Il est question ici très chers amis et connaissances internautes de domination et d'influences et d'instauration d'un paradigme empirique en occurrence ici de l'empire "Anglo-saxon" et on y place notamment le Royaume-Uni, les USA, le canada hormis le Québec, l'Australie et la nouvelle Zélande ainsi que leurs anciennes colonies respectives. Regardez comment est-ce-que le monde entier fonctionne au jour d'aujourd'hui à savoir que nous avons affaire à un ou des blocs des pays s'estimant être les grandes puissances mondiales d'où toutes les décisions doivent émanées en vue de l'ordre mondial, à savoir les blocs des anglais-saxon d'une part composé des britanniques, des asiatiques, des américains et des israélites utilisant et imposant le monde entier à parler leur langue l'anglais, à commercer en leur langue, à étudier en leur langue donc toutes transactions des devises doit pouvoir se faire en dollars américains, les blocs des francophones qui font pareil en imposant également leur monnaie qui est l'Euro, les blocs des allemands qui font également la même chose voulant contrôler à leur manière le monde en exerçant la même méthode, les blocs asiatiques de l'autre avec la chine en pompe de devenir la 1ere puissance économique mondiale avec leur langue la plus parlée au monde qui est le chinois, ajouter à ces lots les japonais, Corréens et autres, il y a également le bloc Russo qui veut également exercer les mêmes méthodes que les autres soi-disant puissances mondiales. D'où la théorie de l'empire global » considèrent les événements politico-économiques internationaux survenus depuis 1989 comme témoins de la transition de l'humanité vers un « empire global », qui dans un premier temps correspondrait à un ordre mondial polarisé autour d'une seule puissance : les États-Unis. Cette théorie est soutenue par le philosophe Francis Fukuyama et des plans géostratégiques ont été développés dans ce sens par le politologue Zbigniew Brzeziński, conseiller à la sécurité nationale du président américain Jimmy Carter. Pour maintenir leur hégémonie et devancer la prééminence de rivaux comme la Chine, la Russie ou le Japon, Brzezinski estime que les États-Unis devront s'allier avec l'Europe pour dominer l'Eurasie7 en cooptant ou en contrôlant ses élites8. Pour cela, les États-Unis ont besoin d'un partenaire européen, mais comme l'Europe est trop divisée, Brzezinski est partisan d'une coopération étroite entre les trois pays d'envergure mondiale d'Europe : le Royaume-Uni, la France et l'Allemagne9. La suprématie sur l'Eurasie est stratégique parce qu'elle contient les 3⁄4 des ressources naturelles en matière d'énergie et représente 60 % du PIB mondial7 et le contrôle de l'Asie centrale est un des principaux objectifs10. Par ailleurs, il explique qu'il n'est pas possible d'arriver à un consensus international, sauf dans le cas de la perception d'une menace extérieure directe et massive11, ce qui fait penser aux rhétoriques alarmistes telles que la guerre contre le terrorisme et le réchauffement climatique. Similaire avec ce que leurs envoyés spéciaux dans la région des grands lacs, notamment les rwandais et ougandais veulent réaliser comme suprématie afin d'instaurer l'empire Imatutsis a travers leur réunification dans la région des grands lacs, ajouter a cela la visée extérieure sur la main mise aux richesses du Kivu. L'empire global incarné par les Etats-Unis a aussi des sous-traitants notamment en Europe avec L'Israël et loin encore en Afrique avec le Rwanda et L'Ouganda qui sont là pour mener a bien leur politique des sapes d'extraction massive et illicite des minerais provenant du Congo-Kinshasa surtout en pole position et en ligne de mire en vue d'assurer le pillage a grande échelle des ressources du continent africain pour alimenter leur industrie nucléaire de fond en comble préservant ainsi leur domination hégémonique dans le monde. La "marque" occidentale souffre de ce que beaucoup considèrent comme une réponse "lente et aléatoire" des gouvernements occidentaux à l'épidémie de COVID-19. Alors que l'épicentre de la pandémie s'est déplacé de la Chine vers l'Europe et maintenant vers les États-Unis, la faiblesse des systèmes néolibéraux et néocoloniaux occidentaux est apparue.Alors que les pays africains ont commencé à annuler les vols en provenance d'anciens pays coloniaux et à mettre leurs citoyens en quarantaine, le mythe de l'invincibilité occidentale s'est effondré, avec son corollaire que seul le Sud est susceptible aux épidémies infectieuses. Voila pourquoi vous verrez dans presque toutes les résolutions votées au sein du conseil de sécurité de L'ONU concernant la crise multiforme au Congo Kinshasa, les USA et le Royaume-Uni ont toujours voté contre l'autodétermination du peuple congolais ainsi que son armement pour leurs intérêts d'abord, ca été toujours pareil depuis des lustres très chers amis; il suffit qu'on arrête les commanditaires, les responsables, les instigateurs, les criminels de la région des grands lacs nationaux comme étrangers; les USA et le Royaume-Uni se sont toujours abstenus de condamner mais préfèrent continuer de supporter et de sponsoriser les agresseurs des congolais zaïrois d'origine. Regardez par exemple les cas des generaux rwandais karenzi, kunda batware, jules mutebuzi, sulutani makenga, bosco tanganda pour ne citer que ceux-là, vous verrez qu'ils sont toujours relaxer à l'instar de Karenzi à Londres, c'est la femme de Tony blair qui l'a défendu à la cour suprême de justice de londrès en l'acquittant de tous les chefs d'accusions en son encontre après avoir payé une caution de 2 millions des dollars américains. Pareil pour les autres qui sont protégés par Paul Kagame à Kigali au Rwanda. C'est dans quel monde est-ce-que nous vivons où l'injustice perdure contre un seul et même peuple "le peuple congolais zaïrois d'origine". Bref L'ONU est devenue une organisation des mafieux qui prennent le monde entier en état d'otage perpétuel à travers son conseil de sécurité. Les états qui y siègent et qui ont le droit de veto jouent avec la vie des innocents. L'ONU est instrumentalisée par les USA et le Royaume-Uni afin de dominer sur les autres états du monde, comment est-ce que nous pouvons tolérer que c'est les USA qui fabriquent des coups d'état partout au monde et que l'on permette même d'avoir le siège de L'ONU chez eux à New-York et que la prison des tortures s'y trouve également "Guantanamo". Ce n'est pas possible de laisser cette organisation comme telle mais il faut reformer de fond en comble cette organisation et qu'elle puisse être plus représentative des peuples du monde et non des états voyous, bandits, gangsters etc...etc...
Nous ne supportons pas la guerre qui se passe en Ukraine mais nous disons simplement que l'hypocrisie des USA et des occidentaux ou européens doit cesser une fois pour toutes. Ils doivent cesser d'instrumentaliser L(ONU pour leurs fins mais pour le bien de l'humanité entière. Ils ont menti que Saddam Hussein possédait des armes nucléaires à destruction massive et ont envahit l'Irak et l'ont ruiné, ils ont menti que Kadhafi tué son propre peuple et l'ont attaqué, abattu comme un vulgaire bandit à cause de l'extraction frauduleuse du pétrole de la Lybie
mais aujourd'hui où est-ce-que nous en sommes ? Aucune institution internationale comme la Fifa, L'ONU, L'union européenne; les jeux olympiques et autres n'a pris des mesures d'éloignement ou de suspension des USA ou du Royaume-Uni de faire partie de ces organisations-là. Mais regardez ce qu'ils veulent faire contre la fédération de Russie et la chine purement l'arbitraire, donc c'est comme-ci la communauté internationale ne reflète que les USA et le Royaume-Uni, Israël et les autres pays occidentaux alors que c'est faux, nous disons non et non luvulu.
Vladimir Poutine est un expert en géopolitique moderne et il a tout compris comme enjeux de l'heure et il anticipe tout, c'est tout simplement magistral de sa part d'envahir l'Ukraine en ce moment précis.
Une autre leçon est à tirer ici durant cette crise russo-ukrainienne; c'est que l'ingérence légendaire des USA et du Royaume-Uni dans les affaires internes des autres pays du monde trouve ici sa plus grande place dans le chiquet international.
Moscou a-t-il interféré dans l'élection américaine ? Les chefs espions en sont convaincus et vont défendre leur point de vue jeudi matin lors d'une audition au Congrès pour exposer leurs preuves, face à un Donald Trump qui ne cesse de les désavouer publiquement.
Le président élu a lui apporté dans une série de tweets mercredi du crédit au site WikiLeaks et son fondateur Julian Assange, qui nient toute intervention de Moscou dans sa publication de courriels du parti démocrate et de proches d'Hillary Clinton.
Ce soutien à un homme largement vilipendé aux Etats-Unis pour avoir déjà publié en 2010 des télégrammes diplomatiques secrets volés, a provoqué un tollé y compris chez des élus républicains.
"Julian Assange a dit 'qu'un ado de 14 ans pouvait avoir piraté (John) Podesta' - alors pourquoi le parti démocrate a-t-il été si négligent? (Assange) a aussi dit que les Russes ne lui avaient pas transmis les informations", a écrit le futur président des Etats-Unis.
Les services américains de renseignement, mais aussi des entreprises privées de sécurité informatique a priori indépendantes, affirment que Moscou est à l'origine de fuites de courriels du parti démocrate et de John Podesta, le directeur de campagne de Hillary Clinton.
Le sénateur John McCain a d'ailleurs qualifié mercredi les piratages "d'acte de guerre".
Reste à savoir sur quels éléments se fonde l'administration sortante, qui n'a pour l'instant pas donné publiquement de preuves tangibles. Convaincue que la publication de ces courriels par WikiLeaks était destinée à favoriser Donald Trump, la Maison Blanche a déjà engagé de sévères sanctions contre deux services russes de renseignement et expulsé 35 diplomates russes, des agents de renseignement selon elle.
"Guerres stupides"
Barack Obama a commandé un rapport aux services de renseignement détaillant ce piratage présumé par la Russie et souhaite qu'il soit publié avant son départ. Mais des détails pourraient déjà émerger lors de l'audition de jeudi devant la commission de la Défense du Sénat.
Les élus interrogeront notamment le patron du renseignement américain (DNI) James Clapper, qui coordonne 17 agences, et le directeur de l'agence de sécurité nationale (NSA), Michael Rogers.
Donald Trump, qui sera de son côté briefé vendredi par de hauts responsables du renseignement, travaillerait de son côté à restructurer, voire à détricoter le DNI, considérant l'agence comme trop politisée, a écrit mercredi soir le Wall Street Journal, citant des sources proches du président élu.
La CIA est convaincue que ce sont les Russes qui ont donné les courriels à WikiLeaks. Mais Julian Assange, fervent détracteur d'Hillary Clinton - si elle avait été élue elle aurait selon lui "entraîné les Etats-Unis dans des guerres stupides" -, l'a toujours démenti.
L'équipe de M. Trump avait aussi rejeté les conclusions de la CIA, jugeant que les analystes qui y sont parvenus "sont les mêmes que ceux qui disaient que (l'ancien président irakien) Saddam Hussein disposait d'armes de destruction massive".
"Mouchard" de Moscou
Mais nombre d'élus y compris républicains ne semblaient pas partager l'avis de Donald Trump.
Pour l'homme fort du Congrès et chef de la majorité républicaine à la Chambre des représentants, Paul Ryan, Julian Assange "est un mouchard au service de la Russie". "Il fait fuiter, il vole des données, et met en danger la sécurité nationale".
Plusieurs membres de la commission de la Défense du Sénat se sont inquiétés de ce soutien implicite du futur président américain à Julian Assange.
"M. Assange est un fugitif selon la loi, réfugié dans une ambassade, qui a un passif de sape des intérêts américains. J'espère qu'aucun Américain ne se fera avoir par lui. On ne devrait lui accorder aucune crédibilité", a affirmé sur CNN le républicain Lindsey Graham.
Lorsque Donald Trump, qui a tenu des propos élogieux sur le chef du Kremlin et plaidé pour de meilleures relations avec lui, entrera à la Maison Blanche le 20 janvier, "nous serons moins en sécurité" car il est "pro-Poutine et croit davantage à Julian Assange qu'à la CIA", s'est de son côté alarmé l'ancien porte-parole de la CIA George Little (2007-2011).
Début octobre, le ministère de la Sécurité intérieure et la direction du renseignement (DNI) avaient conclu que la Russie avait piraté les comptes de personnalités et d'organisations politiques dans le but "d'interférer dans le processus électoral américain".
Le Washington Post avait ensuite révélé début décembre que, selon des conclusions de la CIA, des personnes liées à Moscou ont fourni à WikiLeaks des emails piratés sur les comptes de John Podesta et du parti démocrate.
Selon la CIA, Moscou aurait eu recours à des "intermédiaires".
Le New York Times avait affirmé pour sa part que Moscou avait aussi piraté le parti républicain mais n'avait publié que les informations concernant le parti démocrate.
Donald Trump a lui suggéré que le parti républicain était "protégé contre les piratages", contrairement au parti démocrate.
Cette crise Russo-ukrainienne est une opportunité pour les africains à s'au déterminer immédiatement;
Dans ce moment historique sans précédent, beaucoup craignent pour l'avenir. Les Africains aussi, mais s'ils traverseront certainement une période difficile, ils devraient voir cette crise comme une opportunité d'accélérer le processus de décolonialisation. Cela doit d'abord se produire sur le plan rhétorique. L'idée que l'Afrique est un continent de maladies et de décès doit être remise en question, surtout maintenant que l'Occident lui-même souffre de flambées épidémiques majeures et de morts alarmantes. Il s'agit d'une vision banale du continent, éclairée par des lentilles humanitaires coloniales, missionnaires et contraires à l'éthique qui réduisent un continent entier de 54 pays à une seule histoire malveillante ou ignorante. Certes, il existe des faiblesses indéniables dans de nombreux secteurs des États et économies africains, y compris les soins de santé, mais cela ne signifie pas qu'il n'y a pas d'infrastructure ou de services, pas de préparation, de résilience, de créativité, de connaissances locales ou d'innovation qui sont utilisées en temps normal et en temps de urgences. La crise du COVID-19 perturbe rapidement cette perspective coloniale selon laquelle les systèmes de santé en Afrique sont les seuls toujours submergés par les épidémies. COVID-19 a montré que les mesures d'austérité et le manque d'investissement partout dans le monde paralysent les systèmes de santé. À bien des égards, la pandémie offre aux peuples africains l'occasion de se voir différemment et au monde de considérer le continent africain comme un partenaire dans la recherche de solutions à des problèmes complexes tels que
COVID-19.Et les Africains se voient déjà différemment et défient facilement les vieux tropes fatigués au milieu de la pandémie. Mais les travaux sur la décolonialisation ne doivent pas se limiter à la rhétorique. Bien que cette nouvelle crise puisse être un autre moment difficile pour les peuples africains, une fois l'épidémie terminée, le continent aura la chance de devenir plus autonome et autonome, alors que l'Occident se concentre sur sa propre survie. Il aura l'occasion de se sevrer des relations néocoloniales d'exploitation. Ce sera le moment de jeter les bases de réformes économiques qui privilégient les marchés africains, l'innovation et la fabrication locale et mettent fin à la «malédiction des ressources». Une refonte majeure est nécessaire à travers le continent pour permettre aux économies en transition de s'appuyer sur l'extraction et la vente de matières premières à l'Ouest (et à l'Est - c'est-à-dire la Chine), et à développer des industries locales qui utilisent les ressources locales et les transforment en valeur ajoutée produits pour l'exportation. Cela devrait se produire parallèlement à la renégociation de divers accords commerciaux avec des entités étrangères, qui visent à extraire les ressources africaines et à rendre les marchés africains dépendants des importations étrangères. Parallèlement, d'autres accords commerciaux à l'intérieur et à l'extérieur du continent devraient être accélérés. Par exemple, ce sera le moment idéal pour commencer à mettre en œuvre les accords de la zone de libre-échange de l'Afrique (ZLECA), une idée d'abord proposée par les dirigeants panafricanistes qui rêvaient d'un continent qui ferait d'abord du commerce à l'intérieur de ses propres frontières et ne donnerait pas la priorité à son ancienne pays coloniaux. Un commerce continental renforcé permettra à l'Union africaine ou aux blocs régionaux africains d'affirmer leur action à l'échelle mondiale. Ce sera également le meilleur moment pour commencer à réprimer la fuite des capitaux et l'évasion fiscale des monopoles locaux et des sociétés étrangères qui volent chaque année aux sociétés africaines des milliards de dollars. Si elle est correctement mise en œuvre, la fiscalité et le rapatriement des gains illicites peuvent fournir le financement nécessaire à la refonte économique à travers le continent. Ce processus doit aller de pair avec l'arrêt de la dépendance de l'Afrique à l'égard des prêts étrangers pour le "développement", qui ont forcé les gouvernements à l'austérité pendant des décennies, ainsi qu'à l'aide et à la charité, qui ont freiné les efforts locaux pour développer les services sociaux. Le financement étranger devrait être progressivement remplacé par un financement national provenant de la fiscalité, du rapatriement des fonds et de nouvelles exportations de plus grande valeur. Cela signifiera également que les pays africains devront cesser d'importer des "sauveurs" étrangers pour aider à résoudre les problèmes africains. Le continent a suffisamment de talents locaux et d'experts formés à la maison et dans la diaspora pour relever les défis dans une variété de domaines et ils le feraient mieux que les étrangers, car contrairement à eux, ils connaissent en fait très bien le contexte et les spécificités locales. Cela permettrait aux pays africains non seulement d'utiliser l'expertise locale mais aussi de la développer et éventuellement de l'exporter. En ce sens, il est important d'ouvrir la coopération intra-africaine, notamment dans le contexte de la pandémie actuelle. Les pays d'Afrique de l'Ouest ont acquis des connaissances importantes sur la lutte contre les épidémies d'Ebola qui peuvent aider d'autres sur le continent à améliorer leurs réponses nationales au COVID-19.Avec une refonte économique et une concentration sur les talents locaux, les pays africains peuvent alors procéder au développement de leur secteur social. L'amélioration des soins de santé devrait être une priorité absolue, de même que la croissance stimulée des industries pharmaceutiques locales et de la biotechnologie. Tout comme les gouvernements occidentaux réalisent maintenant l'erreur qu'ils ont commise en externalisant la production de tout en Chine - des masques aux respirateurs - les gouvernements africains devraient également s'assurer que leurs nations sont autosuffisantes dans les industries clés essentielles à la sécurité nationale, à la sécurité et à la santé. L'éducation et l'innovation devraient également figurer en tête de l'agenda. Les gouvernements africains devraient accroître les investissements dans le secteur de l'éducation et continuer d'étendre les initiatives d'innovation qui ont vu le jour à travers le continent. Tout cela fait partie d'un processus de décolonialisation qui se fait attendre depuis longtemps. En fait, le peuple africain est prêt depuis longtemps à s'y engager, mais il attend ses élites politiques en retard. Mais peut-être que maintenant que les hôpitaux occidentaux ne sont plus en mesure d'accueillir et de traiter les dirigeants africains et que leurs actifs cachés dans les banques occidentales peuvent être menacés dans le contexte du ralentissement mondial, ils peuvent enfin enfin participer. En effet, il y a déjà quelques signes positifs. Nous avons récemment vu l'Union africaine mobiliser des ressources pour faire face à COVID-19. Les dirigeants africains parlent d'une seule voix et, lors d'une récente téléconférence, ont exprimé le besoin d'être unis pour trouver des solutions à la pandémie. De telles initiatives sont encourageantes dans une crise qui a vu de nombreux pays occidentaux réagir égoïstement et refuser la coopération avec d'autres. Nous vivons un moment historique qui pourrait engendrer chez les Africains un sentiment de réveil et d'affirmation qui pourrait nous guider à travers le voyage difficile que nos ancêtres ont commencé au XXe siècle. En effet, la décolonisation pourrait bien être accélérée en raison de la menace d'un agent pathogène.
Quid de l’aide américaine ?
Pour l’Ukraine, une condition clé pour donner accès à ses ressources à ses alliés est d’obtenir des garanties de sécurité, devant dissuader la Russie de toute nouvelle invasion après un éventuel accord de cessation des hostilités.
À ce stade, le texte de l’accord sur les minerais comporterait une référence à la sécurité de l’Ukraine, mais pas de garanties concrètes.
Volodymyr Zelensky a par ailleurs dit mercredi vouloir demander à son homologue américain s’il comptait vraiment « arrêter » l’assistance à l’Ukraine.
« Ma question sera très directe : les États-Unis vont-ils arrêter le soutien ou pas ? Allons-nous pouvoir acheter des armes [aux États-Unis], si ce n’est plus de l’aide ? » a-t-il déclaré devant les journalistes.
L’Ukraine a pu résister pendant trois ans aux forces russes, plus nombreuses et mieux armées, grâce à la résilience de ses troupes et de sa population, mais aussi et surtout grâce au soutien militaire et économique occidental, les États-Unis en tête, ce qui a longtemps provoqué la colère de Moscou.
Mais depuis son appel à Vladimir Poutine le 12 février, Donald Trump a renversé les rapports de force, s’alignant sur le Kremlin concernant le dossier ukrainien.
Russes et Américains ont promis de poursuivre leurs discussions en vue de remettre à plat leurs relations bilatérales et des diplomates des deux pays se retrouveront jeudi à Istanbul, d’après le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov.
Pris par surprise par cette séquence d’événements en leur défaveur, Européens et Ukrainiens sont pour le moment relégués au rang de spectateurs.
Le président français, Emmanuel Macron — qui était à Washington lundi —, et le premier ministre britannique, Keir Starmer — attendu jeudi sur place —, cherchent pour leur part à convaincre Donald Trump qu’un accord global pour « une paix durable » en Ukraine ne pourra être trouvé qu’avec leur participation et celle des autorités ukrainiennes.
La première ministre italienne, Giorgia Meloni, a à cet égard réclamé mercredi que des « garanties de sécurité » soient données à Kiev « dans le cadre de l’OTAN » afin de parvenir à une paix « juste ».
Pour tenter de se coordonner et débreffer la rencontre Macron-Trump de lundi, les dirigeants des 27 États membres de l’UE se réunissaient dans la journée en visioconférence.
Journaliste tuée
En attendant d’éventuelles avancées sur le front diplomatique, les forces russes, comme tous les jours depuis trois ans, ont bombardé mercredi les villes et les villages d’Ukraine, faisant au moins sept morts, selon les autorités, dont cinq dans la région de Donetsk et une journaliste ukrainienne de l’agence de presse publique Ukrinform, Tetiana Koulyk.
Sa maison dans le district de Boutcha, près de Kiev, a été touchée par un drone russe dans la nuit de mardi à mercredi, d’après Ukrinform. Un autre corps a été trouvé sur place.
L’armée ukrainienne a pour sa part revendiqué une contre-offensive réussie près de Pokrovsk, une ville de l’est de l’Ukraine que les troupes russes tentent de conquérir, et aux abords d’une autoroute clé desservant la grande cité de Dnipro, dans le centre.
Ce que l’on sait de l’accord
Voici ce que l’on sait de cet accord, qui pourrait être signé vendredi à Washington.
Un fonds commun
Le président américain avait dit vouloir une compensation de l’aide versée depuis trois ans par son pays, chiffrant le montant dû par Kiev à 500 milliards de dollars, soit environ quatre fois plus que l’assistance fournie jusqu’ici, quelque 120 milliards de dollars, selon l’Institut de Kiel pour l’économie mondiale (IfW Kiel).
Le chef de l’État ukrainien avait rejeté une première version de cet accord, refusant de signer un texte que « dix générations d’Ukrainiens » devraient payer.
Cette somme a fini par disparaître du contrat, selon une source à Kiev interrogée mardi par l’AFP.
Volodymyr Zelensky a quant à lui expliqué mercredi que les revenus issus de l’exploitation des minerais dans le cadre de l’accord seraient déposés dans un fonds commun américano-ukrainien.
Le montant final n’a pas été évoqué par le président Zelensky, qui affirme que Kiev et Washington « pourront parler des garanties de sécurité et des montants précis » dans un accord détaillé, qui suivra un premier « accord-cadre ».
Flou sur la sécurité
Du point de vue de l’Ukraine, une condition clé pour donner accès à ses ressources à ses alliés est d’obtenir des garanties de sécurité devant dissuader la Russie de toute nouvelle invasion après un éventuel accord de cessation des hostilités.
M. Zelensky avait évoqué la possibilité d’un tel échange, richesses contre garanties de sécurité, dès octobre, lorsqu’il avait présenté les grandes lignes de son « plan pour la victoire ».
Il espère donc se rendre à Washington vendredi pour déterminer si le président Trump compte « arrêter » ou non l’aide à son pays.
L’Ukraine estime que la meilleure garantie serait une accession à l’OTAN, un scénario rejeté par Washington car cela rendrait toute trêve ou toute paix impossible, Moscou y voyant une ligne rouge.
Autre demande ukrainienne : des soldats de maintien de la paix, en cas de cessez-le-feu. Mais les États-Unis ont rejeté cette option, tout en étant favorables à un déploiement d’Européens.
Au final, l’accord sur les minerais comporterait une référence à la sécurité de l’Ukraine, mais pas de garanties concrètes.
« Le gouvernement des États-Unis soutient les efforts de l’Ukraine pour obtenir les garanties de sécurité nécessaires à l’instauration d’une paix durable », peut-on lire dans un texte relayé par des médias ukrainiens mercredi et présenté comme les termes du contrat américano-ukrainien.
« Il s’agit d’une clause générale qui dit que l’Amérique investira dans une Ukraine souveraine, stable et prospère, qu’elle travaille pour une paix durable et que l’Amérique soutient les efforts en vue de garanties de sécurité », a expliqué à l’AFP un haut responsable ukrainien. Des discussions sont encore en cours sur ce point, selon lui.
Quels gisements, quels minerais ?
L’Ukraine concentrerait quelque 5 % des ressources minières mondiales, mais celles que Donald Trump convoite sont pour la plupart inexploitées, difficiles à extraire, ou de facto sous contrôle russe, car dans des territoires occupés.
L’Ukraine dispose notamment de trois minerais stratégiques : le manganèse (8e producteur mondial selon World Mining Data), le titane (11e) et le graphite (14e), indispensable aux batteries électriques.
De ce dernier minerai, l’Ukraine concentre « 20 % des ressources mondiales estimées », note le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) de France.
Cette nation est également, selon cette source, « un des principaux pays d’Europe en matière de potentiel » d’exploitation du lithium, également incontournable pour les batteries.
L’Ukraine assure avoir « parmi les plus vastes ressources » de lithium en Europe, mais, selon le gouvernement, rien n’est extrait « à ce jour ».
Exploiter ces gisements implique des investissements considérables.
De l’aveu même du gouvernement ukrainien, l’exploitation du dépôt de Novopoltavske, dans la région de Zaporijjia, requerrait à lui seul 300 millions de dollars d’investissement.
Or, ce site, qui contiendrait apatite, tantale, niobium, strontium, terres rares ou encore de l’uranium, est dans une région occupée par l’armée russe.
Et le Kremlin a exclu de céder les zones sous son contrôle. Vladimir Poutine a, en revanche, dit être favorable à des investissements américains dans ces territoires occupés.
Autre exemple, le gisement de Chevtchenkivske (minerais de lithium, de tantale, de niobium, de béryllium notamment) est à moins de 10 kilomètres du front, dans un secteur, celui de Pokrovsk, menacé par les avancées de l’armée russe.
Il y a une guerre en gestation qui se trame aux USA, en Europe entre leurs différentes élites et intellectuels qui verra le statut d'immigrés, d'immigrants et des migrants et des réfugiés stigmatisé de fond en comble dans le sens où l'on voudrait au fait continuer à voler et à détourner l'argent des contribuables américains, britanniques, européens à des fins des guerres en Ukraine et c'est leur narratif actuel tout notre argent




est dévié et détourné par nos gouvernants actuels afin de justifier la guerre d'invasion de l'Ukraine par la fédération de Russie de Vladimir Poutine. C'est un grand mensonge médiatique que leurs différents médias occidentaux, Européens, américains, britanniques, Israéliens essaient de relayer un peu partout à travers le monde entier pour faire accréditer l'effort de guerre en Ukraine alors que c'est faux et archi faux, Rien de tels tout est prémédité pour faire ressurgir la crise migratoire mondiale, regarder ce qui se passe en Italie, au Royaume-Uni, en France, en Allemagne, en Belgique et ailleurs en Europe notamment les migrants qui devaient prendre des bus de chez Victor Orban jusqu'à Bruxelles en Belgique, pourquoi cet engouement de refus catégorique d'accueillir ces demandeurs d'asile ?

La Hongrie, qui rejette le pacte pour les migrations de l'UE et qui a déjà été condamnée à des amendes pour non respect des règles migratoires, a déclaré, par le biais du chef de cabinet de Viktor Orbán, que « nous offrirons la possibilité à tous les clandestins à la frontière hongroise la possibilité d'être transportés à Bruxelles sans aucun frais. Si Bruxelles veut des migrants, ils vont en avoir. »
Le Parlement européen fait sa rentrée en séance plénière dans l’hémicycle de Strasbourg, avec une actualité très intense sur les questions migratoires, marquées par des drames humains. Dernièrement, dans la Manche, au large des côtes françaises, huit personnes sont décédées en tentant de rallier la Grande-Bretagne. L’Allemagne, qui a longtemps été un grand défenseur de la liberté de circulation à l’intérieur de l’espace Schengen, vient de réintroduire des contrôles à toutes ses frontières. Cette décision, prise par le gouvernement social-démocrate d’un Olaf Scholz fragilisé par des attentats terroristes et la montée de l'extrême droite, génère du mécontentement parmi ses huit pays voisins, comme la Pologne du libéral Donald Tusk. La nouvelle Commission européenne présentée par Ursula von der Leyen cette semaine et très à droite politiquement, met d'ailleurs l’accent sur les questions migratoires, avec la création d’un portefeuille de Commissaire à la Méditerranée, en plus de celui dédié à la Migration, ce qui laisse entrevoir la multiplication d’accords bilatéraux avec des pays tiers du Sud pour créer des centres de rétention des migrants hors de l’Union européenne.
DES MIGRANTS EVACUES DE LA JUNGLE DE CALAIS VERS DES PRISONS EN MINIATURES SOUS FORME DES CONTENEURS. EN EFFET LES AUTORITES FRANCAISES Y VOIENT COMME UNE AMELIORATION DES CONDITIONS DES VIES DES REFUGIES ALORS QUE LA LIGUE DES EMPECHEOLOGUES RDCONGOLAIS Y VOIENT COMME UNE VIOLATION EN CONTINUE DES DROITS DE L'HOMME CAR COMMENT-EST-CE QUE LES PERSONNES PEUVENT Y HABITER ALORS QU'IL N'Y A NI DOUCHE NI CUISINE OU CANTINE VOIRE MEME REFECTOIRE NI DISPANSAIRE EN VUE DE PALIER AUX BESOINS DES CES INFORTUNES QUI ONT FAIT LE RALLY DU MONDE ENTIER POUR SAUVER LEUR PEAU MAWA TROP ! NOUS LANCONS UN APPEL PATHETIQUE AUX AUTORITES FRANCAISES DE CONSTRUIRE PLUTOT UN CENTRE DE DETENTION ENORME A CALAIS EN HOMMAGE A CES HEROS DE LA TRAVERSEE PERIEUSE DE LA MEDITERRANEE PLUTOT QUE DE CONFINER CES PERSONNES DANS DES CONTENEURS COMME SI ELLES FAISAIENT PARTIE DES MARCHANDISES OU DES BIENS MEUBLES ETC...ETC... BARRONS LA ROUTE A CES PRATIQUES DE LA HONTE TROP CEST TROP EMPECHONS CA !!!!
A Portland au Royaume-Uni, le centre flottant pour migrants, promis par le gouvernement, devrait prochainement accueillir ses tous premiers "passagers".
La barge aurait dû entrer en service plus tôt, mais des travaux de mise en conformité contre les risques d'incendies ont retardé sa date d'ouverture.
Très controversé, ce lieux d'hébergement est censé accueillir temporairement environ 500 hommes célibataires, de 18 à 65 ans, afin d'alléger la pression sur le système d’asile britannique.
Ce centre flottant s'inscrit dans le cadre d'un durcissement sans précédent de la politique d'immigration au Royaume-Uni alors que près de 45 000 personnes ont traversé la Manche illégalement pour rejoindre la Grande-Bretagne l'an dernier.
La nouvelle loi britannique vise à décourager ces voyages et à empêcher les migrants de demander l'asile au Royaume-Uni s'ils arrivent illégalement. Les personnes prises en flagrant délit seront renvoyées dans leur pays d'origine ou expulsées vers un autre pays sûr, et il leur sera interdit de revenir au Royaume-Uni.
Le gouvernement prévoyait d'envoyer au Rwanda certaines des personnes arrivant sans autorisation, mais le mois dernier, la Cour d'appel a jugé que cette mesure était illégale. Le gouvernement a fait appel de cette décision devant la Cour suprême du Royaume-Uni.
Vous allez me donner raison dans les jours qui viennent. L'argent des contribuables britanniques détournés pour masquer les renvois des migrants déboutés de Londres vers le Rwanda n'est pas encore remboursé par Paul kagame président du Rwanda alors que les contribuables britanniques en ont besoin pour palier aux besoins de chaque jour, le coux de la vie a triplé si pas quadruplé, beaucoup des parents ne savent plus nouer les 2 bouts du mois car le taxcredits ainsi que les allocations familiales de leurs enfants ont été réduits et coupés pour certains et la situation est devenue intenable mais l'on oublie de justifier que cet argent est détourné afin de financer les guerres en Ukraine et dans la bande de Gaza en Palestine et personne ne veut en parler, c'est un silence coupable ormetra total que le journaliste d'investigation Camerounais Charles onana essaie de dénoncer mais en vain car plusieurs logyngs se sont coalisés pour le faire taire à jamais comme à Paris en France il va se tenir un procès contre sa personne de la part du gouvernement rwandais du génocidaire avéré Paul kagame président du Rwanda et comme par hasard la France est toujours Complice de toute cette mascarade de procès judiciaire.
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