LORS DES ELECTIONS GENERALES DE 2006 ET 2011 EN RDC, LA DIASPORA AVAIT PRIT UNE PART IMPORTANTE DANS LA MOBILISATION ET LA SENSIBILISATION DU PEUPLE CONGOLAIS RESIDANT AU CONGO DE POUVOIR ALLER VOTER LES FILS DU PAYS EN OCCURENCE ICI JEAN PIERRE MBEMBA EN 2006 ET LE PRESIDENT ELU ETIENNE TSHISEKEDI EN 2011 PAR DES MESSAGES, DES TEXTOS ET AUTRES MOYENS DE COMMUNICATION MAIS NOUS AVONS REMARQUE QUE LE POUVOIR USURPATEUR EN PLACE AVAIT TOUT SIMPLEMENT COUPE TOUS LES RESEAUX D'INTERNET ET DE COMMUNICATION NOTAMMENT FACEBOOK, TWITTER, LINKDEN, YOUTUBE ET AUTRE; VOILA POURQUOI J'EN APPEL A LA COMMUNAUTE TANT NATIONALE ET INTERNATIONALE DE METTRE DES PRESSIONS EXCESSIVES POUR VEILLER A LA SECURISATION DES TOUS LES MOYENS DE COMMUNICATION DANS L'ENSEMBLE DU TERRITOIRE NATIONAL POUR LA BONNE TENUE DES SCRUTINS DE 2016 A VENIR, AINSI QU'AU PEUPLE D'EXIGER LA MAINTENANCE DE TOUTES CES FACILITES, LA SURVIE DE LA NATION EN DEPEND. J'EN APPEL AU PEUPLE CONGOLAIS DE L'ENSEMBLE DU TERRITOIRE NATIONAL D'EXIGER LA REPRISE PURE ET SIMPLE DU RESEAU D'INTERNET ET AUTRE MOYENS DE TELECOMMUNICATIONS, C'EST UNE VIOLATION GRAVE ET FLAGRANTE DE L'ARTICLE 19 DE DROIT DE L'HOMME QUE DE PRIVER CE PEUPLE LONGTEMPS MEURTRI DES MOYENS LES PLUS ELEMENTAIRES DE COMMUNICATION COMME POUR DIRE AUSSI UNE VIOLATION GRAVE ET FLAGRANTE DE LA CONSTITUION EN VIGUEUR EN RDC DANS SON ARTICLE 24 QUI STIPULE CECI :" Article 24
Toute personne a droit à l'information.La liberté de presse, la liberté d'information et d'émission par la radio et la télévision, la presse écrite ou tout autre moyen de communication sont garanties sous réserve du respect de l'ordre public, des bonnes moeurs et des droits d'autrui.
La loi fixe les modalités d'exercice de ces libertés. Les médias audiovisuels et écrits d'Etat sont des services publics dont l'accès est garanti de
manière équitable à tous les courants politiques et sociaux. Le statut des médias d'Etat est établi par la loi qui garantit l'objectivité, l'impartialité et le pluralisme d'opinions dans le traitement et la diffusion de l'information".
Des opposants congolais se plaignent du bouchage de leurs numéros de téléphones depuis près d’un mois. Dans une interview qu’ils ont accordée mercredi 18 février à Radio Okapi, ils qualifient cet acte « d’une atteinte aux droits et libertés d’une catégorie de la population ». Selon eux, leurs numéros de téléphone ont été bouchés le 20 janvier dernier pendant les manifestations contre la loi électorale.
« Je trouve que c’est une orientation malheureuse dans notre pays que de recourir à ces types de mesures de restriction. Ce qui est fait est intervenu quand on a interrompu le service SMS et l’Internet. Ça saute aux yeux qu’il y a une volonté de nuire les leaders de l’opposition », a affirmé le député Delly Sessanga, de l’Envol.
Des manifestations ont été enregistrées les 19, 20 et 21 janvier à Kinshasa, au Nord-Kivu et au Sud-Kivu. Ces trouble sont fait 12 morts selon le gouvernement et 44 d’après des ONG.
Pour contourner le problème de leurs numéros de téléphone, certains ont choisi de s’approprier de nouveaux numéros.
D’autres par contre comme Jean-Claude Mvuemba, empruntent la voie de la justice.
« Nous allons porter plainte contre ces sociétés et le fonctionnaire de l’ANR [Agence nationale de renseignements] qui a signé [le bouchage des numéros], a déclaré le député Jean-Claude Mvuemba du Mouvement du peuple congolais pour la République.
A l’en croire, les numéros des téléphones de plusieurs opposants ont été bouchés, notamment Samy Badibanga, Fidèle Babala, Delly Sessanga et José Makila.
Une des sociétés de téléphonie cellulaire contactée a affirmé n’avoir pas reçu la consigne de boucher un quelconque numéro des politiciens.
De son côté, le chargé de communication d’Airtel Congo appelle les personnes concernées à saisir officiellement sa société en vue d’une éventuelle solution.