvernance basée sur les résultats dans l’intérêt supérieur de la Nation. Il s’agit d’adhérer aux valeurs, principes et cadre programmatique dont je viens de fixer ici les grandes lignes.

Ainsi pour rendre effectives et concrétiser les réformes envisagées, la majorité parlementaire actuelle s’étant effritée, une nouvelle majorité est nécessaire.

En conséquence, j’ai décidé de nommer un INFORMATEUR, conformément aux dispositions de l’article 78, alinéa 2, de la Constitution. Il sera chargé d’identifier une nouvelle coalition réunissant la majorité absolue des membres au sein de l’Assemblée Nationale.

C’est avec cette nouvelle coalition que le Gouvernement qui sera mis en place au plus vite, conduira son action durant le reste du quinquennat, suivant Ma vision, dans le but de répondre aux aspirations du peuple.

Au cas contraire, fort de ce que les raisons de dissolution sont réunies en ce qu’il existe effectivement une crise persistante cristallisée notamment par le refus du parlement de soutenir certaines initiatives du Gouvernement comme ce fut le cas lors de la prestation du serment des membres de la Cour Constitutionnelle, j’userai des prérogatives constitutionnelles qui me sont reconnues, pour revenir vers vous, peuple souverain, et vous demander une majorité.

Mes Très Chers Compatriotes ;

Forces vives de la nation ;

Députés nationaux et Sénateurs,

Le moment est ainsi venu de réunir toutes les bonnes volontés pour donner un nouvel élan à notre destin national dans l’union sacrée de la nation, et que le Congo, notre cher et beau pays, dont le peuple est le bouclier et la force de dissuasion, cesse d’être un problème pour nous-mêmes et pour le monde.

Mes Très Chers Compatriotes,

Wandugu wapenzi musimame, kazi ya inchi ina anza !

Ba mpangi ya luzolo beno telama, kisalu me banda !

Bana betu basuibue jukayi, mudimu wa bangi !

Bandeko babolingo bana mboka bino banso botelema, mosala ebandi !

Que Dieu bénisse la République Démocratique du Congo !

Je vous remercie.

Félix Antoine TSHISEKEDI TSHILOMBO

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8 novembre 2020 7 08 /11 /novembre /2020 15:35
QUI SONT CEUX ET CELLES QUI TRAHISSENT LE PEUPLE CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE POUR QUE NOUS NOUS RETROUVIONS EN OTAGE PERPETUEL ?

Qui sont donc ces hommes et femmes politiques congolais zairois d'origine qui trahissent éperdument le peuple congolais ainsi que la nation congolaise dans son ensemble ?

Nous voulons a tout prix denoncer et devoiler ceux et celles de pres ou de loin contribuent tant soi peu a la situation de statuquo, de marasme, de blocage, de stagnation, de pataugement de notre pays. Ceux et celles qui trahissent notre pays, ce sont ceux et celles qui veulent vendre a tout prix notre pays a vil prix a la soi disante communaute internationale mais reelement communauté des intérêts.

Ceux et celles qui trahissent notre peuple, ce sont ceux qui financent les groupes armees nationaux comme etrangers, ce sont ceux des politiciens congolais soi disant opposants mais réellement opposants alimentaires car ils s'arragent pour tromper le peuple congolais avec des slogans creux disant qu'ils se soucient d'eux alors qu'ils sont entrain de les tromper, de les mentir, de les manipuler de manière permanente afin d'exploiter et d'extorquer leur intelligence.

Ceux et celles qui trahissent le peuple congolais, ce sont ceux qui battent campagne lors des élections générales au pays d'origine profitant a l'horizon lointain alors qu'on le sait parfaitement bien que les élections n'ont jamais apportées une resolution définitive d'en finir avec la famine, les conditions sociales de précarité, le chômage, les violations de droit de l'homme et du droit international humanitaire, les maladies et épidémies populaires telles que : Ebola, sida, coronavirus….

Ceux et celles qui trahissent notre peuple congolais zaïrois d'origine, ce sont ceux et celles qui sous des couverts des statuts des refugiées reconnus chez nous au Congo Kinshasa infiltrent massivement a tous les échelons de la société congolaise afin de chercher  a nous diviser, nous dissuader, nous balkaniser, a l'instar des banyamulenge, banyarwanda qui se laissent être instrumentalisés par leur chef d'état actuel du Rwanda Paul Kagame a continuer d'avoir des visées machiavéliques, hégémoniques sur nos terres, nos richesses tant du sol que du sous-sol.

Ce sont encore ceux et celles qui détournent l'argent des contribuables congolais zaïrois d'origine a des fins mercantiles, d'où pour changer cette réalité de trahison a grande échelle chez nous au Congo Kinshasa, nous devons changer carrément et radicalement de politique. Sans un réel véritable changement politique au niveau des dirigeants politiques congolais zaïrois d'origine, jamais alors jamais je vous jure que la RDC Congo ne disposera d'une réelle indépendance, une réelle autonomie de bonne gouvernance.

Ceux et celles qui sont au pouvoir aujourd'hui a savoir le FCC et CASH ont bien trop d'intérêt a poursuivre leur coalition ou cohabitation aux fins d'exploiter le peuple congolais ainsi que le pays a ne satisfaire que leurs intérêts, leurs privilèges au détriment du souverain primaire depuis très longtemps, ca toujours été le cas, depuis 1885, l'époque coloniale a nos jours, c'est toujours pareil. Une chose est sure et certaine très chers compatriotes congolais zaïrois d'origine, ce n'est pas avec les dirigeants actuels que la RDC Congo sera réellement rayonnant et indépendant. Ce n'est non plus avec la communauté des intérêts que le Congo sortira de la misère ainsi que de la pauvreté lui imposée injustement depuis des lustres. Tous les soi disant députés, sénateurs élus, nommés issus du FCC et CASH ou de n'importe quel parti qu'ils soient, sont des collabos, des acteurs, actrices qui supportent et entretiennent l'occupation de notre pays ainsi que l'état d'otage perpétuel de notre peuple. Il est maintenant temps de les dévoiler tous, de dévoiler tous leurs plans, leurs complots ourdis, leurs mensonges ainsi que toutes leurs trahisons. C'est l'ère de la désolidarisation d'avec toutes les anciennes pratiques sales et anti-valeurs telles que : la corruption, rétro-commission, quémandes, l'errance perpétuelle de notre peuple congolais, des vols, des détournements etc...etc...

 

Bienvenu Massamba MP 

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28 octobre 2020 3 28 /10 /octobre /2020 15:58
POURQUOI LES CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE DOIVENT PREVALOIR DEVENANT DES EMEPCHEOLOGUES EN RECOUVRANT LEUR AUTORITE POUR EVITER TOUTE TENTATIVE DE GLISSEMENT FUTUR ?

Forts et garnis de leur charte qui constitue aujourd'hui leur constitution en vigueur, les congolais zairois d'origine que ca soit ceux qui vivent a l'etranger ou ceux qui demeurent au pays d'origine, voyant de loin les schémas dangereux que les dirigeants actuels du FCC et CASH veulent leur faire imposer par défis et par la force a savoir : proceder a la convocation anticipee des élections générales au suffrage indirect excluant délibérément le peuple congolais en question, proposition emanant des cadres du FCC par l'entremise de AUBIN MINAKU  et SAKATA présageant un danger d'auto-nomination ou d'auto-proclamation du chef de l'Etat favoriser par la crise sanitaire liée au coronavirus pandémie mondiale qui met le monde entier ainsi que notre pays RDC en particulier dans une inertie sans précédent, eu égard aux fausses raisons faisant état de négation de la part du gouvernement congolais actuel des moyens financiers consistants en vue d'organiser les dites élections générales anticipées qui pointent a l'horizon 2023 dans le délai constitutionnel alors que VITAL KAMERHE membre toujours de cabinet de FELIX TSHISEKEDI TSHILOMBO a lui seul a détourné plus de 470 millions des dollars américains en toute impunité malgré sa condamnation par la justice congolaise a plus de 20 ans de servitude pénale, eu égard au problème avec l'implémentation et le fonctionnement de 11 nouvelles provinces issue d'un découpage territorial désordonné et précipité dont la tentative du démantèlement de la soi disant commune de MINEMBWE sous la houlette du ministre d'Etat de la décentralisation en la personne de AZARIAS RUBERWA qui a voulu embrasé tout le pays ainsi que balkaniser une portion du territoire national, eu égard au droit de vote des ressortissants congolais de l'étranger et au droit de vote des jeunes majeurs qui totalisent au jour d'aujourd'hui plus de 18 ans d'âges et qui doivent impérativement recouvrir leur droit longtemps piétiné et qui pourrait dans un avenir proche constitué un nouvel corps électoral favorisant l'avènement d'une nouvelle majorité parlementaire aux  futurs potentiels candidats présidentiels ou présidentiables , ajouté a ces lots les contentieux électoraux des élections générales de 2006, 2011 et 2018 qui jusqu'à nos jours n'ont pas encore trouvé des remèdes adéquats, eu égard au déterrement ainsi qu'a l'exhumation du rapport MAPPING et aux résultats d'enquêtes des fausses communes de MALUKU, BENI, et d'autres villes du pays qui tardent encore a être élucidés, eu égard a la non divulgation du fameux deal mystérieux liant le FCC au CASH après près de 2 ans qui divise les 2 formations politiques dans les domaines de la paix durable, la sécurité, la CENI, la gestion du portefeuille d'état, la territoriale etc...etc..., eu égard a l'appel aux consultations nationales genre dialogue national inter congolais Sun city bis de la honte qui ne va rien apporter a notre point de vue si ce n'est pas de vouloir chercher a se permuter des postes bien stratégiques surtout régaliens en vue de  renforcer désormais leur cohabitation car leur coalition qui a montré ses limites et où l'on doit toujours continuer a régler les litiges de nationalités des banyamulenge réellement banyarwanda suggérer par Felix tshisekedi tshilombo a Londres, Aux sus et aux vus de la mauvaise foie du gouvernement congolais actuel de palier aux conditions de précarité du vécus quotidiens de la population congolaise zaïroise d'origine, Nous tenons d'exhorter sans plus tarder a notre peuple congolais de se prendre en charge en s'appropriant au plutôt des articles 14 et 15 de la charte des ressortissants congolais de l'étranger en vue de devenir des empecheologues et de sortir de l'état d'otage perpétuel dont on veut le museler a perpétuité depuis l'époque coloniale jusqu'à nos jours, qui stipulent ce qui suit : 

ARTICLE 14 Les ressortissants congolais vivant a l'etranger doivent defendre a tout prix une nouvelle politique evangelique dite "l'empecheologie" c'est-a-dire l'art de combattre les imperialistes, les multinationales, les occupants ainsi que leur marionnette de pouvoir continuer a perenniser leur sale besogne de destruction totale ou partielle du peuple africain et mettre en detour toute tentative sombre, machiavelique et hegemonique visant a remettre en cause l'emancipation, l'emergence, la croissance et le developpement du continent africain tout entier. ARTICLE 15 Les ressortissants congolais vivant a l'etranger ont l'obligation de formaliser une farouche resistance contre tout individu ou groupe d'individu qui essaie de prendre le pouvoir et de s'y maintenir par la force tendant a l'exercer en violation de la disposition constitutionnelle en vigueur au pays d'origine en menant des campagnes de desobeissance civiles et de soulevement populaire y compris de journee ville morte pour liberer le peuple congolais en etat d'otage perpetuel.

Rien n'a évolué car la clé des répartitions des richesses nationales fait défaut et ne répond qu'au désir insatiable, gourmand d'un groupuscule des mafieux qui ne veulent rien d'autres que s'enrichir au détriment du souverain primaire le peuple congolais zaïrois d'origine en violation de la constitution actuelle dans ses articles 58,59 et 60 en ce sens :

Article 58   Tous les Congolais ont le droit de jouir des richesses nationales.  L’Etat a le devoir de les redistribuer équitablement et de garantir le droit au développement. 
Article 59 Tous les Congolais ont le droit de jouir du patrimoine commun de l’humanité. L’Etat a le devoir d’en faciliter la jouissance. 
Article 60 Le respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales consacrés dans la Constitution s’impose  aux pouvoirs publics et à toute personne. 

Le droit de souveraineté des peuples et des nations sur leurs richesses et leurs ressources doit s'exercer dans l'intérêt exclusif du developpement national et du bien être de la population de l'Etat intéressé. Il n'y a qu'une seule majorité au Congo-Kinshasa qui peut bouleverser les donnes et changer profondément tous les paradigmes de blocage, de pauvreté, etc...etc... et c'est la majorité populaire émanant du peuple congolais. 

 

Bienvenu Massamba MP

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22 octobre 2020 4 22 /10 /octobre /2020 07:47

 

Dans sa déclaration publiée ce mercredi 21 octobre, Martin Fayulu qualifie la cérémonie de prestation de serment de trois nouveaux juges de la Cour constitutionnelle, tenue au Palais du peuple d’un semblant de bras-de-fer qui paralyse et détruit davantage les piliers de la démocratie.

« En effet, au moment où toutes les filles et tous les fils du Congo se mobilisent pour sauver le pays de l’occupation de ses terres du pillage de ses ressources naturelles ainsi que de sa balkanisation, la coalition FCC-CACH nous distraie avec un semblant de bras-de-fer qui paralyse et détruit davantage les piliers de la démocratie », a déclaré Martin Fayulu. 

Il accuse Félix Tshisekedi et Joseph Kabila de vouloir chacun avoir la main mise sur la CENI et la Cour Constitutionnelle afin de briller par des « coups d’état ».

« Messieurs Kabila et Tshisekedi se disputent le pouvoir qu’ils ont confisqué au peuple. Chacun d’eux veut maintenant contrôler la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) et la Cour constitutionnelle avec l’intention manifeste de poursuivre l’œuvre de destruction perpétuelle de la démocratie par des « coups d’état ». La CENI et la Cour Constitutionnelle doivent être réellement indépendante et libérés de l’emprise de quelque faction politique que ce soit. Ainsi, seule une dénonciation publique du « deal » peut attester de la sincérité de chacun d’eux », a-t-il dit.

A en croire Martin Fayulu, Kabila et Tshisekedi entretiennent la diversion afin de contourner les vrais problèmes qui se posent au pays. 

« Leurs stratégie consiste à donner l’impression qu’ils sont en conflit alors qu’en réalité, ils entretiennent la diversion pour contourner les vrais problèmes qui se posent au pays, notamment : la précarité de la situation économique et la misère noire dans laquelle croupit le peuple congolais, l’insécurité généralisée dans le pays ; la corruption érigée en système de gouvernance ; la présence inacceptable des armées étrangères sur le sol congolais, l’exhumation du rapport mapping et la création d’un Tribunal pénal pour le Congo, l’occupation et la balkanisation de notre pays », ajoute Fayulu.

Dans l’optique de lever la crise qui pèse sur la nation, Martin Fayulu appelle à l’implication des confessions religieuses, des présidents des pays membres de la SADC et la communauté internationale. 

« C’est pourquoi, en toute responsabilité, je demande, une fois de plus, aux leaders de nos confessions religieuses, nos pères spirituels, d’offrir leurs bons offices pour pouvoir réunir toutes les parties prenantes afin de trouver consensuellement une solution à la crise qui déchire notre pays. Aux présidents des pays membres de la SADC, je les prie de s’engager à accompagner les leaders religieux congolais dans la recherche d’une solution à la crise congolaise. Aux membres de la communauté internationale, je les exhorte à se ressaisir afin d’aider les congolais à retrouver une stabilité pérenne pour le pays et pour la région au travers de la mise en place des institutions légitimes, gage du développement », conclut-il.

Le Chef de l’Etat Félix Tshisekedi a reçu ce mercredi 21 octobre les serments de trois juges de la Cour constitutionnelle au cours d’une cérémonie au Palais de la Nation en présence des certains députés, sénateurs et membres du gouvernement.

Contexte 

Les juges Dieudonné Kaluba, Alphonsine Kalume et Kamulete Badibanga ont prêté serment dans un contexte de tension entre le camp Tshisekedi et le FCC qui juge anticonstitutionnelle l’ordonnance du 17 juillet. Ce qui justifie l’absence des présidents de deux chambres du parlement, premier ministre ainsi que des députés et sénateurs de la famille politique de Joseph Kabila. Mais certains cadres du FCC comme le gouverneur de Kinshasa étaient présents tout de même. Plusieurs ambassadeurs accrédités en RDC étaient présents au Palais du peuple. La Cour constitutionnelle affiche donc au complet avec ses neuf juges. 

Jordan MAYENIKINI

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