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Ce que nous pouvons retenir derrière la rencontre entre les 2 marionnettes Paul Kagame du Rwanda et Felix tshilombo du Congo Kinshasa est que nous faisons face à des aventuriers et des démagogues chefs d'Etats qui font la honte au continent africain. Ils viennent de démontrer à la face du monde où est ce qu'ils vont placer et garder leur argent détourné et volé de leurs contribuables respectifs notamment à Doha au Qatar.
Le Qatar (en arabe : قطر / qaṭar), en forme longue l'État du Qatar (en arabe : دولة قطر / dawlat qaṭar), est un émirat du Moyen-Orient d'une superficie de 11 586 km2. Le Qatar est situé sur une petite péninsule s'avançant dans le golfe Persique et reliée à la péninsule Arabique au sud, où elle a une frontière terrestre avec l'Arabie saoudite. Sa capitale est Doha, sa langue officielle l'arabe et sa monnaie le riyal qatarien.
En 2014, le Qatar est le cinquième producteur de gaz naturel du monde après la Russie, les États-Unis, le Canada et l'Iran. Il est le premier exportateur de gaz naturel liquéfié. Le pays est aussi un producteur de pétrole, mais de taille moyenne. Il est membre de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) entre 1961 et 2018. Il est membre associé de l'Organisation internationale de la francophonie (OIF) depuis le sans être passé par le statut d'observateur.
Le Qatar est le 14ème plus gros producteur mondial de pétrole, possède la 3ème plus grande réserve de gaz naturel de la planète et fait partie des plus importants émetteurs de gaz à effet de serre par habitant au monde. Au lieu de prendre des mesures concrètes pour s’éloigner de la production et de l’utilisation des carburants fossiles, le Qatar est en train d’accroître sa production de gaz naturel liquéfié destinée à l’exportation.
Les travailleurs migrants sont toujours exposés au risque de chaleur extrême, en dépit de l’introduction de nouvelles protections contre la canicule, notamment l’interdiction du travail lorsque l’indice de température au thermomètre-globe mouillé (WBGT) excède 32,1 degrés Celsius. Bien que ces protections soient plus avancées au Qatar que dans d’autres États du CCG, ce qu’elles proposent est très insuffisant, car le seuil de 32,1 °C de WBGT est fixé trop haut pour protéger efficacement les travailleurs et car les défaillances d’application de la règle persistent. Du fait que les autorités qatariennes ne protègent pas les travailleurs immigrés de l’exposition à la chaleur extrême, accentuée par le changement climatique, et des maladies qui en résultent, y compris les défaillances d’organes, le fardeau des soins retombe sur les systèmes de santé déjà sous pression des pays d’origine de ces travailleurs.
Les travailleurs migrants, qui constituent plus de 91 % de la population du Qatar, sont administrés par le système abusif de kafala (parrainage) qui donne aux employeurs un contrôle disproportionné sur leurs employés. À l’approche de la Coupe du monde, le Qatar a introduit d’importantes réformes du code du travail qui donnent aux travailleurs migrants le droit de changer d’emploi ou de quitter le pays sans autorisation de leur employeur, lancé des mesures de protection des salaires, telles que le Système de protection du salaire et le Fonds de soutien et d’assurance des travailleurs (Wage Protection System and Workers’ Support and Insurance Fund), et fixé un salaire minimum plus élevé pour tous les travailleurs. Pourtant, les bénéfices de ces initiatives ont été limités en raison de leur introduction tardive, de leur portée restreinte et de leur faible application.
Les éléments abusifs du système de kafala sont demeurés intacts. Les travailleurs ne peuvent toujours pas changer facilement d’emploi, puisqu’en pratique on leur demande de se procurer une lettre signée par leur employeur initial et approuvant leur démission. Même quand leur employeur néglige de les payer, les travailleurs ne peuvent pas changer d’emploi. De plus, le Qatar risque de faire marche arrière sur certaines des réformes, comme le montre l’exemple de la proposition de 2024 du Conseil de la Shura, un organe consultatif, en vue d’adopter des mesures qui exigeraient des travailleurs migrants d’obtenir l’autorisation de leur employeur avant de pouvoir quitter le pays. En 2020, le Qatar avait étendu aux travailleurs domestiques la réforme qui supprimait l’obligation d’obtenir une autorisation de sortie du pays.
Le salaire minimum qatarien, introduit en 2021, est fixé à 1 000 QAR (274 USD) par mois. Non seulement ce montant ne tient absolument pas compte du coût élevé de la vie au Qatar, mais il n’a pas été revalorisé depuis son introduction en 2021. Human Rights Watch a démontré par ailleurs que les abus généralisés touchant au versement des salaires sont toujours présents. Dans de nombreux cas, les travailleurs migrants ont recours à des manifestations et grèves pour protester contre les retards de paiement des salaires, en dépit du risque d’être arrêtés et expulsés.
Le fait de quitter un employeur sans permission, qualifié de « fuite », est toujours pénalisé. Les confiscations de passeport, les honoraires de recrutement élevés et les pratiques de recrutement mensongères demeurent largement impunis. Bien que la Coupe du monde 2022 ait permis d’attirer l’attention sur les décès de travailleurs migrants au Qatar, le pays a failli à son obligation de prévenir, enquêter sur, ou indemniser la mort de milliers d’ouvriers.
Le nouveau gouvernement britannique a annoncé la reprise des négociations d’un accord de libre-échange avec le Conseil de coopération du Golfe (CCG), en dépit des préoccupations sur le manque de transparence, de contrôle et d’intégration de protections et d’engagements concrets en matière de droits humains dans ces accords, en particulier concernant les travailleurs migrants.
Au Qatar, les femmes sont soumises aux lois sur la tutelle masculine, qui les discriminent et portent atteinte à leur droit de prendre des décisions autonomes en matière de mariage, de divorce et concernant leurs enfants.
Le Code du statut personnel qatarien prévoit que les femmes ne peuvent se marier que si un tuteur de sexe masculin approuve le mariage, alors que les hommes n’ont besoin d’aucune permission et ont le droit de prendre jusqu’à quatre épouses à la fois. Une femme a par ailleurs l’obligation légale d’obéir à son mari, d’entretenir le domicile et ce qu’il contient et de donner le sein à ses enfants, sauf empêchement. Une épouse peut perdre son droit à l’assistance financière du mari si elle refuse d’avoir des relations sexuelles avec lui « sans motif légitime » ou si elle travaille en dehors du foyer conjugal sans son autorisation.
Les femmes n’ont pas le droit de divorcer unilatéralement au même titre que les hommes. Elles doivent demander le divorce au tribunal pour des motifs restreints, par exemple si le mari est impuissant, l’a abandonnée ou lui a fait du mal, ou encore s’il refuse de l’assister financièrement.
Les dispositions en matière d’héritage prévoient que les sœurs reçoivent la moitié de la part de leurs frères.
De plus, les femmes au Qatar font face à des restrictions de déplacement qui les empêchent de circuler librement dans leur propre pays et de voyager à l’étranger sans la permission de leur tuteur masculin. Par exemple, les étudiantes qatariennes ont l’obligation de prouver la permission d’un tuteur masculin si elles veulent pouvoir participer à des sorties, rester ou quitter l’enceinte du campus universitaire. Les règlementations du ministère de l’Intérieur exigent que les femmes qatariennes non mariées de moins de 25 ans fournissent l’autorisation de leur tuteur masculin pour pouvoir se rendre à l’étranger, alors que les hommes qatariens peuvent voyager sans permission à partir de l’âge de 18 ans. De plus, les tuteurs masculins peuvent demander que soit émise une interdiction de voyager pour les femmes de leur famille ou leurs épouses.
Voila donc où est ce que ces 2 individus veulent nous faire croire qu'il va y sortir quelque chose d'agréable et de paix durable alors que :