BIENVENU MASSAMBA REFUSE L'ACCORD MINERAIS CONTRE LA SECURITE AVES LES USA C'EST UN RISQUE DE BALKANISATION ECONOMIQUE ET CULTURELLE
12.03.2025
…
Par diasporanabisomoko.com
J'avais prévenu une situation de l'anormalité concernant la sous-traitance de notre souveraineté nationale, la sous-traitance de notre économie, la sous-traitance de notre sécurité, de notre santé, de notre emploi, de notre environnement, de notre scolarité, de notre religion, de notre sportivité etc...etc... Mais aujourd'hui nous remarquons les conséquences fâcheuses de se laisser faire par les dirigeants politiques fantoches congolais actuels issus des fraudes électorales diarrhéiques du 20 décembre 2023 dernier maintenant remarquez par vous-même les mercenaires Roumains, français pour faire notre sécurité et comme si ça ne suffisait pas on les paient des sommes astronomiques 5.000 voire même 10.000$ américains mais pour nos soldats de fardc pas même 100$, nos enseignants pareils ils ne sont même pas payés à temps avec des salaires de misère, les médecins n'en parlons même pas, nos policiers sont devenus des délinquants routiers au lieu de réguler ou régulariser la circulation routière pour éviter les embouteillages monstres préfèrent provoquer des désordres avec des tracasseries routières, la tribalisation du pays par la tribu luba qui s'incruste et s' institutionnalise dans toutes les institutions régaliennes, non c'est un spectacle décevant que nous présente les gens de l'udps parti des baluba extrémistes qui ne veulent pas partager le pouvoir avec les autres tribus titulaires du pays c'est dommage et regrettable !
TOZALI BA ESCLAVES YABA OCCUPANTS NAYA SYSTÈME YA OCCUPATION SOKI TOZALI KOSALA SÉCURITÉ YA MBOKA NA BISO BISO MOKO TÉ, SOKI PE TOZALI KOKANISA USA YA PRÉSIDENT DONALD TRUMP AKOYA KOSUNGA BISO NA ECHANGE YABA NKITA YA MABELE NA YASE YA MABELE NA BISO LUVULU NABAWO, KIBOWUMBU EKOSILA TÉ PAMBA TÉ TOZALI KO FORMER PE KO CRÉER GÉNÉRATION YA SIKA YABA ESCLAVES MODERNES EPUIS TOKOKOMA SESEKO KO DEPENDRE NA USA NA PRÉSIDENT DONALD TRUMP, TOKOKOMA BAWUMBU YA SIKA SIMA YABA OCCIDENTAUX EUROPÉENS PAMBA TÉ BANGO BAZALI BAWUMBU YA LIBOSO NABANGO BONGO SIMA ELANDI BISO APRÈS.KO DÉPENDRE NA CAPRICE YA MUTU TOPE YA GROUPE YA BATU EZALI KOZINDA KATI KATI YA POTO POTO YAKIBOWUMBU PENZA. BA NKITA YA MBOKA NA BISO ESENGELI EBENEFICIER NANU NA BAYIMBOKA SIMA NDE EKOKI KOSALISA BAPAYA. NA LOPOTO ELOBI BOYE :
Vous ne pouvez pas vous libérer d'un système éducatif qui diabolise et criminalise vos ancêtres. 80 ans de colonisation belge a suffit pour détruire l'intellect congolais zaïrois d'origine de fond en comble d'où il nous faut encore plus de 80 ans pour reconstruire ou construire un nouveau système d'éducation capable d'arracher les congolais zaïrois d'origine de l'esclavage moderne et de l'état d'otage perpétuel lui imposer depuis des lustres. Il est temps de refonder notre pays de fond en comble ! On nous a téléchargé avec des programmes inutiles qui ne nous engagent pas ni notre pays dans la voie du progrès et de développement durable. Réveillons - nous maintenant !
THOMAS SANKARA disait ceci et retenez - le dès maintenant :
"l’esclave qui n’est pas capable d’assumer sa révolte ne mérite pas que l’on s’apitoie sur son sort. Cet esclave répondra seul de son malheur s’il se fait des illusions sur la condescendance suspecte d’un maître qui prétend l’affranchir. Seule la lutte libère"
Héros national na biso Patrice Emery Lumumba aloba lisusu boye :
À travers les élections générales de façade remplies des fraudes diarrhéiques à grande échelle, un autre combat est né, c'est celui de la detribalisation des institutions internationales, des institutions républicaines du Congo Kinshasa, de la diaspora congolaise zaïroise d'origine éparpillée à travers le monde entier car une tribu veut imposer aux autres tribus du Congo Kinshasa la loi, c'est la tribu luba qui veut dicter sa loi parmi les bakongo, bangala, baswahili, banande, bashokwe et les autres j'en passe et le danger de la balkanisation du pays persiste si nous laissons les balubas nous diriger par la force des armes à feu parce que cette tribu luba fait du copier-coller avec la tribu tutsi et des banyamulenges pour montrer sa victimisation depuis l'époque du Zaïre jusqu'à nos jours prétendant qu'elle avait été victime d'exclusion et de discrimination par rapport aux autres tribus du Congo Kinshasa. Voilà pourquoi elle cherche à se vanger une fois au sommet de l'état congolais zaïrois d'origine.
Je lance officiellement la campagne de stopper la tribalisation des institutions du Congo Kinshasa par les balubas, vôtre fraude électorale diarrhéique ne passera pas, nous disons luvulu nabawo ?
Likolo ya braquage ya pouvoir na MBOKA Congo Kinshasa, tokomi capitale mondiale yaba fraudes électorales, yaba fraudes douanières, yaba fraudes fiscales, yaba fraudes foncières, yaba fraudes ya kilikili yango bomoni documents officiels ata moko té ya MBOKA Congo Kinshasa ba MBOKA libanda bazwaka yango na valeur, tala tina lelo tokomi risée ya communauté internationale mobimba, mawa partout tokokende tozali mal compris parfois incompris pamba té tozangi esika yako telema !
Tosila soni !
Tokoti na zone ya turbulence ya monene na mikolo mizali koya tozala vigilants BAYIMBOKA MBOKA ezali kotambola malamu té.
La risée de la communauté internationale occidentale est devenue la RDC Congo Kinshasa notre pays terrain d'agression à grande échelle des troupes étrangères et des groupes armés étrangers et nationaux, il se prépare un grand affrontement militaire à grande échelle avec toutes les troupes armées étrangères qui viennent soit disant aider le Congo Kinshasa et le peuple congolais zaïrois d'origine, rien du tout, tous les scénarios possibles et plausibles sont prévus notamment des coups d'état à venir, d'autres vont manquer d'autres vont secoués le pays afin de créer des instabilités politiques, sanitaires, humanitaires, écologiques, environnementales. Confère au scénario du Soudan voisin en proie à une instabilité et déstabilisation à grande échelle. Soyons vigilants peuple congolais zaïrois d'origine ! Zibula menso inene lokola jumelles !!!!
Je vois un autre combat qui s'annonce venir dans notre pays d'origine ainsi que dans notre diaspora congolaise zaïroise d'origine, c'est le combat de la detribalisation du pays et de notre communauté congolaise zaïroise d'origine de partout le monde entier, arrêtons de faire semblant et l'hypocrisie de faire le jeux de nos balkanisateurs c'est à dire de ceux et celles qui veulent que nous perennisons le vivre dans le cadre de la conférence de Berlin de 1885. Nous devons continuer à créer l'union des patriotes congolais zaïrois d'origine vivant au delà de la tribalité, de l'ethnicité, de tribu. C'est un combat de tous les jours, veuillons y et pratiquons ce que Patrice Emery Lumumba prônait toujours à savoir : Car cette indépendance du Congo, si elle est proclamée aujourd’hui dans l’entente avec la Belgique, pays ami avec qui nous traitons d’égal à égal, nul congolais digne de ce nom ne pourra jamais oublier cependant que c’est par la lutte qu’elle a été conquise, une lutte de tous les jours, une lutte ardente et idéaliste, une lutte dans laquelle nous n’avons ménagé ni nos forces, ni nos privations, ni nos souffrances, ni notre sang.
Cette lutte, qui fut de larmes, de feu et de sang, nous en sommes fiers jusqu’au plus profond de nous-mêmes, car ce fut une lutte noble et juste, une lutte indispensable pour mettre fin à l’humiliant esclavage qui nous était imposé par la force. Ce que fut notre sort en 80 ans de régime colonialiste, nos blessures sont trop fraîches et trop douloureuses encore pour que nous puissions les chasser de notre mémoire. Nous avons connu le travail harassant, exigé en échange de salaires qui ne nous permettaient ni de manger, ni de nous vêtir ou de nous loger décemment, ni d’élever nos enfants comme des êtres chers.
Nous avons connu les ironies, les insultes, les coups que nous devions subir matin, midi et soir, parce que nous étions nègres. Qui oubliera qu’à un noir on disait « tu », non certes comme à un ami, mais parce que le « vous » honorable était réservé aux seuls Blancs ?
Nous avons connu que nos terres furent spoliées au nom de textes prétendument légaux qui ne faisaient que reconnaître le droit du plus fort. Nous avons connu que la loi n’était jamais la même selon qu’il s’agissait d’un Blanc ou d’un Noir : accommodante pour les uns, cruelle et inhumaine pour les autres. Nous avons connu les souffrances atroces des relégués pour opinions politiques ou croyances religieuses ; exilés dans leur propre patrie, leur sort était vraiment pire que la mort elle-même.
Nous avons connu qu’il y avait dans les villes des maisons magnifiques pour les blancs et des paillottes croulantes pour les Noirs, qu’n Noir n’était admis ni dans les cinémas, ni dans les restaurants, ni dans les magasins dits européens ; qu’un Noir voyageait à même la coque des péniches, aux pieds du blanc dans sa cabine de luxe.
Qui oubliera enfin les fusillades où périrent tant de nos frères, les cachots où furent brutalement jetés ceux qui ne voulaient plus se soumettre au régime d’une justice d’oppression et d’exploitation ?
La tribalisation des institutions du Congo Kinshasa n'a servit que des prétextes pour le pouvoir en place rempli des balubas pour faire asseoir un véritable plan de création d'un état ethnique dirigé des mains des maitres par la tribu luba aux fins de dominer, de dicter, de commander si pas de tenter d'esclavagiser le reste des tribus du pays par Felix tshilombo et sa bande des frappeurs, trouvant l'opportunité de se servie du pays et de ses attributs comme bannière et gisements des minerais d’implémenter leur politique de la création en bonne et due forme de la république ou des états unis du kassai dont Kinshasa et Lubumbashi vont servir des villes pôles pour réaliser leur projet.
Au fait, la mascarade de l'organisation des élections présidentielles du 20 décembre 2023 était déjà porteuse des germains de balkanisation, de division, d'implosion, d'émiettement, de dislocation à grande échelle car la préfabrication des résultats finaux de ces élections générales ont voulu juste chercher à faire avaler à l'opinion occidentale et internationale que la diaspora congolaise zaïroise d'origine a voté massivement la candidature de felix tshilombo en d'être reconduit à la présidence du pays et que les ressortissants congolais vivant au pays n'ont rien compris de leur revirement àpres le vote du 20 décembre 2023 dernier.
À travers maponami oyo ya lokuta pe ya façade ya Denis kadima alias kadiata, udps parti yaba luba balingi kaka ba tribaliser ba institutions nyonso ya MBOKA pona ba dirigeants tope bakambi nyonso oyo bakozala proclamer ezala kaka balubas naba lubas c'est à dire balingi ba créer pe ba faire asseoir république yaba lubas. Mais on ne va pas se laisser faire ni malmener par le tribalisme des balubas mais nous allons tout simplement libérer tout le pays de fond en comble sous l'emprise des balubas oyo ya udps un parti politique rempli des frappeurs, des voleurs, des detourneurs, des inconscient qui veulent brûler et balkaniser notre beau pays. À travers maponami oyo ya lokuta pe ya façade balingi babimisa diaspora congolaise zaïroise d'origine nyonso neti bakoma ba auteure ya balkanisation ya MBOKA na biso yango tolobi luvulu nabawo bakokoka kokabola biso té même ata ba frauder bala kama tope tukusambo na sambo bakolonga vérité té. Batika maseki naba blague ya tshanana. À travers maponami oyo ya lokuta pe ya façade ya Denis kadima alias kadiata udps parti yaba luba balingi babimisa majorité parlementaire sénatoriale rempli des balubas, ezali danger munene pona république car eloko oyo maréchal Mobutu sese seko kuku ngwendu wazabanga atikelaki biso uta kala oyo to garda yango cher ezali cohésion nationale yako lingana biso na biso nyonso bikolo nyonso, ba ethnies nyonso, ba tribu nyonso tozala bomoko liboke oyo ya tata bo moko, maman bo moko, ekolo bo moko, mayi bo moko, monoko bo moko, alors maponami oyo tozali na tina nango té, toboyi makambu ya tribalisme, ya népotisme na MBOKA na biso !
Aujourd'hui, les mêmes crimes et atrocités se perpétuent depuis la déportation des noirs en Amérique, l'extermination des indiens d'Amérique, crimes horribles de la 2ème guerre mondiale. Nous constatons toujours que ce sont les mêmes qui sont animés de cet esprit pour détruire. Depuis plus de 600 ans, les occidentaux ont l'art du crime, de l'extermination des peuples, du pillage des ressources naturelles, de l'esclavage, pour leur enrichissement, l'art de la domination des peuples : On le voit en Afghanistan, en Irak, en Libye etc... La destruction de millions d'hommes et de femmes africains lors de la traite des noirs et la négation de leur humanité accompagnée de l'institutionnalisation de la barbarie, n'est jamais entrée dans la mémoire occidentale. Leur complexe de supériorité les ont poussé à détruire les populations, les déposséder de leurs terres, les exterminer et par la suite ils se revêtent de remords et reviennent en pompier avant d'avoir été pyromane, quelle dichotomie !! Les crimes du roi Léopold II de Belgique nous en disent long, les crimes des conquistadors espagnols, le massacre des aborigènes en Australie par les Anglais; tous ces crimes sont demeurés impunis. A ce jour, ils continuent de les perpétrer au Congo. Il n'y a rien de nouveau sous le soleil !! Les impérialistes tuent, pillent, violent, exterminent et personne ne dit mot : c'est le silence total, il ne faut pas en parler. Durant la seconde guerre mondiale l'occident s'était rallié à la France pour combattre les nazis, arrêter l'holocauste ; pourquoi maintenant ce même Occident fait pire que les nazis en RDC ??? Peuple Congolais, ouvrez les yeux et, pour mettre fin à ce génocide, à la balkanisation de notre pays et dénoncez-les aux autres peuples du monde et à vos enfants quelques soient leurs âges et dites leurs que ce que font les Anglo-saxons au Congo par l'intermédiaire du Rwanda, l'Ouganda, le Burundi avec les bandes créées de toutes pièces, ils sont en train de perpétuer les pratiques éhontées du Ku Klux Klan et de la Loi de Lynch pratiquée au 19e Siècle aux Etats-Unis, ou les blancs s'autoriser de pendre les noirs tout simplement parce qu'ils étaient noirs ? Nous ne le dirons jamais assez, nous le répétons encore : Plus Jamais ça !!! Nous exigeons le Nuremberg pour le Congo : le Tribunal pour tous les crimes perpétrés en RDC et crier comme les autres : " Plus Jamais ça !!" Trop c'est trop, il est temps que les congolais se lèvent, dressent leur front longtemps courbé et cessent la collaboration avec l'ennemi qui massacre, tue, vole, pille et détruit. Comme vous le voyez, les méthodes qu'utilisent actuellement les impérialistes américains et britanniques ne diffèrent en rien avec les méthodes nazis : en 16 ans, le bilan est de plus 8 millions de morts ceci en vue de dépeupler cette région et d'y installer les populations tutsi-rwandaises pour faire de cette province une républiquette.
Kinshasa propose à Washington un accord sur les minerais en échange d’une aide militaire
C'est de l'esclavagisme moderne et la pérennisation du colonialisme tout simplement.
Le Conseil de sécurité a été créé par les vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale. Le monde a changé, mais la composition du Conseil n'a pas suivi. Nous ne pouvons accepter qu'il n'y ait pas de membres permanents africains qui y soient représentés. Antonio gouterez secrétaire général de l'ONU.
Je peux ajouter ceci :
Vous ne pouvez pas obtenir la justice des Nations Unies, les Nations Unies ont été créées et sont toujours contrôlées par d'anciens colonisateurs. L'Organisation des Nations Unies n'a jamais mis fin à la colonisation où que ce soit dans le monde depuis sa création, parce que l'Organisation des Nations Unies est dirigée et contrôlée par des colonisateurs. Cette organisation mafieuse au fait c'est elle qui favorise et véhicule cette propagande de colonisation et d'occupation perpétuelle des états du monde entier. Appelez à sa refonte ainsi qu'à sa réforme actuellement n'est pas un péché originel mais bien plus qu'une nécessité de l'équilibre mondiale.
N'attendez rien de spécial de la part de cette organisation mafieuse. Leur charte de l'impérialisme en dit vraiment long :
LA CHARTE DE L'IMPÉRIALISME ( PARTIE III)
VII. ACCORDS INTERNATIONAUX
Article 22
L’ONU est notre instrument, nous devons l’utiliser contre nos ennemis et les pays du tiers-monde pour protéger nos intérêts.
Article 23
Notre objectif est de déstabiliser et détruire les régimes qui nous sont hostiles et installer nos marionnettes sous la protection de nos militaires sous la couverture des mandats des forces de l’ONU.
Article 24
Les résolutions de l’ ONU sont des textes qui nous donnent le droit et les moyens de frapper, de tuer et de détruire les pays dont les dirigeants et les peuples qui refusent de se soumettre à nos injonctions sous la couverture des résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU.
Article 25
Notre devoir est de maintenir l’Afrique et d’autres pays du monde dans le sous-développement, la miser, la division, les guerres, le chaos pour bien les dominer, les exploiter et les piller a travers les Missions de Nations-Unies.
Article 26
Notre règle d’or est la liquidation physique des leaders et dirigeants nationalistes du tiers-monde.
Article 27
Les lois, les résolutions, les cours et tribunaux des Nations-Unies sont nos instruments de pression contre les dirigeants et les leaders des pays qui défendent les intérêts de leurs peuples.
Article 28
Les dirigeants des puissances Occidentales ne peuvent être poursuivis, arrêter ni incarcérer par les cours et tribunaux de l’ONU, même s’ils commettent des crimes de guerre, de génocide ou des crimes contre l’humanité.
Les vies humaines congolaises comptent et importent beaucoup pour nous et ce n'est pas vos accords bidons qui vont nous ramener des vies fauchées durant près de 25 ans de guerre et des conflits armés et d'occupation de tout genres. Très chers amies et amis et connaissances laisser placer les perspectives économiques avant l'avenir du pays et du peuple congolais est une abomination et une aberration totale. Les rwandais au travers des anglais saxons veulent nous vider de notre territoire d'origine ; voilà pourquoi nous nous posons des questions justes et fondamentales à savoir :Sera que le peuple africain dans son ensemble est -il condamné d'être déplacé ? Dépeuplé; déraciné pour le simple fait de répondre aux appétits gourmands lokoso des multinationales occidentales ? À perpétuité en vue de pérenniser leur domination ainsi que leurs ascendances sur les générations africaines présentes; futures et à venir ? Lisez virus yabotomboki libiki ya peuple congolais et impératif de la décolonisation économique mondiale ezali solution pratique.
Les 3 présidents actuels de l'Afrique de l'ouest à savoir assimi goita du Mali, Ibrahim Traoré du Burkina Faso et noel tchiani de Niger vont frapper très fort dans les jours qui viennent en décidant de rapatrier sur leurs territoires nationaux toutes les industries de transformation des matières premières utiles aux industries nucléaires occidentales, américaines, britanniques, isrealinnes c'est à dire que désormais toutes les matières premières vont Commencer à être traité et transformer sur place ce qui va créer plusieurs emplois d'abord ça c'est de 1 et de 2 beaucoup des jeunes africains ne vont plus commencer d'aller mourir dans la mer méditerranée pour rien, de 3 toutes les propriétés intellectuelles vont retrouver leurs auteurs et actrices principaux car les américains, britanniques, Israéliens ainsi que leurs alliés occidentaux Européens avaient volé tous les titres de propriétés et droits d'auteurs depuis des lustres en vue de leur enrichissement personnel d'abord au détriment des peuples autochtones africains et autres. Nous devons au jour d'aujourd'hui s'en rendre compte que quelque peu les africains ont été dupé et trompé dans beaucoup des domaines et la colonisation occidentale sanguinaire y a joué beaucoup pour les aliéner mentalement, il y a beaucoup des criminels intellectuels croyez-moi et c'est l'occident et son système capitaliste qui en sont responsables.
Si l'Afrique prend le contrôle de ses minerais, cela signifie pas d'électricité pour la France, pas d'uranium pour l'Amérique, pas de pétrole brut et de caoutchouc pour l'Europe – si l'Afrique prend le contrôle de ses ressources, la civilisation occidentale s'effondrera. Et j'ajouterai ceci si l'Afrique rapatrie immédiatement aujourd'hui toutes les grandes industries de transformation des matières premières utiles aux industries nucléaires occidentales et commence à les transformer sur place, beaucoup des paradigmes vont drastiquement changer pour du bon, l'immigration africaine, l'économie africaine va croître de manière exponentielle, croyez - moi, il faut que les dirigeants africains fantoches, marionnettes issus de parodie électorale ainsi que des fraudes électorales massives diarrhéiques arrêtent de jouer le jeu des balkanisateurs et des colons c'est à dire arrêtent d'être instrumentalisé par les occidentaux mais commencent à travailler réellement pour leurs pays et peuples respectifs.
Ce qui se cache derrière l'accord minerais contre la sécurité dans L'est du Congo Kinshasa n'est autre que la sous tutelle et la dépendance ainsi que la soumission totale telle des esclaves aux USA et à ses alliés occidentaux ainsi qu'à leurs desideratas de politique d'occupation et de colonisation du temps moderne;
Durant laconquête de l'Ouest, legouvernement fédéral des États-Unispoursuit une politique expansionniste et doit en théorie protéger les natifs qui en acceptent les principes, mais en pratique il perpétue l'ethnocide3, tarde parfois à découvrir et condamner les spoliations et les meurtres d'Amérindiens, pousse des tribus à un exil douloureux aux conséquences parfois tragiques (épisode de laPiste des Larmes), autant d'événements liés au phénomène génocidaire colonial mais qui ne peuvent pas être appelés « génocide » en raison du manque d'intention de détruire ces tribus29.
La question du génocide apparaît ailleurs. Le gouvernement de chaque nouvel État membre des États-Unis peut contester les vues du gouvernement fédéral, parfois jusqu'à nier les droits des Indiens, par racisme ou parce qu'il les croit destinés à une extinction naturelle : sans solution face aux tensions extrêmes engendrées par les politiques coloniales et, souvent, par l'afflux imprévu de chercheurs d'or, certains États oppriment plus ou moins sévèrement la population autochtone, organisent lenettoyage ethniqueou déclenchent desguerresdéséquilibrées3. LeTexass'est construit entre 1821 et 1845, date de sa première intégration dans l'Union, en alternant, avec les tribus locales, les bons rapports et les pires (expulsions, exterminations)30 ; ses autorités ont longtemps récompensé les scalps d'Indiens, plusieurs années après la réintégration dans l'Union en 1870. Dans leTerritoire du Dakota, lesSiouxqui résistaient à l'internement dans des réserves pouvaient être tués par des chasseurs de primes31. Plusieurs massacres imputables cette fois-ci à des militaires ou à des miliciens, comme àSand Creek(Territoire du Colorado, 1864) et àWounded Knee(Dakota du Sud, 1890), sont perçus par certains historiens comme des actes génocidaires isolés3.
Entre 1846 et 1849, la Californie est un territoire inorganisé pris auMexiqueet placé par les États-Unis sous l'autorité d'un gouverneur militaire. Des immigrants américains, étrangers aux pratiques économiques locales, s'installent en nombre et empiètent sur des terres indiennes. Après la découverte d'or se développe une forme de travail forcé dont les indigènes, bientôt submergés par laRuée vers l'or, sont les premières victimes. Les tensions sont vives et certains mineurs sont déterminés à venger dans le sang toute rébellion. En réaction au meurtre de deux Blancs par desPomoset desWapposqu'ils exploitaient près deClear Lakeen décembre 1849, des milices autoproclamées (vigilantes) et l'armée elle-même se livrent à des massacres sans discernement : les autorités ferment les yeux. La législation du nouvel État californien, qui vient de se doter d'une convention, prive rapidement les Indiens de nombreux droits, à tel point que le kidnapping d'enfants ou encore la séparation forcée des hommes et des femmes deviennent des actes courants presque impossibles à punir. Le mot « extermination » se lit dans la presse. Selon le premier gouverneur civilPeter Burnett, pionnier euro-américain hostile à la présence des Noirs et des Chinois en Californie,« uneguerre d'exterminationentre les races se poursuivra jusqu'à l'extinction de la race indienne32 ». Des opérations des milices anti-indiennes sont financées. Le gouvernement fédéral est impuissant. Des traités signés avec 119 tribus pour les rendre propriétaires de réserves censées les protéger sont rejetés par leCongrès, qui préfère en 1853 autoriser cinq petites « réserves militaires » au statut légal ambigu : les Amérindiens y sont toujours menacés de mort, par la faim et par les crimes racistes. Durant laguerre de Sécessionet les années qui suivent, des milliers de Californiens engagés dans l'armée poursuivent l'élimination de groupes d'Indiens hostiles ou supposés tels. Laguerre des Modocsde 1872-1873 est leur dernière grande campagne33,34.
On estime qu'environ 150 000 Amérindiens habitaient la Californie en 1846 (ils étaient probablement cinq fois plus à l'arrivée des Espagnols mais les maladies européennes les avaient décimés). Ils n'étaient plus que 30 000 en 1870 ; les recenseurs en enregistrent 16 277 en 188035. On dénombre au moins 10 000 morts violentes pendant cette période de trente ans. Un exemple souvent cité est la quasi-disparition desYukis : cette tribu, qui comptait entre 7 000 et 11 000 membres en 1850, vivait à Round Valley, une magnifique plaine qui représentait beaucoup aux yeux de ceschasseurs-cueilleurs. L'intrusion des Euro-Américains et de leur bétail cause de graves incidents qui, en 1856, obligent le gouvernement de Californie à isoler les indigènes dans le nord de leur vallée. Certains consentent, d'autres fuient et s'assimilent parfois à des tribus voisines. La faim oblige certains Yukis à retourner dans la vallée sur les propriétés de colons armés qui nient leur humanité et les haïssent. Tout s'enchaîne. Une longue série de meurtres, de viols, d'enlèvements, dans ou hors de la réserve où sévissent angoisse, famine et maladies, détruit la tribu, parfois sous les yeux de militaires et d'employés fédéraux passifs : on ne dénombre plus que 85 hommes et 215 femmes en 1864. Aujourd'hui, une centaine de Yukis vivent dans la nouvelle réserve indienne de Round Valley ; quelques locuteurs deyukisont encore vivants mais on peut considérer que cette langue est morte36,37.
Dans le cas des Indiens de Californie, de nombreux auteurs reconnaissent un génocide, et parfois un génocide d'État selon les définitions du terme les plus répandues. Plusieurs livres ont été écrits sur le sujet, tels queGenocide and Vendetta: The Indian Wars of Northern Californiapar Lynwood Carranco et Estle Beard,Murder State: California's Native American Genocide, 1846-1873par Brendan C. Lindsay, et surtoutAn American Genocide: The United States and the California Indian Catastrophe, 1846-1873par Benjamin Madley, ouvrage volumineux paru en 2016, pris très au sérieux par l'État de Californie. Dans un article33où il mentionne les premiers comptes rendus favorables de plusieurs universitaires, Madley résume sa thèse : en installant ou en entretenant les conditions des violences, des fonctionnaires et élus californiens furent« les principaux architectes »d'une« machine à tuer »dont la marche funeste fut ensuite facilitée au niveau fédéral ; la volonté d'exterminer des groupes entiers et pas seulement des combattants est manifeste à maints endroits ; les cinq actes de génocide listés dans la définition juridique internationale (le meurtre, l'atteinte à l'intégrité physique ou psychique, la soumission à des conditions d'existence destructrices, l'entrave des naissances, le transfert forcé d'enfants) sont tous repérables. L'historienAlan Taylora cependant rédigé une critique où il estime que l'étiquette « génocide », trop appuyée sur une définition juridique récente et convoquant une comparaison avec les génocides duXXe siècle, masque le caractère décentralisé et populiste des crimes californiens : les enlèvements de femmes et d'enfants, les meurtres, massifs, rapides, complets,« presque génocidaires dans leurs conséquences », ne sont toutefois pas imputables à une machine à tuer étatique mais à une pluralité d'acteurs racistes, parfois financés et encouragés, certes, mais aussi parfois contestés et entravés par des autorités faibles et divisées sur leurs objectifs38.
À la fin des années 1640, grâce aux armes à feu qu'ils se sont procurées, lesIroquoislancent desraids meurtrierscontre lesHurons, leurs rivaux dans le commerce des fourrures avec les Européens, et font de nombreux captifs et esclaves. En mars 1649, le massacre cruel et impitoyable des habitants de Taenhatentaron, village où s'est établie lamission jésuiteSaint-Ignace, précipite la dispersion des Hurons et la fin de leur confédération39,40. Tout en recommandant un emploi extrêmement prudent et parcimonieux du mot « génocide », l'ethno-historienJames Axtell(en)note que la destruction des Hurons ressemble au précédentmassacre des Pequotsdans la méthode et le résultat : c'est une tentative d'annihilation d'une tribu, mais cette fois-ci opérée par d'autres Amérindiens41.
Les autorités coloniales françaises, qui s'efforcent de garantir des rapports commerciaux pacifiques entre Français et Amérindiens, sont pourtant responsables, au début des années 1730, de la destruction de deux tribus qui s'opposent violemment à leurs projets : lesNatchezduMississippiet lesMesquakies(Renards) duWisconsin. Ces campagnes d'extermination exceptionnelles enNouvelle-Francesont, encore une fois, à rapprocher du massacre des Pequots par les Anglais41. Larévolte des Natchez, matée radicalement par le gouverneur deLouisianeÉtienne de Perier, est probablement l'événement le plus connu, mais la dernière « guerre » contre les Renards, parfois qualifiée de génocide, a une particularité : le gouverneur généralCharles de La Boischefut informé, deux ans auparavant, que le roiLouis XVcroyait en la nécessité de détruire la nation des Renards ; peu après le principal massacre, il renvoya en France une lettre triomphante42.
Durant laconquête du DésertenArgentine, la campagne menée entre 1879 et 1881 par le généralJulio Argentino Rocaen vue de soumettre lesMapuchesqui vivent dans le sud du pays et refusent, parfois violemment, d'être assimilés, entraîne des abus haineux meurtriers de la part des militaires. Peu de chercheurs approuvent la revendication récente de certains Mapuches qui voient dans ces actes un génocide. Mais, par exemple, au sein de la théorie du génocide comme pratique sociale de Daniel Feierstein, la qualification de génocide se justifie même quand le but du crime est de constituer une grande nation à laquelle le groupe humain jadis visé pourra finalement appartenir43.
Extermination des Selknam : Dans les années 1880, des chercheurs d'or et des éleveurs de moutons européens colonisent laTerre de Feu. Le gouvernement colonial chilien — tout comme son homologue argentin — entend chasser lesSelknamsafin de « civiliser » le territoire, d'accorder des propriétés aux éleveurs. S'ensuit une période de violences et de déplacements forcés. Estimant que leurs biens sont menacés, ou parfois par simple jeu, des éleveurs engagent des mercenaires pour assassiner les indigènes, ils les tirent au fusil ou leur envoient des chiens dressés à tuer ; en 1896, ils sont assistés de six soldats envoyés à leur demande pour mater les rébellions. Un gouverneur local juge la méchanceté gratuite et les meurtres infondés et soutient l'initiative de missionnaires d'envoyer les Selknam à l'île de Dawson44. La population selknam, répartie à peu près équitablement en Chili et Argentine, passe de 3 500 ou 4 000 individus en 1880 à 500 en 1905. Les survivants, dans un premier temps concentrés dans des réserves et frappés par des maladies, s'éteignent au cours duXXe siècle45.« Extermination » est le terme souvent employé par les universitaires pour qualifier ces actions contre les Selknams, mais « génocide » est parfois rencontré[réf. nécessaire]étant donné que la responsabilité des autorités coloniales est grandeNote 8.
En1982et1983, la dictature du généralEfraín Ríos Monttintensifie laguerre civile guatémaltèque : armée et milices, qui recrutent parmi toutes les ethnies du pays et enrôlent donc des indigènes, rasent des villages entiers et massacrent, souvent avec une cruauté extrême (démembrements, viols, enfants frappés à mort), les « ennemis intérieurs », des dizaines de milliers de civils majoritairementmayas, suspectés ou non de supporter la guérilla, mouvementinsurrectionnelmarxistequi recrute principalement parmi les Amérindiens et se livre à des massacres largement moins nombreux46,47.Dans leur ensemble, les crimes de Ríos Montt constituent aux yeux de nombreux observateurs un politicide davantage qu'un génocide : l'appartenance à une ethnie n'apparaît pas comme la principale raison des meurtres collectifs46. Mais un procès est intenté contre l'ancien dictateur, qui est condamné le, dans son propre pays, pour divers crimes dont le génocide de 1771 Mayasixils. Selon Reed Brody, conseiller juridique deHuman Rights Watch, les preuves montrent bien l'intention de détruire ces Ixils comme tels, et ces personnes précises (et peut-être d'autres) sont les victimes d'un génocide46. La décision du tribunal est cependant cassée par la Cour constitutionnelle du Guatemala pour vices de forme ; le procès reprend en 201548mais le décès de Ríos Montt en 2018 le laisse inachevé.
La violence des actes de génocide se prolonge dans le déni exprimé aux survivants. Le mal-être parfois mortifère de nombreux descendants de natifs, qui se restructurent autour des idées floues de génocide et d'holocauste, est analysé comme une séquelle d'événements honteux mal assimilés par les sociétés américaines49. L'insuffisante reconnaissance politique des injustices ducolonialismeet de l'ethnocidepoursuivi jusque dans l'ère post-coloniale entraîne, à partir des années 1970, un suremploi du terme « génocide » dans le discours des partisans de l'indigénismeet de l'indianité, et même un« envahissement de l’analyse scientifique par la mémoire », écrit l'américaniste Frédéric Dorel50.
La controverse dite du génocide indien ou amérindien, très vivante dans les années 1990 aux États-Unis, intéresse l'historiographietouchant, d'une part, ledépeuplement amérindien, et d'autre part le « phénomène meurtrier », processus qui amena à plusieurs reprises, dans toutes les Amériques, la population d'immigration et la population autochtone à se dresser l'une contre l'autre, jusqu'aux débordements génocidaires de soldats ou de gouvernants ayant perdu toute mesure. Même la thèse d'un génocide indien sur l'ensemble du continent, pourtant rejetée par l'essentiel des historiens et dénoncée pour ses possibles effets pervers, est susceptible de modifier les études dans tous ces domaines et de faire avancer ou reculer la reconnaissance des exterminations et autres crimes3.
D'où le mouvement de SAUVONS LE CONGO ET LES CONGOLAIS ZAIROIS D'ORIGINE :
Réveil FM International: « Sauvons le Congo » est-il un slogan ? Un mouvement ? Une conviction ? Ou une simple vision d’esprit ?
Archbishop Kutino Fernando: « Sauvons le Congo » est le tout à la fois. Un slogan de combat pour mobiliser, un mouvement qui réunit des centaines de milliers de Congolais et beaucoup de soutiens étrangers, une conviction de mon combat pour un Congo nouveau et une vision d’un Congo sauvé. C’est une grande vision pour la libération et la construction d’un nouveau Congo. Ce mouvement porte une vision pour notre société. Ici, je suis l’exemple de personnalités comme Dr Martin Luther King aux Etats-Unis d’Amérique et Monseigneur Desmond Tutu en Afrique du Sud.
En tant que fils du pays et Serviteur de Dieu, donc serviteur du peuple, j’ai le droit de chercher le bonheur de ce dernier maintenu injustement sous le joug des politiciens mal intentionnés, corrompus, criminels, pilleurs et mafieux. Notre pays a grandement besoin de Serviteurs de Dieu engagés comme Elie qui disait au Roi : « Pourquoi troubles-tu Israël ? », ou comme Jean – Baptiste qui reprochait au Roi ses mœurs immorales indignes pour un leader politique. Notre pays a aussi besoin des leaders comme Martin Luther King qui organisait de grandes manifestations politiques aux USA, ou encore comme Desmond Tutu qui s'est courageusement élevé contre la politique scandaleuse de l'apartheid en Afrique du sud. Certains Hommes de Dieu Congolais ne veulent pas jouer leur rôle de protecteur des faibles en ne remplissant que leur mission christologique de sauver les âmes. Mais les serviteurs de Dieu que j'ai cités avaient conscience que cette mission devait être dédoublée d'une autre, à savoir la mission prophétique qui consiste à surveiller, reprendre, censurer les injustices et dérapages provenant principalement des gouvernants ou dirigeants.
« Sauvons le Congo » est pour moi comme un grand engagement de ma vie. Tout m'a été proposé pour que j'arrête le mouvement « Sauvons Le Congo », à savoir : des sommes faramineuses d'argent, des villas de rêve, des habits de star, des voitures de luxe insolent, des documents de résidence perpétuelle dans l'espace Schengen, etc. Mais la voie de Dieu est la plus sûre. J’insiste sur le fait que mon combat s’inscrit dans la ligne droite de la voie tracée par notre Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, Lui qui a donné Sa Vie pour le bonheur intégral de l’homme ou de l’être humain.
« Sauvons le Congo » a pris sans cesse de l’importance avec les menaces graves de balkanisation du Congo, le pillage diabolique de ses ressources, la mort de plus de 8.000.000 de Congolais, le viol de plus de 1.000.000 de femmes, filles et enfants, la dispersion de plus de 4.600.000 de Congolais devenus des réfugiés abandonnés sur le sol de leurs ancêtres, le projet d’assassinat ciblé de tous les patriotes congolais et l’occupation étrangère. « Sauvons le Congo » est devenu un symbole fort aujourd’hui et un hymne de résistance de nous tous contre les agresseurs, les criminels et les pilleurs de la République Démocratique du Congo. Je suis très content que l’Eglise Catholique se mobilise dans ce sens. Il n’est pas un secret : Le Chrétien doit s’intéresser à la politique, apprendre à gouverner, à bien gérer la Cité ou la chose publique. La Bible nous recommande de rechercher le bien du pays dans lequel nous vivons, car notre bonheur en dépend (Jérémie 29 : 7).